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Togo: Faure Gnassingbe pris en otage par son propre camp / regime

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mercredi, 20 septembre 2017 13:47

Togo: Faure Gnassingbe pris en otage par son propre camp / regime Featured

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Nouvelle figure de l’opposition, Tikpi Atchadam souhaite « une union d’action autour d’un seul et même objectif pour faire tomber le régime ».

Inconnu du grand public il y a quelques semaines encore, l’opposant togolais Tikpi Salifou Atchadam, 50 ans, fondateur en 2014 du Parti national panafricain (PNP), a déboulé sur la scène politique au début de l’été. Originaire du centre-nord du pays, jusqu’alors considéré comme une chasse gardée du pouvoir, il a réuni plusieurs milliers de personnes dans un stade de Lomé et organisé une manifestation, le 19 août, qui a relancé un vaste mouvement de protestation demandant des réformes institutionnelles, dont l’objectif avoué est le départ du président Faure Gnassingbé, qui succéda à son père Gnassingbé Eyadéma, indéboulonnable chef de l’Etat de 1967 jusqu’à sa mort en 2005.

Le président a proposé une réforme constitutionnelle limitant à deux le nombre de mandats et restaurant le principe d’une élection à deux tours. Pourquoi cela est-il insuffisant ?

Tikpi Atchadam: Les Togolais veulent en finir avec la mainmise de la famille Gnassingbé sur le pays. La réforme revient à instaurer – dans les faits si ce n’est dans le texte – une Constitution monarchique puisqu’il pourrait se présenter en 2020 et en 2025 dans un contexte d’élections manipulées. Mais les Togolais viennent de montrer leur détermination en sortant comme jamais dans les rues le 19 août, puis les 6 et 7 septembre. Tout ce qu’ils demandent, c’est de vivre normalement comme au Bénin ou au Ghana, alors qu’ici il n’y a plus de système d’éducation, de santé. Manger pose problème.

On ne lui fait plus confiance, même s’il dit qu’il ne se représentera pas en 2020. Dorénavant, on ne croit plus en sa parole. En 2005, il a dit « je suis l’homme des réformes », puis il a promis de « ne plus faire couler le sang pour des raisons politiques », annoncé « la décentralisation » et enfin de « réconcilier les Togolais avec eux-mêmes ». Au bout du compte : rien.

Ce que nous lui disons, c’est d’arrêter son mandat en 2017, mener des réformes et organiser des élections générales anticipées dont il serait le garant sans y participer. Nous ne voulons pas couper la tête de Faure, il dispose d’une expérience dont le pays peut avoir besoin.

N’est-il pas prisonnier du régime mis en place par son père ?

C’est lui qui décide de tout. Mais sa soif du pouvoir le rend sourd. Il a hérité du Togo comme un paysan du champ de son père. Les barons du régime sont ses métayers, ils lui doivent tout, mais c’est lui qui a le pouvoir. Il lui suffit d’un discours de dix minutes pour rompre le cycle de violences qui existe dans ce pays depuis 1963. S’il le fait, s’il renonce au pouvoir, il sort par la grande porte. Les Togolais sont prêts à pardonner. Sinon, il en portera la responsabilité.

Ne craignez-vous pas une réaction violente de l’armée ?

L’armée d’aujourd’hui n’est plus celle de son père. Elle est mieux éduquée, plus ouverte. Les mentalités ont évolué. Il faut seulement leur faire prendre conscience qu’ils appartiennent, eux aussi, au même peuple togolais, qu’ils connaissent les mêmes difficultés, la même misère. C’est ce que j’appelle la théorie du mouton et du piquet. Le mouton, ce sont les Togolais. Le piquet, c’est l’armée. Le piquet n’a pas la conscience de son état ni du fait qu’il est lié au mouton par la même corde. Il faut lui en faire prendre conscience, ou alors il sera arraché de terre, comme cela s’est passé au Burkina Faso.

Par le passé, l’opposition s’est perdue dans des luttes intestines. Pourquoi échapperiez-vous à ce même mal ?

La question de l’hégémonie ne nous intéresse pas au PNP. Il y a aujourd’hui, non pas une coalition, mais une union d’action autour d’un seul et même objectif : faire tomber le régime. Ensuite viendra le temps de la campagne électorale et d’un combat à la loyale. Alors, on parlera des programmes.


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ERIC  K.  ALOVOR

L`Afrique, le continent noir, mère des continents, est constamment en proie à des difficultés socio-économiques et politiques qui, à bien des égards, transforment ses fils et filles, chez eux, sur leur propre terre natale, en parias et en êtres bannis ou, en terre lointaine d’asile, en citoyens acculturés et de seconde zone.

L’exil est devenu pour nos peuples, surtout les jeunes, une source nourricière potentielle et un choix de survie. Ce paradoxe crée une frustration qui érode l`Afrique et tend à faire de ses processus de démocratie naissante un Mal plutôt qu’un Bien.

Que ferions-nous d’autres et que nous resterait-il de tant d’années d’efforts et de sacrifices, si nous venions à nous égarer définitivement. De la voie de la démocratie ?

Face à cette question existentielle qui nous interpelle tous, notre compatriote Kodjo EPOU tire la sonnette d’alarme et cite : « La démocratie est loin d’être parfaite mais elle demeure le moins mauvais des systèmes » Nous avons plus intérêt à œuvrer pour l’enraciner dans nos mœurs que de la renier en collaborant, contre gains faciles et immédiats, à tout ce qui est sa négation. De nos jours, la Démocratie est un système incontournable. Au point que toute tentative de l’étouffer se révèlera, tôt ou tard, inopérante.

L’initiative de créer Fmliberte répond à cet esprit. Notre mission se projette dans cette perspective. Elle vise donc à consolider chaque jour un peu plus la démocratie dont le nerf est la parole. Ainsi, sur les ondes de Fmliberte, La radio de la Diaspora, il n’existe pas de propos tabou, à l’exception de ceux qui sont dans l’ordre d’attentats à la pudeur, d’attaques personnelles ou de fausses informations. L'idée de rassembler les africains autant que nous le pouvons constitue la trame de nos émissions. Elle n’exclut nullement les critiques, même les plus acerbes, mais elle impose le respect de l'autre dans sa dignité humaine.

Nous restons convaincus que notre investissement en temps et en matériel ne sera pas vain; que les Communautés africaines de l’étranger et l’ensemble de la diaspora africaine apprécieront nos efforts à leur juste valeur. Notre ardent souhait est que Fmliberte, cet outil majeur de communication et de rapprochement soit un véritable tremplin de la Démocratie sur le beau Continent.La vocation de Fmliberte tient en trois mots:

Divertir. Informer. Rassembler.

FM Liberte, l’autre Son de Cloche

Bonne écoute!!

Le Président/Administrateur
Eric K. ALOVOR

www.fmliberte.com

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