Communiques (253)
Togo: 15 Août 2008 – 15 Août 2015 : Assassinat de Kokouvi ATSUTSE ...
Written by Bill Emile Davolk- Il y a sept (7) ans, le 15 août 2008, le corps nu et sans vie de l’opposant togolais Atsutsè Kokouvi AGBOBLI a été retrouvé sur une plage de Lomé. Le pouvoir togolais avait promis de « faire toute la lumière » sur la mort dramatique du journaliste et homme politique togolais. Sept (7) ans après, où en est l’enquête ?
Mémorandum sur l’inopportunité de la tenue des 44èmes assises de ...
Written by Bill Emile DavolkSans concertation avec ses membres du Togo, le bureau international de l’Union de la presse francophone (UPF) a décidé d’organiser du 26 au 29 novembre 2015 à Lomé les 44èmes assises de la presse francophone. Vu la situation actuelle des médias togolais, nous, membres de la section togolaise, affirmons que l’organisation de ces assises au Togo est, pour le moment, inopportune.
Alliance Nationale pour le Changement
Fédération ANC Amériques
DÉCLARATION CRD-MK DU 31 JUILLET 2015 TOGO : Y A-T-IL PÉRIL IMMINENT...
Written by Bill Emile Davolk1. Quid de l’élection présidentielle de tous les dangers !
Alerte Info: Le Togo a un nouveau Premier Ministre:Komi Klassou Selom
Written by AdministratorFaure Gnassingbé vient de nommer Komi Klassou Selom Premier Ministre. Mr Klassou, un cacique du régime RPT-UNIR était avant sa nomination le vice président de l'Assemblée Nationale.
Nous y reviendrons.
Attention, les populations de Lomé sous surveillance !
Written by AdministratorCommunications téléphoniques sur écoute, internet et correspondances postales sous surveillance ; les Togolais en sont presque habitués, même si ces dispositifs sont contraire à la loi.
Cependant, on assiste ces dernières semaines à une nouvelle forme de surveillance des populations. Ce sont ces caméras de surveillance installées un peu partout dans les rues de Lomé, surtout au niveau des grands carrefours.
Carrefour 3K, GTA, à l’entrée de la résidence de la caisse en face de l’Université de Lomé, carrefour douane d’Adidogomé, carrefour Limousine, carrefour Bodjona et carrefour Hôtel de la Paix ; voilà, entre autres, les lieux où on peut retrouver facilement ces caméras.
On les retrouve accrochées aux poteaux électriques ou posées sur des panneaux de publicité qui, selon des indiscrétions, appartiennent à des proches du régime en place.
Qui a installé ces caméras ? A quelle fin ? Quel est la portée de ces caméras ? Voilà des interrogations qui brûlent les lèvres des observateurs avertis, surtout que la population n’a aucunement été avertie.
Ces caméras installées dans les rues peuvent avoir leur champ jusque dans les maisons des riverains. Là, c’est une violation de l’espace privé du citoyen. Ce qui est contraire à la Constitution qui dispose dans son article 20 : « « Nul ne peut être soumis à des mesures de contrôle ou de sûreté en dehors des cas prévus par la loi ».
Elle continue en son article 28, alinéa 2 : « « Tout citoyen a droit au respect de sa vie privée, de son honneur, de sa dignité et de son image ».
Certes, aucune disposition ne prévoit l’installation des caméras de surveillance au Togo. Mais ces textes de la loi fondamentale montre suffisamment que l’installation de ces caméras à l’insu des Togolais est une violation de leurs droits, puisque même dans les véhicules, le citoyen est contrôlé, du moment où il s’arrête à un carrefour ou devant les feux tricolores.
Même en France, ces caméras de surveillance qui écument les rues sont, elles aussi, surveillée. Puisque nul n’a le droit de s’introduire dans la vie privé des autres.
Il est temps que ceux qui ont installé ces caméras de surveillance informent les populations et leur dire l’objectif pour lequel elles sont là.
