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Paris: 2 septembre 201, la colère et le ras-le bol gagnent Paris

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mardi, 05 septembre 2017 08:21

Paris: 2 septembre 201, la colère et le ras-le bol gagnent Paris Featured

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Le 19 Août 2017, le jeune parti politique PNP, le Parti National Panafricain de Tikpi Atchadam, appelait les populations togolaises à des manifestations à Lomé, Anié, Sokodé, Kara et Bafilo. La répression a fait au moins 7 morts (vidéo)la plupart à Sokodéville de plus de 100 000 habitant-e-s du Centre du Togo. La responsabilité des morts est attribuée au Colonel Yark Damehane, actuellement ministre de la Sécurité et de la Protection Civile, déjà connu pour sa participation aux massacres de 2005 quand il fut accusé de torture par l’OMCT. 

La coalition CAP 2015 autour de l’ANC et de son leader, Jean-Pierre Fabre, a le 22 août rejoint le PNP « en vue d’une mobilisation encore  plus forte  pour la libération du peuple togolais de la situation d’esclavage que lui impose le régime RPT/UNIR depuis plus d’un demi-siècle » et « pour mettre fin au régime RPT/UNIR ». Ils ont été rejoints le 23 par le groupe des 6 (partis) dans un appel à manifester les 30 et 31 août, puis les 6 et 7 septembre.

Pour Jean-Pierre Fabre et l’ANC ou CAP 2015, le ton vraiment changé. Quelques jours auparavant, également le 19 août, au Gabon, Jean Ping avançait lui aussi vers la tension en disant : « À partir de ce jour, je ne vous retiens plus. En conséquence, je demande aux populations et à tous les Gabonais de la diaspora de se lever comme un seul homme pour marquer solennellement mon arrivée au pouvoir. » Un an après la seconde inversion de résultat de présidentielle d’Ali Bongo, le Togo rejoint-il le Gabon dans une résistance active à la dictature ? 

Les 2 pays ont quelques points communs : la monarchisation des régimes dictatoriaux, la durée de plus de 50 ans sans alternance ni de président ni de parti depuis 1967, ou encore, la quantité d’inversions de résultats de présidentielles depuis 1990, 3 au Gabon (1993, 2009, 2016), 4 au Togo (1998, 2003, 2005, 2010) sur au minimum 12 répertoriées en Afrique. Par ailleurs, avec simultanément l’annulation de la présidentielle au Kenya, est-ce que quelque chose est en train de changer sur les processus électoraux en Afrique ?

Le retour à la constitution de 1992 pour le Togo, au-delà du respect de l’Accord politique global de 2006, signifierait l’application immédiate de la limitation du nombre de mandats. En cours de 3e mandat de Faure Gnassingbé, l’opposition togolaise se sent maintenant légitime pour demander, comme le font les congolais en RDC, le départ de leur chef d’Etat pour entrer dans une période de transition vers la démocratie. Cette hypothèse est optimiste, mais Faure Gnassingbé a constamment refusé d’appliquer l’accord de 2006 qui aurait déjà dû le faire partir au bout de 2 mandats, et il a déjà inversé deux résultats de présidentielle.

Le changement actuel est que la contestation ne se limite plus au Sud du Togo et a gagné le Centre. Depuis plusieurs décennies, le régime des Gnassingbé a tenté d’enfermer les togolais-es du Centre et du Nord dans un statu quo politique mêlant sous-développement, limitation des transports, censure maximale de l’information et fraudes massives aux élections. Une prise de conscience des populations du centre et du nord d’avoir été, au final, victime des manipulations d’un clan prédateur des richesses, pourrait maintenant être difficile à gérer pour le pouvoir.

Les togolais-es se mobilisent aussi à Bruxelles et à Strasbourg. Le reste du vieux réseau datant de Louis Michel y est peut-être encore actif. Le directeur Afrique du SEAE, le belge Koen Vervaeke affiche malheureusement,  en particulier sur twitter, une certaine proximité et familiarité avec le pouvoir togolais

A Paris, la manifestation était organisée par le Conseil Mondial de la Diaspora Togolaise (CMDT), mené par son président, Raymond Ayivi, avec le soutien d’autres organisations de société civile proche de l’opposition démocratique, telle que Synergie Togo. Elle a rassemblé près d’un millier de personne, rappelant ainsi les manifestations de 2005. Un an de mobilisation des gabonais-es sur Paris a donné l’exemple. D’autres rendez-vous sont prévus à partir du 6 septembre.

 

Régis Marzin, 

3 septembre 2017


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Read 1724 times Last modified on mardi, 05 septembre 2017 08:32
ERIC  K.  ALOVOR

L`Afrique, le continent noir, mère des continents, est constamment en proie à des difficultés socio-économiques et politiques qui, à bien des égards, transforment ses fils et filles, chez eux, sur leur propre terre natale, en parias et en êtres bannis ou, en terre lointaine d’asile, en citoyens acculturés et de seconde zone.

L’exil est devenu pour nos peuples, surtout les jeunes, une source nourricière potentielle et un choix de survie. Ce paradoxe crée une frustration qui érode l`Afrique et tend à faire de ses processus de démocratie naissante un Mal plutôt qu’un Bien.

Que ferions-nous d’autres et que nous resterait-il de tant d’années d’efforts et de sacrifices, si nous venions à nous égarer définitivement. De la voie de la démocratie ?

Face à cette question existentielle qui nous interpelle tous, notre compatriote Kodjo EPOU tire la sonnette d’alarme et cite : « La démocratie est loin d’être parfaite mais elle demeure le moins mauvais des systèmes » Nous avons plus intérêt à œuvrer pour l’enraciner dans nos mœurs que de la renier en collaborant, contre gains faciles et immédiats, à tout ce qui est sa négation. De nos jours, la Démocratie est un système incontournable. Au point que toute tentative de l’étouffer se révèlera, tôt ou tard, inopérante.

L’initiative de créer Fmliberte répond à cet esprit. Notre mission se projette dans cette perspective. Elle vise donc à consolider chaque jour un peu plus la démocratie dont le nerf est la parole. Ainsi, sur les ondes de Fmliberte, La radio de la Diaspora, il n’existe pas de propos tabou, à l’exception de ceux qui sont dans l’ordre d’attentats à la pudeur, d’attaques personnelles ou de fausses informations. L'idée de rassembler les africains autant que nous le pouvons constitue la trame de nos émissions. Elle n’exclut nullement les critiques, même les plus acerbes, mais elle impose le respect de l'autre dans sa dignité humaine.

Nous restons convaincus que notre investissement en temps et en matériel ne sera pas vain; que les Communautés africaines de l’étranger et l’ensemble de la diaspora africaine apprécieront nos efforts à leur juste valeur. Notre ardent souhait est que Fmliberte, cet outil majeur de communication et de rapprochement soit un véritable tremplin de la Démocratie sur le beau Continent.La vocation de Fmliberte tient en trois mots:

Divertir. Informer. Rassembler.

FM Liberte, l’autre Son de Cloche

Bonne écoute!!

Le Président/Administrateur
Eric K. ALOVOR

www.fmliberte.com

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