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Dr Jean Aimé Mouketou
Dr Jean Aimé Mouketou

Dr Jean Aimé Mouketou

Jean Aimé MOUKETOU présente depuis 8 ans l’émission Dr Mouketou Reçoit.

Chaque samedi et dimanche,
7h30-9h (heure de Chicago),
13h30-15h (Heure de Paris)


ÉMISSION DR MOUKETOU REÇOIT SUR RADIO FM LIBERTÉ " Radio de la Diaspora" emmettant depuis CHICAGO ÉTATS-UNIS

Chaque samedi et dimanche, Jean Aimé MOUKETOU reçoit en direct celles ou ceux qui font l’actualité politique, diplomatique, économique, sociale et culturelle de l’Afrique et dans d’autres continents. Dans cette émission, des membres du panel de la diaspora africaine interviennent en cours des débats pour poser des questions, approfondir les thèmes qui font l’actualité.

Durée : 1:30 h

Présentateur: Jean Aimé MOUKETOU

Réalisateurs : Eric K. Alovor et Jean Aimé MOUKETOU

Production : RADIO LIBERTÉ CHICAGO.

Chers auditrices et auditeurs, l’objectif de notre émission Dr Mouketou Reçoit est de promouvoir la démocratie dans tous les pays qui croupissent encore sous les dictatures et l’obscurantisme de leurs dirigeants, et de conforter en revanche les pays qui jouissent déjà des valeurs de démocratie, de liberté d’expression et qui sont de véritables Etats de droit.
Donc nous ne connaissons pas la langue de bois dans cette émission, les auditeurs sont libres de poser toutes les questions qui leur passent à l’esprit, et les invités sont libres de répondre ou non à leurs questions.
Vous comprenez ainsi que le contexte de cette émission est impartial et que la liberté d’expression l’emporte par-dessus tout.

Merci beaucoup pour votre fidélité.
Dr Jean Aimé MOUKETOU.
Chers auditrices et auditeurs, l’objectif de notre émission Dr Mouketou Reçoit est de promouvoir la démocratie dans tous les pays qui croupissent encore sous les dictatures et l’obscurantisme de leurs dirigeants, et de conforter en revanche les pays qui jouissent déjà des valeurs de démocratie, de liberté d’expression et qui sont de véritables Etats de droit.
Donc nous ne connaissons pas la langue de bois dans cette émission, les auditeurs sont libres de poser toutes les questions qui leur passent à l’esprit, et les invités sont libres de répondre ou non à leurs questions.
Vous comprenez ainsi que le contexte de cette émission est impartial et que la liberté d’expression l’emporte par-dessus tout.

 

Nos émissions 7j/7j – 24h/24h sur votre ordinateur, une exclusivité à écouter en direct sur le lien: fmliberte.com

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Merci beaucoup pour votre fidélité.
Dr Jean Aimé MOUKETOU.

 

"(...) Qu'on change de nom de la CNE, CENAP au CGE, le régime au pouvoir opte toujours pour l'immobilisme par l'enrobement aux fins de tétaniser les mécanismes relevant des survivantes des aspirations populaires de 1990, quant à promouvoir la democratie (...)"

 

Je tiens à remercier des compatriotes comme Marcel Djabioh qui ne cessent encore une fois de dénoncer et nous éclairer sur ces questions sensibles qui paraissent certaines pour le plus grand nombre de Gabonais et acquises pour les émergents. Cependant, comédie on peut très bien le constater il n'y a guère de désir du régime PDG au pouvoir d'assainir la vie politique et de provoquer une respiration du politique dans notre pays.

Depuis 1990, avec le retour du multipartisme intégral et la marche vers l'idéal démocratique, l'on a l'impression de reculer et de s'enfoncer derechef dans les abysses non vertueux du parti unique. Comme si la Conférence Nationale n'avait pas débrayé et enrayé cette vielle machine à frauder les élections, à monopoliser et conserver le pouvoir au nom de Bongo et des oligarques.

Dans cette optique, les mandats passent, le temps se transforme en longue durée, mais les habitudes de tricherie demeurent. Qu'on change de nom de la CNE, CENAP au CGE, le régime au pouvoir opte toujours pour l'immobilisme par l'enrobement aux fins de tétaniser les mécanismes relevant des survivantes des aspirations populaires de 1990, quant à promouvoir la democratie ; toute chose organisée finement et sous cape à son profit.

