Warning: "continue" targeting switch is equivalent to "break". Did you mean to use "continue 2"? in /home/erica/public_html/templates/fmliberte/css/less.php/less.php on line 9386

Warning: "continue" targeting switch is equivalent to "break". Did you mean to use "continue 2"? in /home/erica/public_html/templates/fmliberte/css/less.php/less.php on line 9394

Warning: "continue" targeting switch is equivalent to "break". Did you mean to use "continue 2"? in /home/erica/public_html/templates/fmliberte/css/less.php/less.php on line 9399

Warning: "continue" targeting switch is equivalent to "break". Did you mean to use "continue 2"? in /home/erica/public_html/templates/fmliberte/css/less.php/less.php on line 9405

Warning: "continue" targeting switch is equivalent to "break". Did you mean to use "continue 2"? in /home/erica/public_html/templates/fmliberte/css/less.php/less.php on line 9415

Warning: "continue" targeting switch is equivalent to "break". Did you mean to use "continue 2"? in /home/erica/public_html/templates/fmliberte/css/less.php/less.php on line 9418

Warning: "continue" targeting switch is equivalent to "break". Did you mean to use "continue 2"? in /home/erica/public_html/templates/fmliberte/css/less.php/less.php on line 9438

Warning: "continue" targeting switch is equivalent to "break". Did you mean to use "continue 2"? in /home/erica/public_html/templates/fmliberte/css/less.php/less.php on line 9443

Warning: "continue" targeting switch is equivalent to "break". Did you mean to use "continue 2"? in /home/erica/public_html/templates/fmliberte/css/less.php/less.php on line 9464

Warning: "continue" targeting switch is equivalent to "break". Did you mean to use "continue 2"? in /home/erica/public_html/templates/fmliberte/css/less.php/less.php on line 9471

Warning: file_get_contents(http://www.fmliberte.com//media/system/css/system.css): failed to open stream: HTTP request failed! HTTP/1.1 406 Not Acceptable in /home/erica/public_html/templates/fmliberte/runless.php on line 40

Warning: file_put_contents(): Only -1 of 2678 bytes written, possibly out of free disk space in /home/erica/public_html/templates/fmliberte/runless.php on line 47
Sport: Anjorin Moucharaf libéré après plus d'une centaine de jours passé à la Maison Correctionnelle de Cotonou.

Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /home/erica/public_html/components/com_k2/models/item.php on line 1412

Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /home/erica/public_html/components/com_k2/models/item.php on line 877
vendredi, 16 décembre 2011 23:22

Sport: Anjorin Moucharaf libéré après plus d'une centaine de jours passé à la Maison Correctionnelle de Cotonou.

Written by
Rate this item
(0 votes)

Le président de la Fédération béninoise de football (Fbf), Anjorin Moucharaf est depuis hier libre de ses mouvements. Placé en détention provisoire, en juillet dernier suite à des plaintes dans l’épineux dossier de gestion des fonds de sponsoring mis à la disposition de l’association qu’il préside, Anjorin Moucharaf aura passé cinq mois derrière les barreaux.

Les sources judiciaires par l’entremise de la chambre d’accusation de la cour d’appel de Cotonou avaient même déjà ordonné en octobre dernier sa libération. Ceci, après avoir été saisi d’un recours du prévenu. Mais, le Parquet aurait décidé de se saisir à nouveau de ce dossier. Conséquence, Anjorin Moucharaf n’a pu recouvrer plus tôt de façon provisoire sa liberté.

 

 

Mais depuis hier soir, c’est fait. Anjorin Moucharafou a eu gain de cause à la chambre judiciaire de la cour suprême pour quitter la prison civile de Cotonou. Le principal prévenu dans l’affaire détournement d’une somme estimée à près de 300 millions Fcfa mise à la disposition de la Fbf par Mtn peut dès ce jour gérer du dehors les affaires du football béninois. Seulement, la crise à la Fédération béninoise de football qui est l’une des raisons de l’incarcération de Anjorin Moucharaf est loin de connaître son épilogue.

 


Rappel de quelques faits marquants

 


La démission de 12 membres sur 15 du bureau exécutif

 


