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ERIC K. ALOVOR
ERIC  K.  ALOVOR

ERIC K. ALOVOR

L`Afrique, le continent noir, mère des continents, est constamment en proie à des difficultés socio-économiques et politiques qui, à bien des égards, transforment ses fils et filles, chez eux, sur leur propre terre natale, en parias et en êtres bannis ou, en terre lointaine d’asile, en citoyens acculturés et de seconde zone.

L’exil est devenu pour nos peuples, surtout les jeunes, une source nourricière potentielle et un choix de survie. Ce paradoxe crée une frustration qui érode l`Afrique et tend à faire de ses processus de démocratie naissante un Mal plutôt qu’un Bien.

Que ferions-nous d’autres et que nous resterait-il de tant d’années d’efforts et de sacrifices, si nous venions à nous égarer définitivement. De la voie de la démocratie ?

Face à cette question existentielle qui nous interpelle tous, notre compatriote Kodjo EPOU tire la sonnette d’alarme et cite : « La démocratie est loin d’être parfaite mais elle demeure le moins mauvais des systèmes » Nous avons plus intérêt à œuvrer pour l’enraciner dans nos mœurs que de la renier en collaborant, contre gains faciles et immédiats, à tout ce qui est sa négation. De nos jours, la Démocratie est un système incontournable. Au point que toute tentative de l’étouffer se révèlera, tôt ou tard, inopérante.

L’initiative de créer Fmliberte répond à cet esprit. Notre mission se projette dans cette perspective. Elle vise donc à consolider chaque jour un peu plus la démocratie dont le nerf est la parole. Ainsi, sur les ondes de Fmliberte, La radio de la Diaspora, il n’existe pas de propos tabou, à l’exception de ceux qui sont dans l’ordre d’attentats à la pudeur, d’attaques personnelles ou de fausses informations. L'idée de rassembler les africains autant que nous le pouvons constitue la trame de nos émissions. Elle n’exclut nullement les critiques, même les plus acerbes, mais elle impose le respect de l'autre dans sa dignité humaine.

Nous restons convaincus que notre investissement en temps et en matériel ne sera pas vain; que les Communautés africaines de l’étranger et l’ensemble de la diaspora africaine apprécieront nos efforts à leur juste valeur. Notre ardent souhait est que Fmliberte, cet outil majeur de communication et de rapprochement soit un véritable tremplin de la Démocratie sur le beau Continent.La vocation de Fmliberte tient en trois mots:

Divertir. Informer. Rassembler.

FM Liberte, l’autre Son de Cloche

Bonne écoute!!

Le Président/Administrateur
Eric K. ALOVOR



Il n’existe pas une industrie du faux dans la Diaspora togolaise. Très majoritairement, la Diaspora togolaise est républicaine et
adhère pleinement au devoir de restituer la dignité aux citoyens du Togo. Le temps est bien venu d’en arriver à l’essentiel :
consolider ce consensus majoritaire d’une alternance politique. Le Togo n’est pas une dynastie… Le Togo doit redevenir une
République… Le Togo doit sortir de son accoutumance à l’inacceptable humiliation et au prie-Dieu de tout un peuple.

Il n’existe pas une industrie du faux dans la Diaspora togolaise. Très majoritairement, la Diaspora togolaise est républicaine et adhère pleinement au devoir de restituer la dignité aux citoyens du Togo. Le temps est bien venu d’en arriver à l’essentiel : consolider ce consensus majoritaire d’une alternance politique. Le Togo n’est pas une dynastie… Le Togo doit redevenir une République… Le Togo doit sortir de son accoutumance à l’inacceptable humiliation et au prie-Dieu de tout un peuple.

 

L’histoire de la Diaspora togolaise s’est toujours écrite à l’encre de l’authentique engagement politique.  Ceux et celles qui y ont toujours œuvré peuvent en témoigner. Les imitations qui ont pu émerger par moment ici et là dans la Diaspora, par temps brumeux, sous le prétexte fallacieux d’associations apolitiques prétendument indépendantes ou au-dessus des partis politiques, n’ont jamais su prospérer. La Diaspora togolaise a véritablement un parti pris : le parti pris de la dignité humaine.

