Benin: President Talon returns after about one month medical leave in...
Written by ERIC K. ALOVORThe president of Benin, Patrice Talon, has returned to the country after almost one month of medical leave in France.
The 57-year-old left the capital Cotonou for France to seek medical attention for an undisclosed ailment. The Foreign Minister confirmed last week that the President was in Paris for medical check up.
Prior to the confirmation there was heightening concern among citizens who had not seen the President in public since May 24. He also missed a recent meeting of regional Heads of State in Liberia.
The man known as ‘King of Cotton,’ won presidential elections held in March last year after a a second round vote on March 20. Talon beat then-Prime Minister Lionel Zinsou with more than 65% of the votes to succeed Thomas Boni-Yayi – who had served his constitutionally mandated two terms.
Talon joins a list of African leaders who have recently traveled to Europe seeking medical attention. Nigeria’s Muhammadu Buhari is in the United Kingdom, Angola’s Jose Eduardo dos Santos was in Spain for check up.
Zimbabwe’s Robert Mugabe has been to Singapore twice since the start of 2017 for eye checks according to the government. The opposition however claim the 93-year-old is suffering from cancer, a claim the government vehemently denies.
Burkina: une ancienne ministre de Blaise Compaoré sort un album music...
Written by ERIC K. ALOVORL’ancienne ministre burkinabè Nestorine Sangaré/Compaoré, qui avait en charge le département de la Promotion de la femme et du genre dans le dernier gouvernement de Blaise Compaoré, vient de sortir un album musical, a-t-on appris dimanche de source médiatique.La nouvelle est divulguée dans plusieurs médias burkinabè mais aussi sur les réseaux sociaux: «l’ancienne ministre Sangaré est devenue chanteuse».
Selon le journal en ligne, Burkina24, «discrète depuis la chute du gouvernement de Blaise Compaoré en octobre 2014, elle (Nestorine Sangaré) a fait une apparition scénique et publique lors d’un concert pendant lequel elle a chanté».
La même source précise qu’aperçue lors de ce concert le dimanche 4 juin 2017, elle a présenté un titre du nouvel album de louanges : «Un père fidèle».
L’œuvre musicale serait un album de dix titres dans lequel l’ancienne ministre magnifie Dieu à travers des chansons mélodieuses, aux rythmes du Jazz, gospel, slow, reggae, musique tradi-moderne, etc.
A en croire imatin.net, un autre journal en ligne, la sortie officielle de l’album musical est prévue pour le 21 juin prochain.
Nestorine Sangaré née Compaoré a été ministre de la Promotion de la femme de 2011 à 2014, dans les différents gouvernements du Premier ministre Luc Adolphe Tiao, sous Blaise Compaoré.
A l’instar des autres ministres de l’équipe gouvernementale dont elle était membre, Mme Sangaré est restée discrète depuis la chute de Blaise Compaoré, en fin octobre 2014, suite à l’insurrection populaire.
The estranged wife of incoming Lesotho Prime Minister Thomas Thabane has been shot dead two days before his inauguration.
Lipolelo Thabane, 58, was travelling home with a friend when both women were shot by an unknown assailant, the police say.
The police add the motive is unknown and an investigation is continuing.
The couple had been living separately since 2012 and filed for divorce which hasn't been granted yet.
BBC southern Africa correspondent Karen Allen reports that neighbours claim there had been an incident earlier in the week when a group of unidentified men were spotted hammering on the First Lady's door.
She won a high court battle against her husband to secure the privileges of a First Lady, instead of Mr Thabane's youngest wife, Liabiloe, reports the AFP news agency.
Mr Thabane is now living with a third wife. Samonyane Ntsekele, the secretary general of Mr Thabane's All Basotho Convention party, told AFP that the prime minister was devastated by the shooting.
"Everyone is traumatised by these developments," he said. The election took place earlier this month and was the third election in three years.
There is a bitter power-struggle in the country and Mr Thabane still has enemies in the military, our correspondent adds.
His inauguration is still expected to take place on Friday. Â
Kenya: il tue son père pour avoir manqué de payer la dot de sa mère
Written by ERIC K. ALOVORUn homme du comté de Taita Taveta Mombasa au Kenya, a été arrêté après avoir agressé impitoyablement son père de 67 ans à mort pour n’avoir pas payé la dot de sa mère.