En décembre 2010, la famille du football du Bénin connaît une division. Une crise secoue cette Fédération suite à la démission de 12 membres sur 15 du bureau exécutif. Ainsi, deux camps antagonistes se livrent une guerre au sein de cette Fédération. Il s’agit de la Fédération béninoise de football conduite par le président Anjorin Moucharafou et reconnue par la Fifa et celle de Victorien Attolou non reconnue par la Fifa mais reconnue par les juridictions béninoises.
Lundi 20 décembre 2010 aux environs de 11 heures, une information commence par passer en bande défilante sur une chaîne de Télévision de la place et annonce un séisme à la Fédération béninoise de football. Une information qui sera confirmée dans l’après-midi de ce lundi à la faveur d’une conférence de presse. Ainsi, 12 membres des 15 du bureau exécutif conduit par le président Anjorin Moucharafou en plus du président de la Ligue du football professionnel démissionnent. Il s’agit de Sylvain Lawson, premier Vice président, de Malick Seibou Gomina, Deuxième Vice président, de Magloire Oké, Quatrième Vice président, Jean-Marie Adignon, Cinquième Vice président, Peguy Kassa, Sixième Vice président, Sébastien Ajavon, Marouf Adechokan, Félix Côme d’Oliveira, Violette Djidjoho, Victorien Attolou, Maurice Zanda et Rock Ajavon, tous membres. Dans leur lettre de démission, ils dénoncent la gestion solitaire du président Anjorin Moucharafou.

 


La réaction du président Anjorin Moucharaf

 


Alors qu’il était au Caire pour une mission de la Fbf au moment de la démission des 12 membres de son bureau exécutif, le président Anjorin Moucharafou a aussitôt saisi la Fifa et la Caf des difficultés que connaît l’instance dont il est le premier responsable. Ainsi, la Fifa a envoyé une correspondance dans laquelle elle stipule qu’elle diligentera une mission conjointe Caf/Fifa afin d’écouter les différentes parties en conflit. Rentré au pays, avec les deux autres membres (Augustin Ahouanvoebla, Troisième Vice président et Bertin Agonkan, Membre) non démissionnaires, il a coopté d’autres membres pour remplacer ceux démissionnaires. De là commence la guerre de l’interprétation des textes adoptés en novembre 2010 et qui régissent la Fédération béninoise de football. Pour les uns, la cooptation est contraire aux textes puisque suite à la démission de 12 membres implique la dissolution du bureau et il faut alors se conformer aux dispositions des articles 36.1 ; 40b et 41. Pour les autres, leur démission implique une vacance de postes qu’il faille pourvoir.
Pour éviter d’éventuels troubles au siège de la Fbf qui est disputé par les deux parties, le ministre de la jeunesse, des sports et des loisirs d’alors, Modeste Kérékou a demandé la mise sous surveillance policière de la Maison du Football à Porto-Novo. La Fifa réagit aussitôt et dénonce une probable immixtion de l’Exécutif dans la gestion du football. Ainsi, le siège a été ouvert au camp Anjorin.

 


La mission Caf/Fifa au Bénin

 

Conformément à sa volonté d’écouter les deux parties par rapport aux difficultés que connaît la Fédération béninoise de football, une mission Caf/Fifa a été dépêchée au Bénin les 27 et 28 janvier 2011. Elle est composée d’Iya Mohamed, président de la Fédération camerounaise de football et membre de la Fifa (Chef de délégation), Prosper Abega, membre de la Commission juridique de la Fifa et Conseiller spécial juridique du président de la Caf, Issa Hayatou et Primo Corvaro, membre de la Commission des Associations à la Fifa. Au terme de la mission, ils ont donné une conférence de presse pour faire le point des rencontres après avoir écouté les deux parties. Autour d’eux, étaient assis le président Anjorin Moucharafou et les membres cooptés. La mission a promis rendre compte à la Fifa qui va statuer début mars à l’issue de l’Assemblée générale des Associations.

 


L’élection de Victorien Attolou, président de la Fbf

 


Suite à la démission des 12 membres, le processus devant aboutir à l’installation d’un nouveau bureau exécutif prévu par les statuts suivait son cours malgré les tentatives des membres de la mission conjointe Caf/Fifa de les en empêcher. Bernard Hounnouvi à qui les textes donnent les prérogatives de conduire les affaires courantes de l’instance pour une durée de deux mois (60 jours) afin d’organiser de nouvelles élections est resté fidèle. Ainsi, après l’appel à candidatures, c’est la Liste Renaissance de football conduite par Victorien Attolou qui a été la seule en compétition pour l’élection du 4 février 2011. Au cours de cette Assemblée générale élective organisée conformément aux articles 24 ; 26 ; 36.1 et 41 des textes de la Fbf, la liste Renaissance de football de Victorien Attolou a été plébiscitée avec 37 oui, sur les 37 votants, 00 Abstention et 00 Non.

 


Une première et timide reprise du championnat

 


Indigné par le comportement de la mission conjointe Caf/Fifa, le Collectif des clubs de Ligue 1 et de Ligue 2 est monté au créneau pour demander à la Ligue du football professionnel, l’arrêt du championnat professionnel en attendant l’élection du 4 février 2011. Le Collectif a demandé de nouveau à la Ligue du football professionnel la reprise du championnat professionnel. Une reprise qui a été perturbée au stade René Pleven. La Fédération d’Anjorin Moucharafou organisait le même jour les rencontres de la coupe de la Fédération. Ce fut un cafouillage.

