Warning: "continue" targeting switch is equivalent to "break". Did you mean to use "continue 2"? in /home/erica/public_html/templates/fmliberte/css/less.php/less.php on line 9386

Warning: "continue" targeting switch is equivalent to "break". Did you mean to use "continue 2"? in /home/erica/public_html/templates/fmliberte/css/less.php/less.php on line 9394

Warning: "continue" targeting switch is equivalent to "break". Did you mean to use "continue 2"? in /home/erica/public_html/templates/fmliberte/css/less.php/less.php on line 9399

Warning: "continue" targeting switch is equivalent to "break". Did you mean to use "continue 2"? in /home/erica/public_html/templates/fmliberte/css/less.php/less.php on line 9405

Warning: "continue" targeting switch is equivalent to "break". Did you mean to use "continue 2"? in /home/erica/public_html/templates/fmliberte/css/less.php/less.php on line 9415

Warning: "continue" targeting switch is equivalent to "break". Did you mean to use "continue 2"? in /home/erica/public_html/templates/fmliberte/css/less.php/less.php on line 9418

Warning: "continue" targeting switch is equivalent to "break". Did you mean to use "continue 2"? in /home/erica/public_html/templates/fmliberte/css/less.php/less.php on line 9438

Warning: "continue" targeting switch is equivalent to "break". Did you mean to use "continue 2"? in /home/erica/public_html/templates/fmliberte/css/less.php/less.php on line 9443

Warning: "continue" targeting switch is equivalent to "break". Did you mean to use "continue 2"? in /home/erica/public_html/templates/fmliberte/css/less.php/less.php on line 9464

Warning: "continue" targeting switch is equivalent to "break". Did you mean to use "continue 2"? in /home/erica/public_html/templates/fmliberte/css/less.php/less.php on line 9471

Warning: file_get_contents(http://www.fmliberte.com//media/system/css/system.css): failed to open stream: HTTP request failed! HTTP/1.1 406 Not Acceptable in /home/erica/public_html/templates/fmliberte/runless.php on line 40

Warning: file_put_contents(): Only -1 of 2678 bytes written, possibly out of free disk space in /home/erica/public_html/templates/fmliberte/runless.php on line 47
ERIC K. ALOVOR
ERIC  K.  ALOVOR

ERIC K. ALOVOR

L`Afrique, le continent noir, mère des continents, est constamment en proie à des difficultés socio-économiques et politiques qui, à bien des égards, transforment ses fils et filles, chez eux, sur leur propre terre natale, en parias et en êtres bannis ou, en terre lointaine d’asile, en citoyens acculturés et de seconde zone.

L’exil est devenu pour nos peuples, surtout les jeunes, une source nourricière potentielle et un choix de survie. Ce paradoxe crée une frustration qui érode l`Afrique et tend à faire de ses processus de démocratie naissante un Mal plutôt qu’un Bien.

Que ferions-nous d’autres et que nous resterait-il de tant d’années d’efforts et de sacrifices, si nous venions à nous égarer définitivement. De la voie de la démocratie ?

Face à cette question existentielle qui nous interpelle tous, notre compatriote Kodjo EPOU tire la sonnette d’alarme et cite : « La démocratie est loin d’être parfaite mais elle demeure le moins mauvais des systèmes » Nous avons plus intérêt à œuvrer pour l’enraciner dans nos mœurs que de la renier en collaborant, contre gains faciles et immédiats, à tout ce qui est sa négation. De nos jours, la Démocratie est un système incontournable. Au point que toute tentative de l’étouffer se révèlera, tôt ou tard, inopérante.

L’initiative de créer Fmliberte répond à cet esprit. Notre mission se projette dans cette perspective. Elle vise donc à consolider chaque jour un peu plus la démocratie dont le nerf est la parole. Ainsi, sur les ondes de Fmliberte, La radio de la Diaspora, il n’existe pas de propos tabou, à l’exception de ceux qui sont dans l’ordre d’attentats à la pudeur, d’attaques personnelles ou de fausses informations. L'idée de rassembler les africains autant que nous le pouvons constitue la trame de nos émissions. Elle n’exclut nullement les critiques, même les plus acerbes, mais elle impose le respect de l'autre dans sa dignité humaine.