Par conséquent, il ne s'agit point de déshabiller Paul pour habiller Jacques. D'autant plus que les peintures rupestres et millénaires ravalées et empreintes de matériaux modernes demeureront toujours appartenir à un autre âge
Aussi, sans y changer l'esprit et les objectifs de l'État face aux menaces de chaos de plus en plus perceptibles aujourd'hui, le sentiment de révolte contre les imposteurs demeurera persistant. D'autant plus que, contradictoirement, ce pouvoir obsessionnel est déterminé à préserver ses intérêts oligarchiques au dépens de ceux de l'ensemble des Gabonais.

Ainsi, que ce soit la CNE, la CENAP ou le CGE, la musique est connue. On tente de réanimer ou ressasser toujours une recette éculée et contreproductive pour la majorité des Gabonais. Commence également le tripatouillage à l'origine des contestations des résultats des processus électoraux biaisés, contestés et source de violences politiques dans notre pays.

Chez les Ngwe-Myènè et, probablement, chez tous les Bantu, il importe de retenir ce proverbe: "Okoga éré kalwa gando": "Un vieux tronc d'arbre ne se transforme jamais en crocodile". Pour ma part, je crois que l'inverse l'est aussi.

Ainsi, après moult hold-ups électoraux sur la base des mêmes pratiques et prétentions frauduleuses des ancêtres du CGE en faveur du même régime au pouvoir depuis 1990, comment s'imaginer qu'il en serait autrement aujourd'hui ? Comment l'Opposition peut- elle croire à la sincérité du scrutin à venir relatif aux élections législatives? Comment cette partie de l'opposition déterminée à aller aux élections peut-elle croire à d'éventuelles velléités du régime au pouvoir actuel à s'essayer ou envisager un partage institutionnel du pouvoir ? Je veux parler de tolérer une cohabitation normale ou " comme in l'entend" aux Sommets de l'État ?

À moins d' aller à la pêche de quelques circonscriptions, synonymes de victoires personnelles ou individuelles qui élimineraient ou saborderaient pour longtemps toute stratégie commune, de l'union des partis politiques autour Jean Ping, de conquête du pouvoir au Gabon.

À moins que ce dernier hold-up électoral du 27 août 2016 soit considéré par les prétendants comme derrière nous!

À ce moment-là, les torts seront partagés et
s'ouvrira un nouveau grand livre des responsabilités avec faute grave, le soir de tous les comptes à venir. Excepté si l'histoire donne raison aux partis de l'opposition en question et candidats aux élections législatives à venir et qui ont cru au CGE, nouvelle institution en charge des Élections au Gabon.

Wilson-André Ndombet
Professeur Titulaire des Universités.

 

Le pays a une soif ardente et inépuisable désormais d'équité, d'égalité et de démocratie.

Je veux parler de parfaite transparence et de loyauté dans la gestion du processus électoral, c'est-à-dire depuis la gestion des organes chargés de collecter les suffrages jusqu'à ceux de la proclamation de l'ensemble des résultats.
Cependant, personne ne saurait admettre que ceux qui ont des intérêts liés sans être démis de leurs fonctions respectives de fossoyeurs de l'idéal démocratique des Gabonais, de tous les Gabonais, poursuivent leur mandat.

C'est pourquoi, il faut une révision totale des dispositions constitutionnelles desdites institutions chargées des processus électoraux en lieu et place de la distraction politique actuelle relative aux prérogatives du Chef de l'État.

À cela s'ajoute, faute de confiance en nous-mêmes, une assistance des institutions internationales crédibles, pour contrer le syndicat des chefs d'États mafieux et dictatoriaux de l'OUA et autres groupuscules des tenues ou organisations occultes, du début à la fin dudit processus des élections législatives.

Le reste n 'est que distraction, collusion et trahison.

S'agissant des partisans du pouvoir, il paraît difficile d'imaginer une survie dans un processus électoral normal face à une révolte quasi-généralisée des Gabonais et déterminés à vivre enfin leur alternance brutalement bloquée depuis le scrutin du 27 août 2016. Le PDG le sait et craint une nouvelle déculottée. Ce parti a donc intérêt à retarder l'organisation d'un nouveau scrutin qui l'humilierait davantage. Il perdrait à jamais sa crédibilité, tant bien même il réiterait sa pratique des hold-ups historiques passés.

Les temps ont changé et les générations actuelles ont formaté un logiciel des temps nouveaux et à l'aune de la situation politique internationale, à tout le moins, plus prompte à favoriser l'universalisme démocratique. Même coincé et tenter d'organiser une nouvelle nuit des longs couteaux made in 31 août 2016, le régime au pouvoir n'oserait pas le faire face aux projecteurs de la Communauté internationale. Sauf à aller au casse-pipe! Et qui oserait le faire le premier?