Selon Nairobi News le défunt, Wilmont Mwawasi, a été battu à mort par son fils après un court argument sur la dot non payée de sa mère, décédée il y a 12 ans.
« Nous avons arrêté le suspect et nous avons l’intention de l’interroger devant les tribunaux après l’achèvement des enquêtes », a déclaré M. Muhia, un agent de la police.
Le suspect a tué son père en utilisant une barre de métal après qu’il (le père) n’a pas été capable d’expliquer pourquoi il n’avait pas honoré sa tradition en payant la dot de sa défunte femme, et ce, malgré toute la plaidoirie faite dans ce sens.
« À partir de nos enquêtes, nous avons constaté que les querelles ont commencé lorsque le suspect a demandé à son père pourquoi il n’avait pas payé la dot, mais des enquêtes sont encore en cours pour recueillir plus d’informations », a-t-il déclaré.
M. Muhia a déclaré que le corps du père a été transporté à la morgue de l’hôpital du sous-comté de Wesu en attente de post-mortem.
L’agent d’enquête Christopher Langat et Eunice Maina, qui ont visité la scène du crime, ont déclaré que l’arme du meurtre a été récupérée au suspect.
« Nous avons récupéré la barre de métal que nous soupçonnons avoir été utilisée pour commettre le crime, mais nous cherchons toujours plus de détails pour déterminer le motif du meurtre », a déclaré l’inspecteur Langat.
L’enquêteur a déclaré que les enquêtes préliminaires indiquent que le suspect a affirmé que son père avait apporté un mauvais présage à leur famille après avoir omis de payer la dot de la mère décédée.
« La famille de la défunte mère avait exercé une pression sur le défunt pour payer la dot, alors quand le fils a demandé des explications à ce sujet, il (le défunt) s’en ai pris à lui (fils) et tout a chamboulé », a déclaré l’officier.
Mme Maina a déclaré qu’ils ont trouvé le corps du défunt couché dans une marre de sang à l’intérieur de leur maison où l’incident s’est produit.
« La barre de métal a infligé des blessures sur ses mains signifiant qu’il bloquait les coups de son fils. On peut dire que l’objet a causé sa mort « , a-t-elle déclaré, ajoutant que l’arme du meurtre sera soumise à une analyse balistique.
« Le père a commencé la querelle »
Mme Salome Mshai, la fille du défunt, qui a été témoin du meurtre, a déclaré que le père avait commencé la querelle.
« Il est rentré à la maison ivre et quand mon frère lui a demandé à propos de la dot, il s’en ai pris à lui, l’a giflé et lui a donné un coup de pied. J’ai essayé de les séparer, mais mon père a insisté pour le discipliner « , a t-elle déclaré.
Elle a dit que c’était après 30 minutes de combat physique que son père a attaqué son frère avec la barre de métal d’abord, mais heureusement pour lui, il a pu saisir l’arme et a frappé à plusieurs reprises le défunt dans la tête.
« Le suspect a réussi à arracher à mon père la barre de métal et l’a frappé sur la tête à plusieurs reprises, il a saigné abondamment et est tombé », a t-elle dit.
Selon elle, leur père était le responsable de ce qui s’était passé parce qu’il était celui qui a commencé la querelle quand on lui demanda doucement ce qu’il pensait de la dot.
La dot non payée causait la folie et bloquait les bénédictions
Elle a déclaré que les conséquences de la dot non payée avaient commencé à se manifester dans leur famille, car ses plus jeunes frères devenaient fous, pendant que d’autres avaient leurs bénédictions bloquées.
«Dans notre tradition, manquer de payer la dot a des conséquences négatives. C’est ce que nous avons commencé à subir, et qui a forcé mon frère à l’aborder pour résoudre le problème », a-t-elle déclaré.
Le suspect est détenu au poste de police de Wundanyi.
Kpalime, Togo: Le sieur Winny DOGBATSE, Président de GOMIDO FC et le ...
Written by ERIC K. ALOVOR*L’inconsolable Winny DOGBATSE s’était livré lui-même dans une campagne médiatique sauvage qui frise le ridicule.*
En effet, dans la soirée de la 26ème journée du championnat de D1-FTF, saison 2016-2017, DOGBATSE a été l’artiste d’une émission synchronisée sur les radios de Kpaliné (Radio Maria, Radio Islamique, Radio VGK).
C’est à travers cette émission que l’intoxication de la masse a été lancée et entretenue par le mauvais perdant Winny DOGBATSE et ses accompagnateurs.