Nous restons convaincus que notre investissement en temps et en matériel ne sera pas vain; que les Communautés africaines de l’étranger et l’ensemble de la diaspora africaine apprécieront nos efforts à leur juste valeur. Notre ardent souhait est que Fmliberte, cet outil majeur de communication et de rapprochement soit un véritable tremplin de la Démocratie sur le beau Continent.La vocation de Fmliberte tient en trois mots:

Divertir. Informer. Rassembler.

FM Liberte, l’autre Son de Cloche

Bonne écoute!!

Le Président/Administrateur
Eric K. ALOVOR
04 Octobre marche, d’ultime avertissement 05 Octobre, marche de la colère Depuis le 06 Septembre 2017, vous avez massivement pris part à toutes les manifestations pacifiques publiques organisées dans tous les chefs-lieux de préfecture par CAP2015 - Groupe de Six- CAR - PNP- Santé du Peuple pour : d’une part : • exiger le retour à la Constitution originelle du 14 Octobre 1992, la révision du cadre électoral et l’instauration du droit de vote des togolais de l’étranger ; et d’autre part : • dénoncer les répressions sauvages des manifestations pacifiques publiques des mois d’Août et Septembre 2017 ayant fait des morts, de nombreux blessés et des centaines d’exilés, • exiger qu’une enquête indépendante soit diligentée pour situer les responsabilités et traduire en justice les auteurs et commanditaires ces violences, • exiger la libération immédiate et sans conditions, de tous les prisonniers politiques, notamment, les personnes arrêtées lors des manifestations pacifiques publiques des mois d’Août et Septembre 2017 • exiger l’arrêt immédiat des persécutions, des arrestations, des poursuites et des violences à l’encontre des militants et dirigeants des partis politiques de l’opposition, • exiger l’arrêt immédiat des entraves à l’exercice du droit constitutionnel de manifestation La coalition CAP2015-Groupe de Six- CAR- PNP- Santé du Peuple vous remercie et vous invite à prendre part, encore plus nombreux, aux manifestations pacifiques publiques qu’elle organise dans tous les chefs-lieux de préfecture de notre pays les mercredi 04 et jeudi 05 Octobre 2017. ITINERAIRES DE LOME Point de départ 1 : Ets CCP- Carrefour Eglise Baptiste- Uniprix (Rails)- Tokoin Trésor- Ramco- Fontaine lumineuse- Bd circulaire- Deckon Déckon- Pharmacie du Bd- Rex- Nopato- Rue de Bè- Immeuble Fiata- Bd Circulaire côté est- Festival des glaces- Plage face hôtel Sancta Maria. Point de départ 2 : Bè Gakpoto- Marché de Bè- Bd Félix Houphoët Boigny- Bd circulaire côté ouest- Déckon- Pharmacie du Bd- Rex- Nopato- Rue de Bè- Immeuble Fiata- Bd Circulaire côté est- Festival des glaces- Plage face hôtel Sancta Maria. Point de départ 3 : Atikoumé/Akossombo-Todman-Gbossimé- Bd de la Kara- Gbossimé- Carrefour Eglise Baptiste- Uniprix (Rails)- Tokoin Trésor- Ramco- Fontaine lumineuse- Bd circulaire- Déckon- Pharmacie du Bd- Rex- Nopato- Rue de Bè- Immeuble Fiata- Bd Circulaire côté est- Festival des glaces- Plage face hôtel Sancta Maria Pour les chefs-lieux de préfectures, les coordinations locales préciseront les itinéraires retenus. Les coordinations de la diaspora togolaise sont invitées à organiser des manifestations dans leurs pays d’accueil. Togolaises et Togolais des villes et campagnes du Togo et de l’étranger, organisations de défense des droits de l’homme, associations de presse, syndicats et associations de la société civile, travailleurs des secteurs public et privé, artistes, élèves, étudiants, revendeuses des marchés, taximen, zémidjans, munis de drapelets togolais, une fois encore soyons tous aux rendez-vous les mercredi 04 et jeudi 05 Octobre 2017, pour dire non, ça suffit, pour exiger la restitution à notre peuple sa souveraineté. La lutte populaire est invincible A Lomé le 30 Septembre 2017 Pour les organisateurs CAP2015 GROUPE de Six CAR PNP Santé du Peuple Kafui ADJAMAGBO-JOHNSON Nathaniel OLYMPIO Jean KISSI Tchatikpi OURO-DJIKPA Georges KUESSAN

The Department of Homeland Security intends to monitor the social media accounts and internet search history of legal immigrants as part of a new tracking system set to roll out next month.