Pour les partis de l'Opposition, nombre d'options sont envisagées parmi lesquelles, il ne s'agit plus de boycotter les élections législatives. À imaginer cependant, que le régime au pouvoir s'arqueboute à détenir toujours tous les leviers du pouvoir de l'État, aller aux élections sans garantie serait iĺlisoire et ferait son jeu. Il pourrait chercher à laver l'humiliation du 27 août 2016 et donner l'impression d'avoir repris la main face à la situation politique cahotique du pays.

D'autre part, non seulement l'Opposition n'aurait plus sa cohésion relative d'avant les élections présidentielles d'août 2016c, mais elle en sortirait divisée. Et, à ce moment-là, réapparaitront les vieux démons des luttes pour le leadership qui l'avaient perdue autrefois. Et, surtout, sera favorisé de nouveau l'ethcisme contre la marche vers l'idéal de la construction de notre Unité Nationale, partout et majoritairement perspectible dans les attitudes des nouvelles générations de Gabonais.

Dans ce cas de figure, quel leader de partis de l'Oppostion oserait casser cette dynamique comme si les expériences passées nées des processus électoraux antérieurs n'instrusaient guère. Même si l'alternance politique serait envisageable dans un proche avenir profitable à l'un ou l'autre leader, l'idéal de tout un peuple devrait-il être bradé aux profit de quelques-uns marqués par un nombrilisme, un ethnocentrisme rétrograde? Même si je dois reconnaître qu'un leader politique mesuré, le Premier Ministre Eyeghe-Ndong, hautement lettré, nous avait déjà prévenu et y insiste encore aujourd'hui!

Et que dire de l'organisation du processus électoral des législatives à boycotter ou non?

Les mêmes causes produisant les mêmes effets, les mêmes partisans des organes de gestion du processus électoral continuant à les acter, sur la base de leurs convictions mafieuses, occultes, parentales, voire etnicistes, ils proclameront les résultats en fonction de leurs intérêts et convictions d'antanet de toujours: la mobilisation et la concentration du pouvoir.

Pour avoir étudier les processus électoraux du Gabon, au moins depuis 1957, le parti au pouvoir à toujours organisé une fraude relative (mars avril mai aux élections territoriales), une fraude massive (de 1964 à nos jours y compris en tenant compte du régime du parti unique). Pour ne pas dire uniquement, depuis 1990, et pire encore, depuis 2009.

En validant l'hypothèse du contexte actuel et, notamment, de l'avènement de Ping au pouvoir et de ce qu'on peut qualifier de majorité de la sociologie électorale des huit province en sa faveur, qui est la votre, qui garantirait la victoire de son camp, si les maux restaient intacts et continuaient à miner ce processus électoral en faveur du PDG ou du régime au pouvoir ?

Aussi importe-t-il de reconsidérer, tel que déjà dit, l'architecture constitutionnelle des institutions en charge de ses institutions, qu'elles cessent d'être représentatives de la volonté du Prince et ne reproduisent, en revanche, que le "trust" ou mandat du peuple.

Si d'aventure, on essayait d'aller aux élections législatives qu'en ne comptant simplement que sur le contexte actuel favorable à l'Oppostion et sans garantie de modalités juridiques crédibles et, par conséquent, véritablement démocratiques, les mêmes causes produisant les mêmes effets -je me répète volontiers- la bourrasque ou déculottée électorale en faveur de Ping ou simplement de l'Oppostion n'aura pas lieu.

Wilson-André Ndombet
Professeur Titulaire des Universités.

