Une des premières activités que les deux institutions envisagent d’organiser du 13 au 17 novembre à Conakry est un séminaire dénommé « rencontre des polytechniques »
Le rapprochement entre ces deux institutions tire son origine en 2012, depuis cette date, la synergie entreprise a permis d’apporter un contenu constructif et durable, à ce qui n’était qu’un projet de séminaire scientifique a l’intension des professeurs et étudiants de l’université polytechnique UGANC.
L’attente de ce rapprochement de deux établissements est de promouvoir : les échanges étudiants ; la coopération en matière de recherche ; la coopération en matière d’enseignants ; la mise en place en Guinée d’une école préparatoire aux grandes écoles internationales et Guinéennes. Cela est inscrit dans l’engagement du gouvernement Guinéen pour développer l’enseignement supérieur et de la recherche scientifiques par la promotion de l’excellence.
Jacques Biot président de l’école polytechnique de paris l’x a salué et a encouragé ce choix stratégique qui correspond à la politique d’ouverture de l’X « il s’agit pour la Guinée, d’accompagner, la dynamique d’internationalisation des grandes écoles de classe mondiale, dans le but de bâtir des partenariats permettant l’accès aux étudiants guinéens ».
Ce séminaire scientifique qui se déroulera du 13 au 17 novembre à Conakry est une opportunité pour mettre la lumière sur l’enseignement supérieure Guinéen. Et aussi, une étape décisive qui va permettre à la Guinée d’enrichir son cercle de partenaires d’excellence à la hauteur de ses ambitions.
Le ministre guinéen de l’enseignement superieure et de la recherche scientifique Yero Balde a promis au nom du gouvernement de promouvoir et de développer « une société du savoir , construite autour d’une culture et technologique à travers un système d’enseignement superieure et de recherche scientifique performant et diversifié, répondant aux besoins du pays, capable d’accélérer l’émergence économique et sociale de la Guinée et de former des citoyens compétent, déterminés à vivre ensemble dans une société démocratique ».
Saidou Diallo