The policy applies to not just immigration applicants, but also to naturalized U.S. citizens and lawful permanent residents. It goes into effect on Oct. 18, the same day that the latest iteration of President Donald Trump’s travel ban is set begin.

First reported by BuzzFeed, the new rule was quietly published in the Federal Registerlast week. It’s an update to the Alien File, also known as an A-File, which is the official record-keeping system for an individual going through the immigration system. Until now, A-Files could be kept in either paper or electronic form. Now, the rule says, these records can be kept on paper, electronically or through some paper-electronic combination.

And the information that’s now going to be kept in A-Files includes the country of nationality, country of residence, the U.S. Citizenship and Immigration Service online account number, social media handles, aliases, associated identifiable information and search results.

It’s unclear how DHS plans to collect social media handles and search results from people, although the rule does say it plans to “expand data elements used to retrieve records.”

The new rule “makes clear that the government intends to retain the social media information of people who have immigrated to this country, singling out a huge group of people to maintain files on what they say,” Faiz Shakir, American Civil Liberties Union national political director, said in a statement Thursday. “This collect-it-all approach is ineffective to protect national security and is one more example of the Trump administration’s anti-immigrant agenda.”

It’s not the first time the administration has floated using social media to vet travelers and immigrants. In February, then-Homeland Security Secretary John Kelly, now the White House chief of staff, announced that the agency was considering asking visitors to give officials their social media passwords. In June, the administration quietly put in place a new visa questionnaire requiring all social media handles used in the last five years.

 
And sure enough, the agency says it’s already been culling social media handles.

“DHS, in its law-enforcement and immigration-process capacity, has and continues to monitor publicly available social media to protect the homeland,” Joanne Talbot, a spokeswoman for the agency, told Bloomberg Wednesday.

Rights groups have expressed concern about the implications the policy could have on free speech.

“There’s a growing trend at the Department of Homeland Security to be snooping on the social media of immigrants and foreigners and we think it’s an invasion of privacy and deters freedom of speech,” Electronic Frontier Foundation attorney Adam Schwartz told BuzzFeed.

The policy is part of a larger effort by the Trump administration to crack down on both illegal and legal immigration, including Wednesday’s announcement that the U.S. would be bringing its refugee admissions quota down to its lowest level yet.

Trump also threw his support last month behind a bill co-sponsored by Sen. Tom Cotton (R-Ark.), one of the most hard-line immigration lawmakers in Congress, that would dramatically slash the number of people coming to the U.S. every year by cutting down on the number of green cards given out as well as scaling back the refugee program. The bill would also prioritize English-speaking immigrants and ending the immigration lottery program.

Earlier this month, the president threatened to end the Deferred Action for Childhood Arrivals program, which granted two-year work permits and deportation relief to undocumented immigrants brought to the U.S. as children.

This article has been updated to include the ACLU national political director’s comment. 

http://www.huffingtonpost.com/entry/dhs-immigrant-social-media_us_59ccb13ee4b0210dfdfc2591

 

 
 
La Coalition des Forces Démocratiques (CAP2015 – GROUPE DES SIX – PNP- SANTE DU PEUPLE- CAR) a écouté, avec indignation et dégoût, l’intervention du Représentant Spécial du Secrétaire Général des Nations Unies en Afrique de l’ouest, Monsieur Ibn CHAMBAS, sur les antennes de  la BBC. Dans ses propos, ce dernier a affirmé que l’idée d’un référendum, organisé par le régime RPT/UNIR,  sur la base du projet envoyé par le gouvernement à l’assemblée Nationale, est un acte concret qui est une réponse positive aux aspirations du peuple et qu’il ne reste qu’à en fixer la date pour faire avancer les choses. Les forces démocratiques notent que cette déclaration est en totale contradiction avec celle de son chef, le Secrétaire Général des Nations Unies, qui appelle les protagonistes de la crise au dialogue pour satisfaire aux demandes de la majorité du peuple togolais. Les forces démocratiques élèvent la plus vive protestation contre cette provocation de Monsieur CHAMBAS et veulent lui signifier, avec force, que le peuple togolais ne se laissera plus berner par des personnalités qui,sous le couvert de missions de paix, viennent soutenir le régime RPT/UNIR qui ambitionne de continuer à tenir le peuple en esclavage. Les Forces démocratiques mettent en garde toute personne en service commandé qui se mettra en devoir de saper la lutte du peuple togolais pour sa liberté. La lutte populaire est invincible ! Fait à Lomé le 27 septembre 2017 CAP2015-GROUPE DES SIX-PNP-SANTE DU PEUPLE-CAR B. ADJAMAGBO N.  OLYMPIO OURO-DJKPA   G. KUESSAN     J. KISSI

