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Benin: Thomas Boni Yayi, l’heure du dernier combat

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vendredi, 13 mars 2015 19:00

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C’est l’heure de la mobilisation générale. Les partis politiques, alliances de partis et candidats qui doivent livrer bataille sur les terrains électoraux pour les législatives du 26 avril sont désormais connus, puisque vingt d’entre eux ont été retenus par la Commission nationale électorale autonome (CENA).

Mais l’enjeu est aussi ailleurs puisque ces élections législatives sont l’une des dernières étapes avant la présidentielle de 2016. Pour le président Thomas Boni Yayi, 63 ans, il s’agit de sortir par la grande porte et ne pas être contrarié lorsqu’il rendra les clés du palais. « Avec une nouvelle majorité parlementaire, il affermit son pouvoir jusqu’à la dernière semaine de son mandat et peut-être même au-delà, analyse un membre de l’opposition qui a souhaité garder l’anonymat. Il n’a donc pas intérêt à perdre cette dernière bataille. S’il a nourri à un moment donné un projet de révision constitutionnelle pour pouvoir briguer un nouveau mandat, ce qui s’est passé à Ouagadougou [avec le départ de Blaise Compaoré] lui a servi de leçon. »
Populiste à l’envie

Pour Wilfried-Léandre Houngbédji, écrivain et analyste politique, « il est réducteur de penser que les législatives constitueraient le dernier combat politique de Boni Yayi. » Sachant qu’un mois après, il y a les municipales qui sont envisagées. Selon lui, au-delà du fait que l’homme, qui pendant dix ans s’est montré populiste à l’envi, veuille contrôler l’Assemblée nationale, il sera tenté à l’occasion du combat déterminant sa succession de s’impliquer à fond pour faire élire son successeur, au cas où des ennuis judiciaires se profileraient pendant sa retraite.

« Le dernier combat politique de M. Yayi serait la présidentielle de 2016 ou le débat sur la révision constitutionnelle, s’il bénéficie d’une majorité confortable à l’Assemblée nationale, déclare Wilfried-Léandre Houngbédji. Ce qui politiquement ne s’entend pas dans le contexte actuel, mais qui n’est pas impossible. »

Afin de s’assurer cette majorité, Thomas Boni Yayi mise sur la popularité de bon nombre de ses ministres et conseillers. Pas moins de vingt ministres sur les vingt-sept que compte actuellement son gouvernement devront s’y atteler dans leur localité d’origine. « À cause des différentes activités médiatiques dues à leurs postes, ces ministres ont réussi à avoir une popularité un peu plus grande que celle de leaders d’opposition. Sur le terrain, cela devrait aller en leur faveur », analyse Blaise Donou, universitaire et observateur de la vie politique.
Un combat pas encore gagné

En plus de ses ministres, le président béninois s’est adjoint les services de ses nombreux conseillers mais aussi de sa famille, comme son fils cadet Yayi Chabi et son beau-frère, Marcel de Souza, actuel ministre du développement et de l’analyse économique. Il est tête de liste, suivi en deuxième position de son neveu dans la 16e circonscription électorale qui regroupe sept arrondissements de Cotonou.

Avec ces candidatures, la famille Yayi est désormais omniprésente dans le débat politique. « C’est peut-être une projection de lui [en parlant de Thomas Boni Yayi] à travers sa progéniture et ses alliés. En sachant que s’il n’est plus sur la scène, il peut compter sur des défenseurs avérés pour les années qui viennent », pense Wilfried-Léandre Houngbédji. Cinq sièges sont en jeu sur ce territoire électoral du pays, neuf pour Cotonou qui comporte treize arrondissements.

Mais le combat n’est pas gagné d’avance. Ils devront faire face à la famille Soglo de l’ancien président Nicéphore Soglo (80 ans), actuel maire de Cotonou, et dont la femme Rose Vieyra Soglo (80 ans aussi) est députée à l’Assemblée nationale. Le fils de celui-ci, Léhady Soglo, premier adjoint de son père à la mairie de Cotonou, est également candidat aux législatives dans la même circonscription, placé en deuxième position, derrière sa mère qui est tête de liste du parti.

Cotonou est resté longtemps acquise à leur parti politique, la Renaissance du Bénin (RB). La première dame Chantal de Souza est tête de liste du parti présidentiel Force cauris pour un Bénin émergent (FCBE) dans la 5e circonscription électorale, qui regroupe la commune de Ouidah dont elle est originaire et quatre autres villes. Elle avait déjà participé aux élections législatives de 2011 et avait réussi à être élue à l’Assemblée nationale. En déjouant tous les pronostics de l’opposition qui la trouvait « trop timide et trop effacée ».

Source: Le Monde


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