Des physiciens néerlandais de l’université d’Amsterdam et de la Fondation pour la recherche fondamentale sur la matière (FOM) viennent de prouver scientifiquement que les Égyptiens utilisaient de l’eau. L’humidité du sol permet aux traîneaux de glisser sur le sable et de diminuer de moitié la force de traction. Ils ont publié le résultat de leurs recherches dans les Physical Review Letters.
Tout est une question de dosage. Quelques gouttes d’eau collent les grains de sable entre eux, les rendent compacts entre eux et les rendent ainsi plus glissants. Si le sable est sec, il freine. S’il y a trop d’eau, cela fait de la boue.
Mais ce qui tend à confirmer cette théorie, c’est l’archéologie. Sur une ancienne fresque découverte au début des années 2000 ACN dans la tombe de Djehutihotep, on voit clairement un homme à l’avant d’un traîneau en train de verser du liquide sur le sable.
On voit le transport d’une statue de grande taille qui est traînée sur un traîneau comme ceux découverts par les archéologues. Sur la statue est juché un personnage qui verse de l’eau sur la rampe où on glisse le traîneau.
Toutefois, il reste encore des mystères non élucidés. Par exemple, après avoir déplacé les blocs, comment les Égyptiens les ont montés à plus de 100 mètres au sommet des pyramides.

Des physiciens néerlandais ont percé le mystère des pyramides en Égypte. Comment les Égyptiens ont-ils pu construire les pyramides ? Comment ont-ils déplacé des blocs de pierre de plusieurs tonnes dans le sable ? La réponse est très simple,