En rapprochant le contenu de cette bande en EWE (langue locale de Kpalimé) à la chronique de Rémy N'GONO sur le match GBIKINTI vs MARANATHA dans l’émission Radio Foot sur RFI, on peut déduire sans se tromper que le texte de ce Consultant de la radio internationale a été dicté depuis l’entourage du Président de GOMIDO. Son assistant le journaliste Edem Junior AMENUYAN était d’ailleurs dans les studios cette soirée là .
" l'affaire dû match kotoko contre anges de Notsé est déjà sûr là table de la caf et de la Fifa " à déclaré Dogbatsê dans la Même émission. Est ce à Dogbatsê de nous l'annoncer où le comex ?
Le controversé DOGBATSE, connu dans la gestion des milliards de la CAN-KABINDA 2010 se montre le plus connu de le CAF et de la FIFA. Dans l’entame, DOGBATSE déclare sans preuve que le gardien Bassa-Djéri de GBIKINTI FC a pris la balle depuis sa surface de réparation pour aller marquer un but, après avoir driblé tous les adversaires ! Il a tenu des propos très graves en annonçant avoir été alerté depuis la veille du match des cas de corruptions. Ce type appelle également les populations à affronter le Président de MARANATHA FC, Gabriel AMEYI ! Ces propos devraient susciter l’ouverture d’une enquête de la part des commissions spécialisées de la FTF. Car ce Monsieur est nommé conseiller spécial du Président de la FTF, le Colonel Guy Akpovy.
Les clubs GBIKINTI FC et MARANATHA FC pouvaient aussi porter plainte contre ces allégations de DOGBATSE.
Mais la grande interrogation reste l’emprise de Monsieur DOGBATSE sur le Gendarme Akpovy. Puisque c’est à partir des déclarations mensongères de ce premier que les sanctions dites provisoires ont été signifiées au deux clubs.
Rappelons que le mème Dogbatsê avait déclaré que les comploteurs dans l'attaque de cabinda contre l'équipe togolaise sont les togolais .
*B. Douligna*
Highlights from the U.S.-Africa Business Summit, Washington, DC
Written by Bill Emile DavolkHandball: un Togolais meilleur spécialiste du monde
L’international français d’origine togolaise s’est forgé l’un des plus beaux palmarès du handball tricolore à force de discipline.
Son CV n’en finit plus. Avec la France, Luc Abalo, à 32 ans, a tout gagné. L’or des Jeux olympiques (2008, 2012), celui des championnats du monde (2009, 2011, 2017) ou d’Europe (2006, 2010, 2014). Des titres nationaux et continentaux avec Ivry, son premier club, Ciudad Real et le PSG. Et tout un stock de distinctions individuelles, venant rappeler qu’aux postes qu’il occupe (arrière droit ou ailier droit) il fait partie des meilleurs spécialistes de la planète.
Avec ses compatriotes Nikola Karabatic, Thierry Omeyer, Daniel Narcisse – qui sont aussi ses Âcoéquipiers à Paris – et Michaël Guigou, Abalo représente l’excellence du handball français, qui a su tourner le dos à un amateurisme désuet pour épouser les vertus de la performance. « Je suis plus vers la fin que vers le début. Ce que j’ai gagné, j’en suis fier. J’ai encore quelques années devant moi. Tant que le corps et la tête suivent… »
Des débuts à Ivry-sur-Seine
À Coubertin, où le PSG dispute ses matchs à domicile, Abalo est chez lui. Des gamins profitant des vacances scolaires guettent la fin d’une interview qui se prolonge, pressés d’obtenir le précieux autographe du trentenaire multititré. Lui aussi, quand il était plus jeune, regardait évoluer, les yeux tout ronds, les joueurs d’Ivry, alors l’un des meilleurs clubs français. « Ivry, c’est ma ville. J’y suis né, j’y ai grandi, j’y ai commencé ma carrière », explique-t-il.
Dans les 26 m² que la famille Abalo occupe à cinq dans une cité d’Ivry-sur-Seine, Luc, le petit dernier des trois enfants du couple d’origine togolaise – père maçon, mère femme de ménage –, a besoin d’air. Le foot l’attire, mais Ivry est une ville de hand. Alors, ce sera le hand. Et les études, aussi. Car la future star aime l’école. « Enfin, surtout pour les matières qui m’intéressaient vraiment?: l’histoire, le français, le dessin, un peu les langues étrangères… Mais pas trop les maths. » Dans le petit appartement familial, où la place manque, Abalo parvient toujours à trouver un coin de table pour faire ses devoirs. « J’étais assez discipliné », se souvient-il.