27 Septembre 1992 - 27 Septembre 2017, cela fait exactement 25 ans jour pour jour que les togolais ont adopté, lors du référendum historique, la Constitution de la 4e République à une écrasante majorité de près de 98% des suffrages exprimés, avec un taux de participation inédit de plus de 74%. A travers ce plébiscite, les togolais pensaient avoir définitivement tourné la page de la dictature, du monolithisme, de la prévarication et de l'Etat de non droit qui sévissaient alors sur la terre de nos aïeux depuis plus d'un quart de siècle.

Cette unanimité nationale autour du projet de Constitution n'était pas le fait du hasard. Le texte soumis aux togolais s'était attaché à refléter fidèlement les grandes orientations définies par la Conférence nationale souveraine pour la fondation d'une nouvelle société togolaise réellement démocratique, respectueuse des droits de l'homme, de l'État de droit et de la bonne gouvernance.

La Constitution originelle adoptée par le peuple togolais souverain le 27 septembre 1992 et promulguée le 14 octobre 1992 avait été conçue pour répondre à une triple préoccupation :
- restaurer l'unité et la cohésion nationales fortement mises à mal par 25 ans de tribalisme et d'ethnicisme érigés en méthode de gouvernement ;
- rompre définitivement avec l'exercice dictatorial et oligarchique du pouvoir d'Etat concentré entre les mains d'un seul individu ou d'un seul clan qui tient la grande majorité des togolais en situation d'esclaves ;
- engager irréversiblement le Togo sur la voie de la démocratie, de l'État de droit, de la bonne gouvernance et du développement.

La conception de la Constitution originelle de 1992 n'a pas été une oeuvre solitaire émanant d'une seule personne ou d'un groupe monolithique. Elle a été le fruit d'une réflexion collective menée dans un cadre multidisciplinaire regroupant des représentants des différentes composantes de la société togolaise. Chaque article de cette Constitution avait fait l'objet de discussions minutieuses pour parvenir à un large consensus au sein de la classe politique, toutes tendances confondues, y compris le RPT.

Ce travail n'était pas réalisé en vase clos. Les populations étaient régulièrement informées à travers un excellent travail de pédagogie mené à la fois par les partis politiques et les organisations de la société civile.
Les dispositions pertinentes contenues dans la Constitution originelle de 1992 portant sur la limitation du nombre de mandats que peut exercer un Président, la durée des mandats, le mode de scrutin uninominal à deux tours pour lélection du Président de la République et des députés, les modalités de désignation et les prérogatives du Premier Ministre, la composition de la Cour Constitutionnelle étaient non seulement des garde-fous prévus pas le législateur afin de prévenir toute résurgence autocratique, mais aussi et surtout pour permettre à notre pays de connaître une vie démocratique normale.

Toute la classe politique, y compris le RPT, était d'accord pour que, plus jamais, sur la terre de nos aïeux, nul ne puisse plus exercer plus de deux mandats présidentiels de 5 ans, que ce soit de façon continue ou discontinue.

