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Le Point de Kodjo Epou: Kara, un état dans l'Etat?

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lundi, 03 avril 2017 18:44

Le Point de Kodjo Epou: Kara, un état dans l'Etat? Featured

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Comment une nation gérée à la “va-comme-je-te-pousse” peut-elle un jour parvenir à solder ses différends internes et progresser ! Au lieu d’affronter avec courage et bonne foi la question cruciale des réformes politiques, seules capables de remettre les pendules à l’heure de la démocratie et de la concorde nationale, le RPT/UNIR alterne dilatoires, biceps, manipulations et expédients, livrant le pays a une profonde crise d’éthique, au désordre et à la loi de la force.

 

La situation socio-politique exécrable de notre pays est intimement liée aux dérives effarantes répétitives des forces de l'ordre, a l’instar des scènes horribles dont Kara a été le théâtre, courant Mars, avec l’interdiction musclée faite à certains citoyens de circuler ou d’exercer librement leurs activités politiques sur le territoire de cette ville. Exemples: les mésaventures de Pascal Bodjona, ancien baron du régime tombé en disgrâce  et de Tikpi Atchadam, président du Parti National Panafricain (PNP). On a vu et entendu quelques arlequins braire pour défendre ces actes choquants, éhontés, infamants, et pour tout dire, provocateurs. Au nez et à la barbe de notre président de la Republique (?), quelques zélés de l’armée, impunément, continuent de mettre leurs bottes sur certaines categories bien ciblees de la population, leur rentrant dans la gorge leur soif de vérité, de liberté et de justice, sous le prétexte menteur et sacrilège de maintenir l’ordre publique ?

Dans la ville d’origine du président donc, des individus entretenus au frais de l’État peuvent faire la loi, interdire toute réunion publique à tout parti politique autre que celui du pouvoir. Pourquoi? Au nom de quoi Kara doit-elle constituer une contrée impénétrable pour certains Togolais? Cette partie du Togo serait-elle devenue un État dans L’État avec ses propres règles, ses propres lois? Là-bas, à ce qu’il parait, règne en maître absolu un certain Bakali Bawoubadi, préfet de la Kozah. Ce Colonel tombé en rebut qui, s’il était un officier digne et bien forme, aurait dû se sentir humilié pour avoir été dégradé de son poste d’Aide de Camp du chef de L’État à celui de simple préfet périphérique. Doit-on se résoudre à accepter cette tradition de la honte qui veut que  Kara reste une ville fermée aux adversaires du "patron"? Et notre chef de L’État ne dit rien, ne prend aucune mesure! Ses militaires et miliciens vont-ils finir par comprendre un jour que dans tous les pays, la réconciliation commence là où s’arrêtent les offenses?

L’état du Togo est tellement insupportable que s’éloigner du pays à la recherche d’une terre beaucoup plus clémente est devenu, chez beaucoup de jeunes, la seule  porte de sortie. Tellement notre pays a été mis sens dessus dessous, que tous les pays alentour sont devenus les destinations prisées pour les investisseurs étrangers. Quel pays au monde peut maîtriser le chômage chez ses jeunes si les dirigeants sont mortellement médiocres, maladivement imbus de leur personne et seulement guidés par une vénalité insolente?

Qui pourrait croire que le président qui n’a pu, pendant 13 ans, offrir au Togolais que de la sueur, des larmes et de la misère en serait toujours, à défaut de la prospérité économique et morale, à faire des surenchères débiles, à pousser à la roue de l’outrance et de la duplicité, appliquant de faux remèdes aux problèmes de la nation, dans le seul et unique but de barrer la route à toute reforme qui pourraient constituer une menace pour son pouvoir?

Ceux des Togolais qui ont leur mémoire en bonne santé c’est-à-dire qui n’ont pas troqué leurs convictions profondes contre de la nourriture se souviendront que lorsqu’il fabriquait, en 2005, son pouvoir avec le sang de ses compatriotes, Faure avait prétexté, à la fin de son opération d’épuration ethnique, que son débarquement a la présidence n’avait d’autre objectif que d’éloigner le pays du spectre de la guerre civile (?), de tempérer les rancoeurs, de panser les plaies. « Plus jamais ça », avait-il dit. Mais ce serment ne l’empêche pas, jusqu’à ce jour, de laisser commettre d’inénarrables dérives, de démentielles abominations sur fond de basse police et de massives violations des droits de l’homme.