L’homme élastique au Ciudad Real
À 15 ans, il intègre une section sport-études à Eaubonne, dans le Val-d’Oise, s’oriente vers un BEP vente puis intègre une école privée d’arts appliqués pendant trois ans, pour vivre son autre passion, la peinture. « J’ai commencé à jouer avec Ivry en division 1, tout en continuant à étudier. Je n’étais pas professionnel, à l’époque. » Gros bosseur malgré un talent inné, Abalo, qui touche d’abord l’équivalent de 150 euros par mois, devient rapidement un des tauliers de l’équipe, voit ses revenus augmenter et décroche même sa première sélection avec la France, en 2006.
Son style de jeu emporte l’adhésion de l’exigeant public espagnol, qui en fait un de ses chouchous.
De l’autre côté de la frontière, Ciudad Real, un des meilleurs clubs d’Espagne et d’Europe des années 2000, suit de près ce joueur au profil atypique, pas immense (1,82 m) mais « beau » à voir jouer, doté d’un bras gauche surpuissant et d’une extension hors norme. À 23 ans, « l’homme élastique », comme on le surnomme, s’exile pour la première fois de sa carrière, sans crainte particulière, d’autant qu’évoluent dans cette équipe ses compatriotes Didier Dinart et Jérôme Fernandez.
« La ville de Ciudad Real, c’est 70?000 habitants, à deux heures au sud de Madrid. Il n’y avait pas grand-chose à faire. Au moins, c’est idéal pour se concentrer sur son métier. » Son style de jeu emporte l’adhésion de l’exigeant public espagnol, qui en fait un de ses chouchous. En Espagne, Abalo accumule les titres, dont une Ligue des champions (2008-2009), mais les difficultés sportives du club, qui conduiront ce dernier à disparaître en 2013, obligent Ciudad Real à se séparer de ses meilleurs joueurs.
Source: jeuneafrique.com
Czechoslovakia: Un homme couche avec 57 femmes en 24h, record mondial
Written by ERIC K. ALOVORMardi, un homme de 34 ans originaire de Singapour a battu un record du monde, en ayant eu des rapports s3xuels avec 57 femmes différentes dans une période de 24 heures. Le record a été établi à Prague, dans le cadre d’un événement annuel organisé par un bord3l local.
L’identité de l’homme n’a pas été révélée par les médias tchèques, mais il a avoué qu’il avait essayé de briser un record;
« J’ai toujours été un adepte du s3xe, et quand j’ai appris que le bord3l avait une compétition de record du monde, je savais que je devais venir lui donner un coup de main », a-t-il déclaré.
Il a également ajouté qu’il a pris le défi très au sérieux et s’est préparé pour cela.
La compétition a débuté à minuit heure locale, avec les officiels regardant le moment où l’homme commençait à s’entretenir avec sa première partenaire.
Comme chaque fille devait être différente, beaucoup de filles ont été embauchées.
Il avait couché avec 29 femmes en milieu de journée. Il a été assisté par un physiothérapeute, qui l’aidait avec un massage, chaque fois qu’il ressentait de petites crampes.
Selon les règles établies, aucun homme n’est autorisé à prendre des médicaments pour améliorer l’ér3ction. En outre, le challenger doit éjaculer plus de 5 ml de sp3rme dans chacune des sessions de relations s3xuelles.
L’homme originaire de Singapour a pu coucher avec 56 femmes avant 23 heures. Cependant, il a décidé de surpasser le record et l’envoyer à 57, en couchant avec une femme de plus.
« Dès qu’il a fini, il a été transporté à l’hôpital pour le traitement de son p3nis », a déclaré un officiel.
Ce record était détenu jusqu’ à cette date par un acteur p*rno américain, qui avait couché avec 55 femmes en 24 heures en 1983
Source :Â afrikmag
80 immigrants clandestins ghanéens rapatriés des Etats-Unis ont atte...
Written by ERIC K. ALOVORDes immigrants  clandestins ghanéens expulsés des  États-Unis ont atterri à l’aéroport international de Kotoka à Accra ce mercredi 14 juin 2017.
