Zoom News (388)
Le dimanche 23 juillet 2017, c’est avec un choc que nous avons appris le grave accident survenu dans le village de Kassakope à hauteur de la préfecture.de Blitta, au retour des Evalas de valeureux compatriotes. Le drame n’a laissé la vie à aucun des 6 occupants de la voiture. Il s’agit de mes amis Folo, Agbasco, les frères Gafo, Ousmane et Jacqueline.
Plusieurs jours après, la tristesse est tout aussi immense. Perdre des amis, des collègues, des compatriotes dans ces circonstances est terrible et je me demande toujours pourquoi et comment tout cela est arrivé. C’est des personnes avec lesquelles j’avais de nombreux projets en instance et leur mort rend obscure une partie de moi-même. Seul Dieu sait ce qui s’est passé.
Mais comme d’habitude, c’est le moment choisi par certaines personnes mal intentionnées avec des comportements vils, répréhensibles et nocifs, dont la seule idée est de détruire, de vilipender mon nom. Certains allant jusqu’à me rendre coupable de cette tragédie. Si tel est ma croix, je la porterai.
J’aimerais à travers ce message remercier tous ceux qui de près ou de loin me réconfortent et soutiennent les familles endeuillées dans ces moments difficiles. Je vous demanderai également d’être présents auprès des familles éplorées. N’oubliez pas les disparus dans vos prières quotidiennes. Que Dieu vous le rende au Centuple.
Dieu vous bénisse
Merci
Gogoligo
[9:19 AM, 7/31/2017] Gogoligo: Le dimanche 23 juillet 2017, c’est avec un choc que nous avons appris le grave accident survenu dans le village de Kassakope à hauteur de la préfecture.de Blitta, au retour des Evalas de valeureux compatriotes. Le drame n’a laissé la vie à aucun des 6 occupants de la voiture. Il s’agit de mes amis Folo, Agbasco, les frères Gafo, Ousmane et Jacqueline.
Plusieurs jours après, la tristesse est tout aussi immense. Perdre des amis, des collègues, des compatriotes dans ces circonstances est terrible et je me demande toujours pourquoi et comment tout cela est arrivé. C’est des personnes avec lesquelles j’avais de nombreux projets en instance et leur mort rend obscure une partie de moi-même. Seul Dieu sait ce qui s’est passé.
Mais comme d’habitude, c’est le moment choisi par certaines personnes mal intentionnées avec des comportements vils, répréhensibles et nocifs, dont la seule idée est de détruire, de vilipender mon nom. Certains allant jusqu’à me rendre coupable de cette tragédie. Si tel est ma croix, je la porterai.
J’aimerais à travers ce message remercier tous ceux qui de près ou de loin me réconfortent et soutiennent les familles endeuillées dans ces moments difficiles. Je vous demanderai également d’être présents auprès des familles éplorées. N’oubliez pas les disparus dans vos prières quotidiennes. Que Dieu vous le rende au Centuple.
Dieu vous bénisse
Merci
Gogoligo
Burkina: Mandat d'arrêt lancé contre François Compaoré le fr...
Written by ERIC K. ALOVORL’affaire Norbert Zongo continue de hanter l’ancien pouvoir au Burkina Faso. Selon la presse burkinabè, un mandat d’arrêt international a été émis à l’encontre de François Compaoré, le frère cadet de l’ancien chef de l’Etat burkinabè, Blaise Compaoré, dans le cadre de l’enquête sur l’assassinat du célèbre journaliste.
À en croire les médias du pays, c’est depuis mai 2017 que ce mandat a été lancé contre l’ancien conseiller à la présidence, forcé à l’exil depuis l’insurrection de 2014 qui a chassé son frère du pouvoir.
Avec ce mandat d’arrêt, François Compaoré se voit acculer d’une nouvelle pression pour cette sombre histoire qui a fait connaître au régime Compaoré ses premiers soubresauts. En décembre 1998, Norbert Zongo et trois de ses compagnons ont été retrouvés criblés de balles puis calcinés à bord d’un véhicule.
Le journaliste fondateur de l’hebdomadaire l’Indépendant – très critique à l‘égard du pouvoir – menait alors une enquête sur l’incarcération “arbitraire” et la mort de David Ouédraogo, ex-chauffeur personnel de François Compaoré, accusé de vol à l’encontre de Salah Compaoré, l‘épouse de ce dernier.
