La gravité de la situation, explique la démarche plutôt singulière de la ville qui va engager une action judicaire contre ces nouveaux voisins d’une autre espèce. L’objectif de cette démarche est de solliciter des fonds destinés à la mise sur pied d’un programme de contrôle de ces singes.
D’autant qu’une précédente démarche entreprise auprès du gouvernement provincial et les autorités des parcs naturels, pour solliciter le financement d’un dispositif humain de surveillance, pour chasser les babouins et éviter des heurts avec les humains, s’est soldée par un échec.
Le maire, Dan Plato pour qui ce moyen est le meilleur système de contrôle, affirme que les autorités n’ont pas laissé d’autres choix à la ville, que le recours juridique. La métropole du Cap estime être en droit de jouir, d’une part des bénéfices de l’activité touristique sur ses principaux sites, surtout si ceux-si sont destinés à mieux contrôler les babouins.(grioo.com)