 


La décision de la Fifa

 


Le 3 mars 2011, au soir de l’Assemblée générale des Associations, les membres ont étudié le cas du Bénin. Dans sa décision, la Fifa demande à la Fédération béninoise de football conduite par Anjorin Moucharafou de convoquer une Assemblée générale extraordinaire pour reconnaître ou non les membres cooptés par le président Anjorin Moucharafou. Dans cette décision, la Fifa a mis un accent sur la constitution du corps électoral. Il s’agit des 51 délégués qui avaient élu en août 2009 la liste Espérance, conduite par le président Anjorin Moucharafou.

 


Une Assemblée générale organisée sur fond de tension et de protestation

 


Sur demande de la Fifa, l’Assemblée générale extraordinaire qui devrait accepter ou non les membres cooptés quand bien même cela n’existe nulle part dans les textes de la Fbf a été prévue pour se tenir le 15 avril 2011. Une assemblée sur fond de contestation puisque le camp du président Victorien Attolou avait dénoncé la politique d’exclusion qui a cours pour ce qui est de l’organisation. En plus, le camp Attolou avait également dénoncé la sélection qu’il y a eue dans la convocation des Délégués. Selon eux, Quentin Didavi, nommé par Anjorin en violation des textes n’est pas habilité à convoquer l’Assemblée générale qui va reconnaître ou non les membres qui vont probablement l’élire.
Une Assemblée générale extraordinaire controversée
Sur demande de la Fifa et suite à sa décision du 3 mars 2011 relative à la crise qui secoue la Fédération béninoise de football depuis le 20 décembre 2011, l’Assemblée générale extraordinaire d’acceptation ou non des membres cooptés par le président Anjorin Moucharafou a eu lieu sur fond de contestation et de vives tensions. Etaient présents : Primo Corvaro, représentant de la Fifa, membre des associations affiliées à l’institution, Maître Prosper Abega, membre de la Commission juridique Caf/Fifa et Conseiller spécial du président de la Caf, Issa Hayatou. A la fin de cette assemblée générale, les membres cooptés par le président sont reconnus par la Fifa.

 


Deux Fédérations, deux Ligues, deux championnats

 


De deux Fédérations béninoises de football, on est passé à deux Ligues de football professionnel. Il s’agit de la Ligue de football dirigée par l’ex président Sébastien Ajavon et de la Ligue de football professionnel dirigée par le président Valère Glèlè nommé par le président Anjorin Moucharafou. Une nomination qui avait suscité la réaction du Conseil de gestion qui, à travers un communiqué de presse a dénoncé cette nomination qu’il estime contraire aux textes qui régissent la Fédération béninoise de football. Il faut aussi rappeler que le président Anjorin Moucharafou a retiré de l’ancienne Ligue la Convention de gestion. Donc, le Bénin disposait ainsi de deux fédérations et deux ligues.
Deux ligues ; l’une a son siège à Vodjè et l’autre à Kouhounou.
L’existence de deux Ligues implique aussi l’organisation de deux championnats. Ainsi, la Moovligue arrêtée par le Collectif des clubs de Ligue 1 et de Ligue 2 avait annoncé sa reprise pour le week-end du 9 et 10 juillet dernier pendant que Gloligue avait prévu son démarrage pour le week-end du 16 et 17 juillet passé. Pour éviter de probables troubles à l’ordre public, le ministre des sports, Didier Akplogan a pris la décision de fermer tous les stades et de ne les ouvrir à aucun des deux camps tant que la crise n’est pas réglée. Donc, le ballon a cessé de rouler au Bénin.

 


Tous les regards tournés vers le Tas

 