Mesdames et Messieurs,
Chers compatriotes,
Le 27 août 2017, le Gabon a connu une élection présidentielle qui a débouché sur la victoire claire et nette du Président de la République Jean Ping ce, par le vote majoritairement et démocratiquement porté par le peuple gabonais sur sa personne, son projet de société et son leadership multiple.
Toutefois, par un coup d’état militaro-électoral perpétré au soir du 31 août 2017 avec assassinat de près de 500 jeunes aux mains nues dans le pays ; cette victoire est, depuis plus d’un an, confisquée par le régime imposteur d’Ali Bongo qui empêche ainsi le président démocratiquement élu Jean Ping de gouverner tout en privant le peuple gabonais de la jouissance de sa souveraineté.
Malgré la funeste révision de la Constitution initiée et concrétisée par le dictateur Ali Bongo avec l’aide d’une Assemblée nationale anticonstitutionnelle et totalement acquise à la cause du tyran, en lieu et place de sa soumission au peuple gabonais par référendum ; le Président démocratiquement élu Jean Ping a, dans sa déclaration du 4 novembre 2017, éclairé la communauté nationale et internationale sur son objectif primordial de sauvegarde de la paix et de la démocratie à l’aulne des alinéas 7 à 10 de l’article 116 de la mère des lois.
Fidèle au peuple gabonais relativement à son slogan « J’irai jusqu’au bout » et face à la tentative de diversion ou de distraction de ce dernier par le projet funeste de révision constitutionnelle d’Ali Bongo, le récent pseudo attentat terroriste et les élections législatives prochaines; le Président de la République, Jean Ping, estime que les vrais problèmes de l’heure sur lesquels le peuple gabonais doit garder un focus sont la paupérisation exponentielle de la population avec un endettement massif du pays dans un contexte de forte récession économique en raison de l’incompétence et de la kleptomanie du régime imposteur en place, les crimes rituels et autres crimes contre l’humanité avec l’exécution de près de 500 jeunes aux mains nues dans le pays, la libération des prisonniers politiques et notamment, le respect de la vérité des urnes qui exclut toute négociation avec le régime imposteur et commande le départ de l’usurpateur.
Ce dernier problème de reconnaissance du choix démocratique et souverain du peuple gabonais devant déboucher sur l’accession du Président élu Jean Ping à la magistrature suprême a priorité sur les trois autres ce, à l’aulne d’une certaine asymétrie temporelle entre elles quant à leur solutionnement séquentiel.
Relativement aux élections législatives d’avril 2018 en discussion dans les différents états-majors politiques ; il est d’ores et déjà demandé au peuple gabonais de ne pas y prendre part, de les boycotter, d’empêcher leur tenue urbi et orbi et par tous les moyens ce, tant et aussi longtemps que le contentieux électoral présidentiel n’aura pas été vidé et que l’imposteur Ali Bongo squattera toujours la Présidence par la force.
En effet, il est plus que nécessaire de rompre avec ce cheminement ou cycle Élections – Coups d’état électoraux – Répression – Négociations – Partage du pouvoir qui caractérise le Gabon depuis plus près de trois décennies, le sous développe et paupérise exponentiellement sa population à l’aulne d’un clientélisme politique, d’une kleptomanie et d’une incompétence abyssaux des acteurs politiques coptés çà et là, dans un jeu collusif et malsain (opposition corrompue – parti au pouvoir corrupteur) au grand dam de peuple gabonais.
Face à la situation politique, économique, sociale, financière et culturelle chaotique du pays entretenue machiavéliquement par un régime imposteur rejeté, honni et vomi urbi et orbi ; le peuple gabonais doit intensifier sa résistance et empêcher l’organisation des élections législatives et/ou de toute autre élection par tous les moyens possibles avant l’intronisation du Président démocratiquement élu Jean Ping.
Le peuple gabonais ne doit pas succomber aux sirènes des opposants corrompus, traitres et collabos du régime assassin d’Ali Bongo qui parcourent déjà le pays afin de vendre l’idée des élections législatives ce, alors que le combat de la vérité des urnes du scrutin présidentiel du 27 août 2017 et de la réclamation de la justice pour les 500 jeunes aux mains nues lâchement assassinés est encore et toujours vivace.
Pour ces politiques corrompus, traitres et collabos du régime imposteur d’Ali Bongo ; ces jeunes gabonais qui réclamaient le respect de leurs votes majoritairement et démocratiquement portés sur le Président élu Jean Ping doivent passer en pertes et profits ce, à l’aulne de la poursuite de leurs objectifs personnels et égoïstes d’être cooptés comme députés, sénateurs, ministres…par le pouvoir imposteur d’Ali Bongo en contrepartie de sa légitimation.
Face à l’incohérence de ces opposants, traitres et collabos du régime usurpateur en place, qui demandent d’aller aux élections législatives avec les mêmes institutions corrompues et dénoncées par eux-mêmes relativement au contentieux électoral présidentiel non vidé ; la Fondation Jacques Okoué pour la Bonne Gouvernance met en garde ces opposants-marchands de rêve quant à leur collusion avec le pouvoir illégal en place et demande au peuple gabonais de s’élever avec la dernière énergie contre ces vendeurs d’illusions tout en le conseillant d’attendre l’avènement, avec l’intronisation du Président démocratiquement élu Jean Ping, d’une République qui garantira l’élection d’une Assemblée nationale souveraine et des réformes institutionnelles et constitutionnelles favorables à la Bonne gouvernance du pays et au bien-être des populations gabonaises.