Les membres du Service de l’immigration ainsi que le Service de police du Ghana ont soigneusement dépistés  les 80 déportés encore menottés descendus à l’aéroport.
C’est la deuxième fois, cette année qu’un contingent ghanéen est renvoyé des États-Unis. En janvier déjà 108 africains dont 58 ghanéens avaient été rapatriés du pays de l’oncle Sam.
Le rapatriement est conforme à une promesse de campagne du président américain Donald Trump, qui s’est engagé à expulser tous les ressortissants étrangers qui sont entrés illégalement dans le pays.
En effet Donald Trump, pendant la campagne présidentielle soutenait que des ressortissants étrangers avaient envahi les États-Unis, occupant des emplois destinés aux «vrais Américains». Il avait donc promis de résoudre le problème une fois élu. Et après avoir remporté les élections, il semble que le président des États-Unis soit en train d’honorer sa parole.
Plus de  7 000 ghanéens vivent illégalement aux États-Unis, selon Robert P. Jackson, ambassadeur de ce pays au Ghana.
Source :Â abidjan tv
Â
Côte-d’Ivoire: Alpha Blondy appelle Ouattara à retirer la plainte ...
Written by ERIC K. ALOVORAlpha Blondy veut une « amnistie générale »
Abidjan – La star ivoirienne du reggae Alpha Blondy aappelé mercredi à « une amnistie générale » et à la libération de tous les prisonniers détenus dans le cadre de la crise post-électorale de 2010-2011 en Côte d’Ivoire, en estimant que le pays vit un « traumatisme ».
« La réconciliation en Côte d’Ivoire ne peut se faire qu’à travers une amnistie générale qui serait un acte politique courageux », a déclaré le reggaeman aux millions d’albums vendus dans un entretien à l’Agence France Presse, AFP.
« Actuellement il y a comme un traumatisme qui sévit parmi tous les Ivoiriens, même chez les politiques. Ce traumatisme c’est la peur de la guerre qu’ils ont déjà vécue. Aujourd’hui c’est cette peur qui fait qu’on a du mal à poser un acte politique courageux », a affirmé le chanteur.
« Libérez Simone Gbagbo! », l’ex-première dame ivoirienne qui purge une peine de 20 ans de prison pour atteinte à la sûreté de l’Etat, « et tous les autres prisonniers politiques », a demandé l’artiste sanglé dans un ensemble boubou vert-blanc et coiffé d’un bonnet aux couleurs rouge-jaune-vert des Rasta.
Pour lui, « les politiciens ivoiriens se sont amusés à se faire peur. Ils ont agrandi le fossé entre les uns et les autres ». Le chanteur de Brigadier Sabari ou Sweet Fanta Diallo les invite « à se débarrasser de leur étiquette et trouver ensemble une solution comme la libération et l’amnistie de tous les prisonniers ».
Ces politiciens devraient « encourager M. Ouattara qui lui aussi est parmi les traumatisés afin que la Côte d’Ivoire retire sa plainte contre MM. Gbagbo et Blé Goudé. Car à la CPI (la Cour pénale internationale) c’est le procès de la Côte d’Ivoire, de la famille politique ivoirienne qui va mal et non celui de Gbagbo et Goudé » a-t-il souligné.
En fait, c’est la CPI qui a ouvert une enquête à la suite des violences post-électorales en Côte d’Ivoire, et, ensuite, Abidjan, signataire du statut de Rome, a livré Gbagbo et Blé Goudé à la Cour internationale.
– ’Querelles idiotes’ –
« Les politiciens ivoiriens doivent se dire qu’on a deux des nôtres qui sont en déportation à la Haye. C’est honteux! Cela prouve la médiocrité des politiciens ivoiriens », a poursuivi le chanteur, estimant qu’ »ils ne doivent pas être fiers d’eux-mêmes ».
L’artiste s’est dit inquiet quant à l’avenir du pays si de telles mesures n’étaient pas prises « Ça suffit largement! C’est un impératif parce que si M. Ouattara (le président ivoirien Alassane Ouattara) achève son mandat et laisse la situation en état, ce qui vient alors fait peur ».
Il a aussi qualifié de « querelles idiotes », l’antagonisme entre le président de l’Assemblée nationale de Côte d’Ivoire Guillaume Soro, ancien chef de la rébellion, et le ministre de l’Intérieur Ahmed Bakayoko, tout deux proches du président ivoirien et qui nourrissent selon les médias des ambitions présidentielles.