C'était le sens profond de la fameuse formule « En aucun cas, nul ne peut exercer plus de deux mandats » que tout le monde avait pourtant applaudie à l'époque. Le débat qui avait abouti à l'introduction de cette phrase a duré plusieurs semaines. Toutes les options avaient été étudiées. C'est à la quasi unanimité que le principe de la limitation à deux mandats présidentiels (en continu ou en discontinu) et du mode scrutin uninominal à deux tours pour les deux élections majeures avaient été retenus. Le texte final avait été adopté par près de 98% des électeurs parce qu'une très large majorité des togolais se sont reconnus dans le consensus politique qui leur était proposé. Le souci de l'intérêt supérieur du Togo, le bon sens politique et social et le respect absolu dû à la voix du peuple souverain l'avaient emporté sur toutes autres considérations.

Voilà pourquoi nous réaffirmons ici et maintenant devant vous et à travers vous, devant le peuple togolais que les honteux tripatouillages orchestrés parfois nuitamment par le régime RPT en 2002 et 2005 constituent un crime impardonnable contre la démocratie, lunité et la cohésion nationale. Ces tripatouillages ont verrouillé les institutions de la République et ont transformé la Constitution du 14 octobre 1992 en un instrument de faire valoir vernis juste destiné à masquer le retour de fait au monolithisme. Nous ne revendiquons donc pas le retour à la Constitution originelle par idéologie ou par caprice politicien. Les togolais veulent tout simplement retrouver l'esprit républicain porté par la Constitution originelle de 1992 afin de permettre à notre pays, le Togo, de vivre une vie démocratique normale.

Le projet de loi de révision constitutionnelle adopté il y a une semaine par la majorité mécanique RPT-UNIR à l'assemblée nationale dans le seul but de tenter de désamorcer l'étau populaire qui se resserre autour de Faure Gnassingbé, tant à l'intérieur quà l'extérieur du pays, relève de la pure provocation et constitue un acte grave de mépris vis-à-vis du peuple togolais. Ce projet ressuscite une option qui avait été rejetée par tout le monde en 1992 parce quelle est une façon déguisée d'instaurer une présidence à vie au profit du clan qui gouverne notre pays depuis plus d'un demi-siècle.

A cet effet, nous nous félicitons de ce que les députés de l'opposition dans toute sa diversité, aient, pour une fois, fait bloc pour dire non à cette grossière supercherie. L’adoption de la proposition d'amendements introduite par l'opposition et portant sur le préambule et tous les articles touchés par les tripatouillages successifs de 2002 et 2005, soit au total 48 amendements nous paraît à ce jour la seule voie raisonnable pour opérer ce retour à la Constitution originelle du 14 Octobre 1992 que réclame le peuple togolais. Continuer, comme le fait le gouvernement, à répondre aux aspirations légitimes du peuple togolais par des violations flagrantes et répétées des procédures parlementaires, la mauvaise foi, l'arrogance et le mépris, est une voie sans issue et une fuite en avant.

En ce jour anniversaire de l'adoption par le peuple souverain de la Constitution originelle de 1992, CAP2015, le Groupe des 6, le PNP, Santé du Peuple et le CAR ainsi que toutes les organisations de la société civile et de la Diaspora lancent un appel patriotique et solennel aux populations togolaises afin quelles poursuivent avec encore plus de détermination, notre combat commun jusquà l'aboutissement de nos revendications légitimes, à savoir :
- le retour à la Constitution originelle du 14 Octobre 1992 ;
- la révision du cadre électoral y compris leffectivité du vote des Togolais de létranger ;
- le déverrouillage des Institutions de la République et ;
- la libération de tous les prisonniers politiques notamment ceux détenus depuis les manifestations du 19 août 2017 jusquà ce jour.

A cet effet, la coalition des forces démocratiques réitère son appel à toutes les forces vives de la nation afin quelles observent le vendredi 29 septembre 2017, sur toute l'étendue du territoire national une journée Togo mort, journée de cessation de toute activité professionnelle et économique ainsi qu'un recueillement en mémoire de nos martyrs.

Restons mobiliser pour les manifestations décisives de la semaine prochaine.

« Contre la volonté du peuple, rien n'est possible.
Avec la volonté du peuple, tout est possible
La lutte populaire est invincible »

Fait à Lomé, le 27 Septembre 2017

CAP2015: Adjamagbo Johnson

Groupe des 6: N. Olympio
CAR: J. Kissi
PNP: Ouro Djikpa
SANTE du PEUPLE: G.W. Kuessan


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /home/erica/public_html/components/com_k2/templates/default/user.php on line 260