 

Il en existe encore, de ces organisations de la Diaspora togolaise qui se demandent toujours si elles doivent être politiques ou apolitiques; elles stagnent, elles angoissent, elles déclinent, elles se prennent pour ce qu’elles ne sont pas. À différentes occasions, à Gatineau ou à Montréal particulièrement, la Diaspora togolaise avait eu à lever toutes les équivoques, déconstruire tous les mythes de sa prétendue division sur la question politique au Togo.

 

Le bobo togolais est politique avant d’être toute autre chose sociale, économique, institutionnelle, personnelle, etc. C’est un si clair diagnostic qui appelle un engagement véritablement politique, sur le front du changement et de la reconquête de cette dignité des Togolaises et des Togolais, aussi longtemps bafouée.

 

Davantage encore, l’adhésion à la République et à un Togo nouveau devient un impératif catégorique. Toutes les imitations sophistiquées d’apparence innocente, toutes ces imitations alambiquées portées par d’invraisemblables antagonismes de personnes et de perspectives, n’ont jamais pu venir à bout de la vigilance, de la rigueur et des intelligences immanentes à la Diaspora togolaise. L’art de la marionnette et l’âge de la couardise dissimulée n’ont jamais su définir la Diaspora togolaise.

 

Chicago comme prologue

 

Il y a lieu de saluer cette fidélité à la République; une véracité qui toujours s’est enracinée dans la Diaspora togolaise. Le Togo doit changer, et la « Terre de nos aïeux » doit passer à la démocratie. C’est sur un tel socle de longue fertilité républicaine que s’élève le Consensus  de Chicago ensemencé depuis les légendaires terres canadiennes ou tant d’initiatives généreuses ont  toujours fondé la Diaspora togolaise. Solidement, et rien de moins!

 

Jour après jour, nuit après nuit, le Consensus de Chicago, a été pensé, nourri, et mis en branle avec cette détermination que la Diaspora togolaise doit se donner une présence éminemment politique. Chicago n’est donc qu’une étape; l’étape de l’affirmation d’une orientation et d’une direction. Chicago n’est qu’un début; le début d’un autre investissement de la Diaspora dans la nécessaire construction d’un solide pont vers le changement au Togo.

 

Après les proches Ghana, Bénin et Burkina Faso, à la suite de la lointaine Gambie, la preuve est faite avec une inébranlable assiduité, qu’aucune fatalité sociohistorique n’existe pour que le Togo demeure un potentat confisqué de manière aussi ostentatoire par une caste, et de façon aussi déshumanisante pour le reste de la population. La Diaspora togolaise est véritablement prête à cet engagement aux côtés de toutes les entités républicaines pour huiler la bascule de la démocratie, de la réconciliation et du développement.

 

Aux portes du Togo attendent, trop longtemps, la démocratie, la réconciliation et le développement. C’est avec tout cela que le Togo et ses citoyens ont rendez-vous. Le retard ainsi accumulé pour si longtemps n’est plus justifiable dans le contexte d’un monde en pleine mutation et pour un pays désireux d’appartenir à son époque : franchir l’obstacle dictature en définissant le Togo que nous, Diaspora, voulons et sommes prêts à contribuer à la place du pays actuel qui ne fait la fierté de personne. Personne n’aidera à la démocratie au Togo à la place de ses citoyens eux-mêmes. Le Consensus de Chicago l’a bien compris. Et ses résultats sont attendus dans un mois, jour pour jour, détermination pour détermination

Pierre S. Adjété
Québec, Canada
●29 mars 2017●

Les togolais ont commencé par ne pas avoir peur... Affrontements terribles entre les manifestants et les forces de l ordre à  agbanlepedo...

l'un des militaires<< mes amis ça n'a pas été facile au camp...beaucoup de nos camarades ont refusé de sortir mais on nous a choisit par rapport a des menaces donc rendez nous la tache facille pour que tout le monde rentre chez lui...>>un militaire qui parlait a une revendeuse de pain... 