Fait à Québec (Canada), le 20 décembre 2017

Jacques Janvier Rop’s Okoué,
Président de la Fondation Jacques Okoué pour la Bonne Gouvernance en Afrique

La Diaspora dit non !

Le Président Jean PING a été élu par le peuple Gabonais au terme du scrutin du 27 août 2016. Les Gabonais le savent, toute la Communauté internationale le sait. C’est donc une victoire incontestable.
Depuis le coup d’état militaro-électoral qui l’empêche jusqu’à présent d’exercer le pouvoir, et au peuple de jouir de sa souveraineté, le Président élu est resté fidèle au contrat de confiance et de non-violence avec les concitoyens.

Sur la révision de la Constitution initiée en toute illégalité, qui vient d’être adoptée honteusement par l’assemblée nationale aux ordres du régime dictatorial, en vertu des alinéas 7 à 10 de l’article 116 de la Loi Fondamentale, le Président Jean PING a fixé l’opinion dans sa Déclaration sur la sauvegarde de la démocratie et de la République, du 4 novembre dernier.

Renouvelant son accord, sa totale communion avec le peuple gabonais qui l’a massivement élu, il rappelle dans son propos « qu’une seule question commande toutes les préoccupations. Cette question c’est celle de la reconnaissance du choix du peuple, et donc de la vérité des urnes. Cette question c’est celle de la fin de la dictature, celle du départ de l’usurpateur et de la fin du régime Bongo-PDG ».

Tout débat d’actualité avec le régime issu de ce coup d’état étant exclu, la finalité ultime et légitime étant l’exercice du pouvoir par celui qui a été élu par la majorité des gabonais.
La Révision de la Constitution est une des tentatives de distraire et de décourager les gabonais du combat qui l’engage comme jamais.
La durée de la résistance et son expression au-delà du territoire gabonais en est l’illustration la plus convaincante.
L’autre tentative de distraire les résistants est la question des législatives. Elle est en débat dans les différents partis politiques de la Coalition qui comprend aussi un large front d’associations représentant la société civile.

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Interrogé de toute part, le peuple Gabonais en Résistance et confronté à la réalité insupportable du maintien par la force d’un régime rejeté, ne veut pas entendre parler de législatives avant l’investissement du Président qu’il a élu le 27 août 2016.
Des partis politiques se réclamant parfois du Président Jean PING et de la Coalition et qui sillonnent le pays, sans un mot d’ordre commun, à ce jour, avalisé par le Président élu, font l’objet de questions sur l’opportunité de parler des législatives, sans avoir achevé le combat pour la vérité des urnes, après le scrutin du 27 août 2016.

La sortie maladroite de Casimir Oyé-Mba à TV+ ne doit pas nous distraire ; lui qui n’a jamais été véritablement élu. N’eût été l’appui des institutions qu’il a servies et asservies, Casimir Oyé-Mba n’aurait jamais été élu dans son patelin de Zam’Aligue, près de Ntoum. Les archives du Ministère de l’Intérieur sont bien conservées. Cet homme qui aurait pu incarner l’alternance en 2009 préférait trahir les gabonais en baissant son froc.

Casimir Oyé Mba doit sa résurrection politique à celui qu’il tente de discréditer aujourd’hui et que le peuple gabonais a élu, Jean Ping.

Le moment est plus qu’opportun pour la diaspora de réaffirmer sa détermination à ne laisser aucune place aux manœuvres de détournement de la vérité par le régime et ses complices transfuges.

La diaspora reste fidèle à son mot d’ordre « NOUS IRONS JUSQU’AU BOUT » tant que le choix du peuple sera occulté aussi bien par le régime Bongo-PDG que par certains « opposants » dont les orientations ont toujours fluctué. Non aux législatives pilotées par un régime illégal et illégitime.
L’installation de la Nouvelle République elle seule garantira de l’élection d’une Assemblée Nationale souveraine dans un Gabon libre et à l’abri de toute perversion.

Pas de reconnaissance de la vérité des urnes, pas de législatives au Gabon. Que cela soit bien compris par tous !

La Résistance pour le Peuple souverain.

Conseil Gabonais de la Résistance France - Benelux


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