More...
Togo: Communiqué: SOS Journaliste en danger dénonce le kidnapping de...
Written by Administrator
Le 19 mai 2015 aux environs de 10h, Bonéro Lawson Directeur de Publication du Mensuel la Nouvelle a été kidnappé à quelques mètres de son domicile dans le quartier Hanoukopé à Lomé par des individus qui l'ont ensuite embarqué dans une voiture banalisée pour une destination inconnue. Suite à des recherches intenses, il a été retrouvé plus tard dans les locaux de la DCPJ (Direction Centrale de la police judiciaire) qui est à l'origine du kidnapping suite à une plainte du ministre de la sécurité et de la protection civile le Colonel Yark Damehane. Une perquisition a été ensuite effectuée au domicile du journaliste au cours de laquelle son matériel de travail (ordinateur, disque dur, cle USB, journaux etc ) ont été saisi et emporté.
Des responsables d'organisation de presse notamment le Président du Patronat de la Presse togolaise Zeus Komi Aziadouvo suivi de Me Gil-Benoit Afangbedji se sont immédiatement rendus dans les locaux de la DCPJ pour non seulement assister le journaliste mais aussi prendre connaissance des termes de la plainte. Dans les locaux de la Police judiciaire, ils ont été informés de la plainte du colonel Yark Damehane qui accuse le journaliste de publication d'articles attentatoires à son honneur, à l'honneur de sa famille et des menaces sur sa fille qui réside à Bordeaux en France. A l'heure où les termes de ce communiqué sont en train d'être rédigé, les agents de la police judiciaire continue de décrypter le disque dur de l'ordinateur du journaliste Bonero Lawson à la recherche du moindre indice avant de le soumettre plus tard à un interrogatoire.
SOS Journaliste en danger dénonce avec la plus grande fermeté l'enlèvement du journaliste Bonero Lawson en pleine circulation par les agents de la Police Judiciaire.
Elle dénonce les actes attentatoires contre la liberté de presse au Togo et la menace permanente contre l'intégrité physique des journalistes dans l'exercice de leurs fonctions par des pratiques et méthodes digne de la Stasi.
SOS Journaliste estime que l'enlèvement du journaliste Bonero Lawson suite à la prétendue plainte du ministre Yark Damehane est un acte gravissime qui constitue une menace de plus pour la liberté de presse au Togo. Elle invite instamment les autorités à procéder immédiatement à la libération sans condition du Directeur de Publication du journal la Nouvelle.
SOS Journaliste en Danger rappelle à toute fin utile aux autorités qui ignorent encore les lois de la République que le Code de la Presse et de la Communication dispose en plusieurs chapitres et articles les sanctions prévues en cas de délit de presse ainsi que les procédures pour les poursuites.
SOS Journaliste en Danger invite les autorités togolaises à mettre fin aux actes d'intimidation, de menaces contre les journalistes dans l'exercice de leurs fonctions.
Lomé le 19 mai
Le Président
Ferdinand Mensah AYITE
Togo: Après avoir fouillé des heures et des heures l'ordinateur du journaliste Bonero Lawson kidnappé ce matin à Lomé, les sécurocrates du régime RPT-UNIR n'ont rien trouvé mais la Direction Centrale de la Police judiciaire a décidé de le garder pour "des raisons d'enquête".
Ainsi va la justice au Togo des Gnassingbé.
Togo: Au secours.... Les journalistes togolais sont en DANGER.
Written by AdministratorAujourd'hui mardi 19 mai 2015 vers 11h GMT, le journaliste Bonero Lawson a ete arrete devant le bureau du directeur de publication de lorgane de presse Quotidien Liberte. Dans une voiture Noire AI3232, ses hommes armes jusqu'aux dents se disaient elements de la Direction de la Police Judiciaire.
A quand la presse togolaise sera libre de ses actes?