on reçoit des infos selon lesquelles des officiers refuseraient de coordonner les opérations de repressions encours ...c'est le comble au commissariat central et la DGGN...La BIR1 et le 2RIA sont appelés a imposé l'ordre par tous les moyens...la BIR2 est déjà en action au nord...hummmm...le TOGO

Au CHU SO :Un des manifestants décédé (par balle) vient d'être amené
Un autre est touché à l'épaule

 

L’avion qui va exiler Jammeh prêt à décoller : le dictateur fera une déclaration à la GRTS

Les troupes sénégalaises ont franchi la frontière

L'avion qui va exiler Jammeh prêt à décoller

Plusieurs sources sûres annoncent que les négociations ont abouti et que Yahya Jammeh a accepté de céder le pouvoir et de quitter Banjul après la médiation des présidents de la Guinée et de la Mauritanie.Jammeh accepte de Partir

Selon l’envoyé spécial de BBC, Claude Foly est sur le tarmac de l’aéroport en compagnie de journalistes venus couvrir le départ.

 Selon lui, l’équipe de la télévision nationale (GRTS) qui était au Palais présidentiel vient de rejoindre les journalistes à l’aéroport pour assister au départ de celui qui a régner 22 ans sur la Gambie.

Yahya Jammeh accepte de quitter le pouvoir, selon Adama Barrow.

Adama Barrow annonce sur Twitter que Jammeh a accepté de quitter le pouvoir.  » Il va quitter la Gambie ce soir », a indiqué M. Barrow sur son compte twitter.

Yahya Jammeh fera incessamment une déclaration à la télévision nationale gambienne, selon l’envoyé spécial de la BBC à Banjul, Claude Foly.

 

Les troupes sénégalaises sont entrées le 19 janvier en Gambie, avec l’aval du conseil de sécurité de l’ONU pour soutenir le nouveau président gambien Adama Barrow dans sa confrontation avec Yahya Jammeh, qui refuse de démissionner.

Les troupes sénégalaises ont franchi la frontière

 

 

 

« Nous sommes entrés en Gambie », a déclaré le Colonel Abdou Ndiaye à l’agence Reuters. Les troupes sénégalaises déployées aux frontières avec la Gambie en vue d’une opération ouest-africaine pour contraindre Yahya Jammeh à céder le pouvoir au nouveau président Adama Barrow sont entrées sur le sol gambien dans l’après-midi [19 janvier], a annoncé le porte-parole de l’armée.

Des coups de feu étaient entendus jeudi après-midi en Casamance, dans le sud du Sénégal, en provenance de plusieurs villages proches de la frontière gambienne, selon un correspondant de l’AFP.

Des accrochages ont également eu lieu entre des soldats sénégalais et des rebelles présumés du Mouvement des forces démocratiques de Casamance (MFDC) dans d’autres villages de la région, ont indiqué des témoins à l’AFP. Le MFDC, qui se bat depuis 1982 pour l’indépendance de la Casamance est réputé favorable au régime du président Jammeh.

Le début des opérations militaires en Gambie a été annoncé peu près la fin de la prestation de serment à l’ambassade de Gambie à Dakar du nouveau président gambien Adama Barrow, et le vote unanime du Conseil de sécurité de l’ONU appuyant les initiatives de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (Cédéao).

La Cédéao (15 Etats), qui presse M. Jammeh de quitter le pouvoir, avait prévenu à plusieurs reprises qu’elle pourrait avoir recours à la force en dernier ressort.

Le Sénégal est appuyé dans les opérations militaires en Gambie par le Nigeria, pays de poids et puissance régionale, qui avait annoncé auparavant que son aviation effectuait jeudi après-midi des vols de reconnaissance au-dessus de Banjul, se disant prêt à imposer la volonté de la Cédéao.

Le Ghana a également annoncé avoir mis 205 militaires à la disposition de la Cédéao.

 

L’ONU apporte son soutien à la CEDEAO

Investiture à l’Ambassade de la Gambie : Adama Barro appelle l’Armée à regagner les casernes

(Dakar) – Le tout nouveau Président de la Gambie a prêté serment ce jeudi à Dakar. Il a prononcé son premier discours à la Nation gambienne. Adama Barrow a entre autres, demandé à ses frères et sœurs gambiens qui sont dans l’Armée régulière à faire preuve de loyauté et comprendre que le régime a changé en Gambie et ils doivent l’accepter. Ils doivent retourner dans les casernes et faire le travail que le peuple gambien attend d’eux.