« C’est indécent de se livrer à des querelles de succession quand celui à qui on veut succéder est vivant », a déploré Alpha Blondy. « Ça suffit vos querelles d’étudiants, vous êtes appelés à gérer ce pays, et ce n’est pas en vous comportant en irresponsables que vous allez y arriver! On ne confie pas un boeuf à celui qui n’a pas pu sauver un oeuf. Il y a 25 millions d’âmes qui dépendent de vos querelles idiotes », a martelé l’artiste qui a notamment été « messager de la paix » de l’ONU dans son pays en 2005.
Interrogé sur les mutineries, qui ont secoué en mai le pays, la vedette de la chanson reggae a répondu: « si on doit payer ceux qui ont fait la guerre, combien va-t-on payer à ceux qui sont morts? Arrêtons ça! Il est grand temps qu’on se ressaisisse ».
Les mutineries puis les manifestatiosn d’anciens rebelles démobilisés qui avaient pour épicentre la ville de Bouaké (centre) ont fait huit morts
Source : Connection Ivoirienne.
More...
Lome, TOGO: DÉCLARATION DES OSC RELATIVE À L'ARRESTATION DU PRÃ...
Written by SOGADJI EmmanuelÂ
Depuis un certain temps, nous constatons avec regret que les premiers responsables de la Ligue Togolaise Des Droits des Etudiants (LTDE) sont constamment harcelés par les autorités universitaires dans le cadre de leurs mouvements revendicatifs de meilleures conditions de vie et d etude des étudiants de l université de Lomé.
Dans la foulée, son président, monsieur Foly Satchivi, qui est le plus visé, a été victime à maintes reprises, d' agressions physiques sur le campus et tout dernièrement, a été touché par des tirs de gaz lacrymogènes le 7 juin lors d une Assemblée Générale, réprimée par les forces de l ordre sur le campus.
Ce 14 Juin 2017, alors que la LTDE était en Assemblée Générale sur le campus, son président, monsieur Satchivi et certains de ses camarades ont été interpellés manu militari par les forces de l'ordre et de sécurité et déposés injustement cette nuit, selon certaines sources d informations, à la prison civile de Lomé.
Nous condomnons au passage avec véhémence la violente répression par les forces de l ordre des étudiants de l Université de Lomé, qui ne réclament que de meilleures conditions de vie et d étude.
Nous constatons avec amertume que les autorités n ont pas cherché à ouvrir de véritables négociations avec les étudiants qui étaient laissés pour compte.
Ainsi, nous dénonçons avec rigueur la fuite en avant des autorités universitaires face à la satisfaction de la plateforme revendicative des étudiants et soutenons le droit des étudiants à la revendication de meilleure conditions de vie et d étude, garanties par la constitution togolaise.
Nous condamnons fermement l' arrestation arbitraire de monsieur Foly Satchivi et de certains de ses camarades étudiants par les forces de l ordre, suivie, selon certaines sources, de leur transfèrement à la prison civile de Lomé tard dans la nuit.
Nous sommes aussi très inquiets de l état de santé de monsieur Foly Satchivi, qui était en convalescence au moment de son arrestation.
Fort de tout ce qui précède, nous exigeons :
- La libération immédiate et sans condition de monsieur Foly Satchivi et de tous ses camarades;
- L ouverture de véritables négociations entre les autorités universitaires et les responsables des mouvements estudiantins en vue de la satisfaction de la plateforme revendicative des étudiants;
- Le respect par les forces de l ordre de la franchise universitaire.
Nous restons avisés et insistons sur la vigilance des organisations de défense des droits de l homme quant à l issu à réserver à cette énième violation des dtoits et libertés fondamentales de l homme au Togo.
Nous appelons les représentants diplomatiques et les organisations internationales accrédités au togo à utiliser tous les moyens de pression et d influence nécessaire pour amener les autorités togolaise à la raison.
Fait à Lomé, le 15 Juin 2017
Ont signé pour
LCT: SOGADJI Emmanuel
SP-BT: Klousse Yao
REJADD-TOGO: JOHNSON Kwassi Assiba
Colombie: un mariage entre trois hommes officiellement reconnu
Written by ERIC K. ALOVORLa Colombie a officiellement reconnu début juin 2017 une famille composée de trois hommes.