Ainsi, le Togo se perd dans ses inqualifiables confusions à ne jamais finir parce que certains de ses enfants, contre de ténues pitances, préfèrent au progrès l’autocratie vétuste du RPT/UNIR. Faure Gnassingbé veut-il, comme son père, faire du sabre le socle de son règne là où, pas si loin, ses voisins font du savoir et du caractère sacré de la vie humaine les règles de conduite de la marche résolue de leur peuple vers l’avenir?

L’atmosphère est si polluée et irrespirable que tous les coeurs soupirent une seule interrogation:  » A quand la fin de ce calcaire? «  En effet, ce serait dans une liesse générale que nos villes et campagnes vont grouiller de manifestations de soutien à tout évènement qui viendrait déposer ce régime pourri vieux d’un demi-siècle. Si ceci advenait – on a vu les exemples ailleurs – même les thuriféraires et la horde de désœuvrés qui, la paresse et l’indigence aidant,  supportent l’impopulaire système cesseraient leur grimaces hypocrites pour se fondre dans la liesse populaire célébrant la chute de l’hydre RPT/UNIR.

Kodjo Epou
Washigton DC
USA


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ERIC  K.  ALOVOR

L`Afrique, le continent noir, mère des continents, est constamment en proie à des difficultés socio-économiques et politiques qui, à bien des égards, transforment ses fils et filles, chez eux, sur leur propre terre natale, en parias et en êtres bannis ou, en terre lointaine d’asile, en citoyens acculturés et de seconde zone.

L’exil est devenu pour nos peuples, surtout les jeunes, une source nourricière potentielle et un choix de survie. Ce paradoxe crée une frustration qui érode l`Afrique et tend à faire de ses processus de démocratie naissante un Mal plutôt qu’un Bien.

Que ferions-nous d’autres et que nous resterait-il de tant d’années d’efforts et de sacrifices, si nous venions à nous égarer définitivement. De la voie de la démocratie ?

Face à cette question existentielle qui nous interpelle tous, notre compatriote Kodjo EPOU tire la sonnette d’alarme et cite : « La démocratie est loin d’être parfaite mais elle demeure le moins mauvais des systèmes » Nous avons plus intérêt à œuvrer pour l’enraciner dans nos mœurs que de la renier en collaborant, contre gains faciles et immédiats, à tout ce qui est sa négation. De nos jours, la Démocratie est un système incontournable. Au point que toute tentative de l’étouffer se révèlera, tôt ou tard, inopérante.

L’initiative de créer Fmliberte répond à cet esprit. Notre mission se projette dans cette perspective. Elle vise donc à consolider chaque jour un peu plus la démocratie dont le nerf est la parole. Ainsi, sur les ondes de Fmliberte, La radio de la Diaspora, il n’existe pas de propos tabou, à l’exception de ceux qui sont dans l’ordre d’attentats à la pudeur, d’attaques personnelles ou de fausses informations. L'idée de rassembler les africains autant que nous le pouvons constitue la trame de nos émissions. Elle n’exclut nullement les critiques, même les plus acerbes, mais elle impose le respect de l'autre dans sa dignité humaine.

Nous restons convaincus que notre investissement en temps et en matériel ne sera pas vain; que les Communautés africaines de l’étranger et l’ensemble de la diaspora africaine apprécieront nos efforts à leur juste valeur. Notre ardent souhait est que Fmliberte, cet outil majeur de communication et de rapprochement soit un véritable tremplin de la Démocratie sur le beau Continent.La vocation de Fmliberte tient en trois mots:

Divertir. Informer. Rassembler.

FM Liberte, l’autre Son de Cloche

Bonne écoute!!

Le Président/Administrateur
Eric K. ALOVOR

www.fmliberte.com

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