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Burkina: Zida veut "s'attaquer à plein de réformes" et lutter contre la corruption

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lundi, 24 novembre 2014 18:00

Burkina: Zida veut "s'attaquer à plein de réformes" et lutter contre la corruption Featured

Written by La Redaction
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Le Premier ministre du Burkina Faso, le lieutenant-colonel Isaac Zida, a promis lundi "plein de réformes" et une lutte anti-corruption à l'issue du premier Conseil des ministres du gouvernement de transition, dans lequel les militaires tiennent des postes déterminants.

"Nous allons nous attaquer à des réformes dans le secteur de la défense, de la justice et aussi dans le secteur économique", a lancé M. Zida, également ministre de la Défense, annonçant "plein de réformes" pendant l'année que doit durer la transition avant des élections démocratiques prévues en novembre 2015.

"Dans ce pays, il y a eu tellement de corruption, de passe-droits", a ajouté l'ancien numéro 2 de la garde présidentielle de Blaise Compaoré, renversé par la rue le 31 octobre après 27 ans au pouvoir.

A changement de régime, changement d'allure vestimentaire: Isaac Zida, vêtu auparavant d'un éternel treillis et toujours coiffé d'un béret rouge depuis sa prise en main du Burkina il y a trois semaines, s'est présenté en civil.

Les trois autres militaires devenus ministres ont également délaissé l'uniforme.

Le colonel Auguste Denise Barry, l'un des bras droits de M. Zida, nommé ministre de l'Administration territoriale et de la Sécurité (Intérieur), a prononcé dès sa prise de fonction la levée du couvre-feu, que l'armée avait imposé le 30 octobre, à la veille de la démission de Blaise Compaoré.

Avec le portefeuille des Mines, essentiellement de l'or qui représente l'une des principales sources de devises du Burkina, les militaires tiennent des postes déterminants.

Elégant dans son costume bleu, le nez chaussé de fines lunettes, le Premier ministre et ministre de la Défense a réuni le conseil à 10H00 (locales et GMT) à Kosyam, le palais de la présidence, pour une rencontre d'une heure. Il en est ressorti remonté contre l'ancien régime.

"Le plus urgent, c'est de régler les dossiers pendants en justice" car "il y a eu des attitudes visant à tordre le cou des lois", a lancé le Premier ministre, relayant le président Michel Kafando, qui, dès son investiture vendredi, annonçait des sanctions contre le clan Compaoré.

- L'affaire Zongo revient -

C'est d'ailleurs au sujet d'une affaire judiciaire enterrée, l'assassinat du journaliste Norbert Zongo, que la première polémique de la nouvelle ère est née. Elle implique Adama Sagnon, le nouveau ministre de la Culture, qui fut procureur de la République dans les années 2000, impliqué dans le traitement judiciaire de l'affaire Zongo.

Norbert Zongo, journaliste qui enquêtait sur le meurtre d'un chauffeur de François Compaoré, le frère de l'ancien président, mourut assassiné en 1998, provoquant plusieurs années de forte mobilisation populaire. François Compaoré ne fut jamais inquiété par la justice de son pays.

"Le procureur ne prend pas une décision, mais seulement des réquisitions", a rétorqué M. Sagnon, qui s'est dit "serein". "Je n'ai rien à me reprocher."

Lundi, des manifestations se tenaient devant le ministère de la Culture pour dénoncer le choix du nouveau ministre, ami de longue date de Zida.

"Sagnon, c'est la grosse patate chaude du gouvernement", a observé Souleymane Ouédraogo, dit "Soul", rappeur et cadre du "Balai citoyen", un collectif qui participa activement à la chute de Blaise Compaoré.

"C'est un bon gouvernement, à une ou deux exceptions près", a-t-il estimé, se disant "satisfait de l'équilibre" entre civils et militaires au sein du nouvel exécutif.

Le gouvernement de transition du Burkina Faso a été nommé dimanche soir après plusieurs jours d'intenses tractations, avec des militaires aux commandes de l'armée et de la police.

"Vu ce qui s'est passé récemment, l'armée pouvait difficilement (...) laisser des civils gérer la défense et la sécurité", a observé "Soul".

Le Burkina Faso sort de plusieurs semaines fiévreuses, d'inquiétudes et de tractations, après la chute de Compaoré. L'ex-chef de l'Etat, critiqué pour son népotisme, voulait faire réviser la Constitution afin de prolonger ses 27 années de pouvoir.

Sa chute a fait grand bruit sur le continent, où d'autres autocrates, depuis longtemps au pouvoir, veulent modifier les lois pour rester en place.

La transition doit durer un an et s'achever avec la tenue d'élections démocratiques en novembre 2015. Une première depuis des décennies dans ce pays sahélien pauvre de 17 millions d'habitants, qui n'a connu que des militaires au pouvoir depuis 1966.

© 2014 AFP


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