C’est une première dans le pays. La Colombie, où le mariage homosexuel est autorisé depuis 2016, a officiellement reconnu début juin l’union entre trois personnes.
« Nous voulions officialiser notre foyer, notre famille. Il n’y avait rien de solide légalement qui nous reconnaissait en tant que famille », a déclaré Victor Hugo Prada, un des membres de cette union, dans une vidéo diffusée lundi. « Nous sommes une famille, une famille polyamoureuse », s’est-il réjoui. Cet acteur et ses deux conjoints sont entrés le 3 juin sous le régime patrimonial connu légalement en Colombie sous le nom de « trieja ».
« C’est une reconnaissance que d’autres types de familles existent »
Bien que ce type d’union soit fréquent, c’est la première fois « qu’il est légalisé », a expliqué à German Rincon Perfetti, avocat de l’association LGBTI (lesbiennes, gays, bisexuels, trans et intersexuels). « C’est une reconnaissance que d’autres types de familles existent », a-t-il estimé.
Selon German Rincon, accéder à ce régime patrimonial a des implications « cent pour cent légales » pour les trois hommes, qui en cas de séparation ou de décès auraient à procéder à une séparation de biens ou auraient accès à une pension.
En Colombie, les couples homosexuels ont le droit d’adopter des mineurs, qu’ils soient ou non les enfants biologiques de l’un des membres du couple.
Cameroon: Paul Biya 'impliqué' dans l'affaire Mgr Beno...
Written by ERIC K. ALOVORA l'issue d'une assemblée plénière extraordinaire au siège de la Conférence Episcopale Nationale à Mvolyé, le mardi 13 juin 2017, les évêques du Cameroun, suite au décès tragique de Son Exc. Mgr Jean Marie Benoît BALA,
impliquent Paul Biya, chef de l'État du Cameroun, pour qu'il assume son devoir régalien et fasse la lumière sur les circonstances et les mobiles de l’assassinat de Mgr Jean Marie Benoît BALA et que les coupables soient nommément identifiés et livrés à la Justice pour qu’ils soient jugés selon la loi.
Voici ci-dessous l'intégralité de la déclaration des Evêques du Cameroun :
1/ L’Eglise catholique au Cameroun vit un moment difficile et délicat de son histoire et de sa mission. En effet, au matin du mercredi, le 31 mai 2017, la voiture de Monseigneur Jean Marie Benoît BALA, Evêque de Bafia, se trouvait en position de stationnement anormal sur le Pont de l’Enfance au lieu-dit Ebebda, en direction de Bafia. L’Evêque était porté disparu.
2/ Dès l’annonce de la disparition de l’Evêque, les autorités civiles et religieuses et les pouvoirs publics descendent sur les lieux. Orientés par un étrange message retrouvé sur le siège avant-droit de la voiture, à côté de sa carte d’identité nationale et d’autres pièces personnelles, ils ont donné l’ordre aux Sapeurs-Pompiers, d’entreprendre les recherches du corps de l’Evêque au fond du fleuve. Lesdites recherches continuent jusqu’au matin du vendredi, 2 juin 2017, où la dépouille de l’Evêque a été retrouvée par un pêcheur à quelques kilomètres du Pont de l’Enfance au lieu-dit Tsang et ramenée à la berge par les éléments des forces de défense.
Le corps a été identifié par Nosseigneurs Piero PIOPPO, Nonce Apostolique au Cameroun, Samuel KLEDA, Président de la Conférence Épiscopale, Jean MBARGA Archevêque de Yaoundé, en présence des autorités civiles et administratives parmi lesquelles le Gouverneur de la Région du Centre. La dépouille mortelle a été conduite à l’Hôpital Général de Yaoundé.
3/ Le samedi, 3 juin 2017, un avis de décès et un message de condoléances ont été adressés aux fils et filles du diocèse de Bafia et à la famille naturelle du défunt par le Président de la Conférence Épiscopale et l’Archevêque de Yaoundé.
4/ A l’heure actuelle, le corps est à la disposition des autorités judiciaires en vue de la recherche des circonstances, des causes exactes et des auteurs de ce crime odieux et inacceptable.
5/ La mort tragique de Mgr Jean Marie Benoît BALA a choqué et bouleversé le Peuple de Dieu, tous les Camerounais et l’opinion internationale. Compte tenu des premiers constats, Nous, Evêques du Cameroun, affirmons que Mgr Jean Marie Benoît BALA ne s’est pas suicidé ; il a été brutalement assassiné. Voilà un meurtre de plus, et un de trop.