Saisi par le camp Attolou pour ingérence de la Fifa dans les affaires du football béninois et pour non respect des textes qui régissent la Fédération béninoise de football, le Tribunal arbitral du sport (Tas) reste le seul recours dans cette crise que traverse le football béninois. Dans une correspondance adressée aux parties en conflit sur le choix de la date du procès, le Tas se réserve le droit de choisir entre le 26 ou le 29 juillet 2011 proposées respectivement par le camp Attolou et par la Fifa. Finalement, le TAS se prononce : il n’y a pas matière à statuer, car il n’y a pas eu décision de la FIFA sur le cas béninois.
Pour le dénouement heureux de la crise à la Fbf : Didier Aplogan propose une transition
Le ministre de la Jeunesse, des sports et des loisirs, Didier Djibodé Aplogan, était le vendredi 15 juillet 2011, sur le plateau de la télévision nationale. Au menu : les réformes en cours dans son département ministériel. La crise qui secoue le football béninois a été le principal plat de résistance de cette émission. Au sujet de cette crise artificielle qui déchire la famille du football national, Didier Aplogan a fait savoir que la Fédération béninoise de football n’est pas la seule qu’il gère. " J’ai sous ma responsabilité 22 fédérations. Dans les jours à venir, le nombre sera porté à 25 ", a-t-il précisé. Comme pour dire que la résolution de cette crise ne doit pas prendre de temps. " Pour moi, toutes les fédérations sont sur le même pied d’égalité ", a-t-il souligné. Revenant sur la crise proprement dite, le ministre a reconnu qu’elle est profonde. " J’ai discuté avec les deux parties pour que, dans le dialogue, le problème soit réglé. J’ai échangé avec les présidents Anjorin et Ajavon. J’ai partagé avec eux ma vision sur le sujet. Dans chaque camp, il y a des modérés et des extrémistes. C’est ce qui complique un peu la situation au point où nous sommes en train d’avoir deux fédérations et donc deux championnats. Mais que cela soit clair. Il n’y aura pas deux championnats au Bénin. Le Gouvernement ne va pas s’immiscer dans la crise. Je ne suis pas un juge. Ma mission n’est pas de donner raison à un camp. Le dossier se trouve devant le Tas. Je crois que dès que sa décision va tomber, les acteurs de la crise vont rentrer dans les rangs. Mais en attendant, je suis en train de prendre mes responsabilités ", a expliqué Didier Aplogan.

 


A la question de savoir quelle est sa thérapie de choc pour sortir de l’impasse, il répond : " il n’y a qu’une seule porte de sortie actuellement. Il s’agit de la mise en place d’une transition pour gérer les affaires du football jusqu’à la fin du mandat de l’équipe en place (l’équipe d’Anjorin). Cette transition va permettre d’accorder les violons sur les questions qui fâchent et qui divisent. Au terme de cette transition que je veux apaisée, une autre équipe sera mise en place pour continuer le combat ". " Le football ne se limite pas seulement à la crise à la fédération. Il y a le football scolaire, universitaire et militaire. Il y a aussi l’investissement dans les infrastructures sportives. Il y a l’avenir des juniors et cadets à préparer ", a-t-il laissé entendre. Une manière de dire que son ministère pense également à l’après-crise et ne perd pas son temps.

 

 



Moucharafou Anjorin en prison
La crise à la Fédération béninoise de football connaît un nouveau développement. Le président de l’institution soupçonné de malversations est mis sous mandat de dépôt. Moucharafou Anjorin, président de la Fédération béninoise de football, séjourne depuis hier lundi 25 juillet 2011 à la prison civile de Cotonou. C’est en fait la décision du juge qui s’occupe de l’affaire de malversations présumées à la Fbf.
En effet, le président de l’institution faîtière du football Bénin avait des démêlés avec la justice béninoise pour sa gestion qualifiée de calamiteuse des fonds publics. Depuis la survenance de la crise qui agite le football béninois, certains membres démissionnaires ayant appartenu à son comité exécutif ont porté plainte contre lui pour malversations. Le dossier en cause est celui du sponsoring du football du Bénin par la société de téléphonie mobile Mtn. Les mêmes sources précisent que le sponsoring de la société Jago ne serait pas étranger non plus à cette situation.

 

 


A la suite de cette démission, une plainte a été déposée par un certain nombre d’entre eux auprès du procureur de la République. Celui-ci, après avoir examiné le contenu de la plainte et les pièces qui y sont jointes, a saisi une unité de police pour faire une enquête préliminaire à l’issue de laquelle, une information a été requise. au départ, Monsieur Anjorin était poursuivi sans mandat. Mais par la suite, il y a eu des éléments qui ont permis au juge de le placer en détention. Il s’agit d’une détention préventive (…) il n’est pas encore condamné et l’enquête se poursuit. Ce n’est qu’à l’issue de l’enquête, s’il y a des charges suffisantes contre lui qu’il sera renvoyé devant une juridiction de jugement pour être jugé. " (…) La plainte est essentiellement relative à la gestion des fonds mis à la disposition de la Fédération béninoise de football par la socaiété Spacetel, Mtn. C’est principalement ces fonds qui ont été visés."
La fin de la période morte
La décision du TAS et la position de la FIFA étant dans le sens du renforcement du camp Anjorin, le gouvernement a dû siffler la fin de la récréation en reconnaissant le bureau de Anjorin.
Et voici que son équipe, sous la houlette de Valère Glèlé, relance le championnat. Et voici que Anjorin finit par sortir de prison, pour reprendre en main son bureau, jusqu’en 2013.


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /home/erica/public_html/templates/fmliberte/html/com_k2/default/item.php on line 248
Read 299 times Last modified on mercredi, 09 juillet 2014 15:06

Commentaire