Pour le groupe, le fait de mettre en résidence surveillée Djibril Bassolé est une continuation de la détention arbitraire dont il fait l'objet.
"Même si les conditions de cette détention ont changé, Djibril Bassolé est toujours en détention arbitraire", selon le groupe de travail des Nations unies.
Inculpé pour « trahison » dans l’enquête sur le coup d’Etat manqué de septembre 2015, Djibril Bassolé a été mis en résidence surveillée. Le 10 octobre, le tribunal militaire lui a accordé la liberté provisoire.
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