6/ Nous avons le triste souvenir de plusieurs autres prélats, membres du clergé et personnes consacrées qui ont été assassinés dans les conditions non élucidées jusqu’à ce jour. Pensons notamment à Mgr Yves PLUMEY (Ngaoundéré - 1991), Abbé Joseph MBASSI (Yaoundé - 1988), Père Antony FONTEGH (Kumbo-1990), les Sœurs de Djoum (en 1992), Père Engelbert MVENG (Yaoundé – 1995), pour ne citer que ceux-là . Nous avons le sentiment que le clergé au Cameroun est particulièrement persécuté par des forces obscures et diaboliques.
A l’Etat du Cameroun,
7/ Les Evêques exigent que toute la lumière soit faite sur les circonstances et les mobiles de l’assassinat de Mgr Jean Marie Benoît BALA. Que les coupables soient nommément identifiés et livrés à la Justice pour qu’ils soient jugés selon la loi. Que l’Etat assume son devoir régalien de protection des vies humaines*, et notamment celle des Autorités ecclésiastiques.
Les Evêques attendent en outre les conclusions officielles de l’enquête.
Aux meurtriers,
Les Evêques prient pour eux et leur demandent de s’engager dans une démarche de conversion urgente et radicale. Aux hommes de médias et aux utilisateurs des réseaux sociaux,
8/ Les Evêques leur demandent de renoncer à la diffamation, aux mensonges, aux calomnies, et leur recommandent le respect de la dignité de la personne humaine, de la vérité, de la pudeur et du discernement dans le traitement de certaines informations.
A tous ceux qui se sont mobilisés,
Aux populations d’Ebebda et des environs,
9/ Les Évêques les remercient pour les efforts engagés dans la recherche du corps de l’Évêque bien souvent au risque de leur propre vie.
Aux fidèles du diocèse de Bafia,
A la famille naturelle de Mgr Jean Marie Benoît BALA,
A tout le Peuple de Dieu,
10/ Nous vous disons : gardez courage, le Christ a vaincu le monde (cf. Jn 16, 33). Vos Pasteurs portent avec vous la douleur de cette triste disparition. Que votre foi ne défaille pas. Puisez les forces nécessaires dans les célébrations eucharistiques, les prières aux suffrages de vos défunts Pasteurs et aussi pour la paix et la justice dans notre pays.
11/ Que la Vierge Marie, Reine des Apôtres, Notre Dame des Douleurs, Patronne du Cameroun, nous accompagne dans cette dure épreuve.
Â
Source: Cameroonweb
Â
Zone CEDEAO: La très belle leçon de Patrice Talon à Faure Gnassingb...
Written by ERIC K. ALOVORSous l’impulsion de Patrice Talon, la Direction générale de la police nationale béninoise a limogé l’ensemble des agents béninois qui opèrent au poste frontalier Bénin-Togo de Hilacondji, sans épargner le commissaire.
C’est via une note de service en date du vendredi 09 juin 2017 que lesdits limogeages ont été effectués pour de graves affaires de corruption. Les agents tombés en disgrâce vont être parachuté à l’intérieur du pays où ils devront exercer d’autres fonctions.
La note de service qui annonce le licenciement de ces agents de police et de douanes opérant à la frontière Bénin-Togo, nomme le Commissaire de Police Ghislaine Bocovo pour prendre les rênes du nouveau Commissariat.
D’autres mesures plus sévères sont annoncées. Il s’agit pour le président béninois Patrice Talon non seulement de mettre en garde d’éventuels récidivistes mais aussi de déstabiliser les pratiques honteuses de corruption auxquelles se livrent les agents de la police et de douanes sur les axes routiers et postes frontaliers.
Cette décision courageuse du chef de l'État béninois arrive au lendemain de la visite du nouveau président de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) à la frontière Togo-Ghana. Faure Gnassingbé, le président du Togo, s’y était rendu pour s’assurer que les agents aux postes de frontière respectent le principe de libre circulation des biens et des personnes dans l’espace CEDEAO.
Contrairement à Faure Gnassingbé qui s'est contenté d'une simple visite à la frontière Togo-Ghana, son homologue béninois Patrice Talon quant à lui, est allé plus loin, en faisant expulser les agents véreux