Adama Barrow, devant le corps diplomatique accrédité à Dakar et de ses proches, a appelé à l’unité du peuple gambien. C’est un homme serein qui a appelé à des perspectives positives pour son pays.

 

Adama Barrow va prêter serment à Dakar…et deviendra un Président en exil

REWMI.COM- Adama Barrow deviendra dans quelques heures le Président de la République de Gambie…en exil. Compte-tenu de la situation et du blocage à Banjul, la cérémonie d’investiture va se tenir cet après midi à 16 heures dans les locaux de l’ambassade de Gambie à Dakar. Cette investiture de Barrow marque sa prise de fonction officielle. L’annonce a été faite ce matin par son porte parole Halifa Sallah. Marcel Alain de Souza, le président de la Commission de la CEDEAO, est à Dakar depuis hier. Il devrait assister à cette investiture qui est censée être chapeautée par la Cedeao avec l’appui des autorités du Sénégal. Mohamed Ibn Chambas, l’envoyé spécial des Nations unies dans la sous-région, devrait également être présent. La cérémonie doit se tenir, pour respecter la constitution gambienne, en territoire gambien et devant des juges. L’ambassade, nous dit-on, remplit cette condition. Des magistrats gambiens qui ont fui le régime de Jammeh seraient attendus à Dakar.

Des soldats nigérians franchissent la frontière Gambienne 

Un contingent militaire nigerian vient de franchir ce soir la frontière gambienne. Il semble que l'incursion militaire nigériane a eu lieu grâce à la complicité des soldats gambiens. Les soldats sénégalais franchiront la frontière à minuit si Jammeh ne se dégage pas. Le President mauritanien pense pouvoir convaincre Yahya Jammeh de l'accompagner en Mauritanie avant minuit. A suivre

 

Le Nigéria a déployé son navire de guerre le plus récent dénommé « Unité NNS » en prélude à une éventuelle intervention militaire en Gambie.

Une source militaire nigériane a déclaré à la BBC que le navire de guerre navigue actuellement au large des côtes du Ghana en direction de la Gambie.
Le week-end dernier, les chefs militaires des pays d’ Afrique de l’Ouest se sont rencontrés pour discuter d’un plan de déploiement d’une force militaire en Gambie.
Le président Nigerian, Muhamadu Buhari a été nommé médiateur dans la crise gambienne par ses pairs de la CEDEAO.
Le Sénégal, pays voisin de la Gambie, devrait diriger une éventuelle offensive armée sous régionale.
Il prépare également ses troupes au sol.
Le président de la Cour suprême gambienne, Emmanuel Fagbenle, s’est récusé lundi de l’examen du recours porté devant cette juridiction par le président sortant contre l’investiture de son successeur élu Adama Barrow, prévue le 19 janvier.
La Gambie est plongée dans une grave crise depuis que M. Jammeh a annoncé le 8 décembre qu’il ne reconnaissait plus les résultats de l’élection présidentielle du 1er décembre, une semaine après avoir pourtant félicité M. Barrow pour sa victoire.

 

A 48 heures de la fin de son mandat le désormais ex président de la Gambie qui refuse de quitter le pouvoir vient de décréter l’état d’urgence pour 90 jours sur le territoire Gambien  invoquant « un niveau d’ingérence étrangère exceptionnel et sans précédent » dans le processus électoral du pays, dans une déclaration télévisée.

Plusieurs pays africains préparent une intervention militaire au cas où il refuserait de quitter le pouvoir. « Une décision a été prise qui prévoit qu’il ne demeure pas président à la fin de son mandat », a appris l’agence Reuters mardi de source militaire nigériane. Cette stratégie a reçu l’aval des Nations unies et de l’Union africaine, ajoute la même source. Le Nigeria exerce actuellement la présidence tournante de la Cédéao.


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