Sous la pression de la société civile et de l’opposition, une Commission d’enquête indépendante est créée. Mais, seul un militaire sera inculpé pour ces assassinats avant de finalement bénéficier d’un non-lieu en 2006 après la rétractation de l’un des témoins, clôturant à l’occasion l’enquête. Même si, la même année, Reporters Sans Frontière affirme que l’enquête regorge d‘éléments accablants pour François Compaoré.
Avec l’arrivée au pouvoir du régime Kaboré en novembre 2015 et la pression de la société civile, l’affaire a été rouverte et est en voie d‘être jugée. Le souci, c’est que François Compaoré, tout comme son frère Blaise détient à présent la nationalité ivoirienne. Difficile de parier que la justice ivoirienne acceptera de l’extrader vers le Burkina.
USA: Dr Ekokobe Fonkem , médecin camerounais à Phoenix aux Etats-Uni...
Written by ERIC K. ALOVORL’ancien candidat à la présidentielle américaine de 2008, John Mc Cain doit sa vie désormais à un chirurgien Camerounais installé à Phoenix aux Etats-Unis. Atteint d’un cancer du cerveau, le sénateur républicain a été opéré avec succès par une équipe de chirurgiens conduite par le Dr Ekokobe Fonkem, un neuro- oncologue.
Le sénateur Mc Cain s’était rendu à la Mayo Clinic de Phoenix 14 juillet dernier pour un examen de routine en vue de se faire enlever un caillot de sang. C’est au cours de la procédure que les médecins auraient découvert une tumeur cérébrale. Les médecins ont diagnostiqué au un glioblastome, une forme agressive de cancer du cerveau.
Consulté par les médias américains, le Dr Ekokobe Fonkem qui a assuré l’opération vient d’annoncer que le Sénateur avait de bonnes chances de s’en sortir.
« Le sénateur Mc Cain est sorti de la chirurgie avec de très bonnes performances. Une bonne partie de la tumeur a été retirée ; pas tout…mais une bonne partie. Pour le moment il parle à ses amis, il fait des blagues. C‘est un très bon signe ! » a déclaré le Dr Ekokobe Fonkem et son équipe.
Selon le neurochirurgien, le sénateur Mc Cain devrait dans les prochains jours suivre des traitements radiologiques et la chimiothérapie pour espérer une rémission complète.
Rwanda: Des révélations de Paul KAGAME sur Gbagbo et Sankara.. ect.....
Written by ERIC K. ALOVORPaul KAGAME est un homme pressé. Le vendredi 22 juillet 2017, au moment où en compagnie de quelques confrères nous le rencontrons aux environs de 21 H 30 dans une suite de l’hôtel Marriott de Kigali, il avait déjà tenu selon ses dires une bonne quinzaine de réunions, mené sa campagne présidentielle sur le terrain, participé à la clôture du sommet Youth Konnect en compagnie du milliardaire chinois Jack MA.
La nuit où il nous a reçu durant plus d’une heure, il lui restait encore deux autres réunions à boucler, avant d’aller se coucher...Son programme du lendemain prévoyait pas moins de trois meetings de campagne dans trois villes distinctes du pays. Un programme de marathonien, pour un leader de 60 ans, qui a mené à la victoire en 1994 le Front patriotique rwandais en lutte armée contre le régime de Juvénal Habyarimana. Vice-président du pays lors du retour à la paix en 1994, il prendra les rênes du pouvoir en 2000 pour ne plus le quitter.
Au passage, le Rwanda, petit pays de 26 338 km2 pour 11,9 millions d’habitants a été complètement transformé sur les plans social, économique et sécuritaire. Aujourd’hui, 23 ans après le génocide qui a causé officiellement un million de morts, le Rwanda est unanimement considéré en Afrique comme étant le modèle à suivre sur le plan de la bonne gouvernance.
Pour ne citer que quelques exemples de ce qui se fait dans ce pays, sous peine de fortes amendes, il est interdit de jeter des ordures au sol, de faire pipi ostensiblement dans les rues. Les moto-taximen portent tous casques et chasubles, la parité homme-femme est intégrale dans toutes les institutions publiques, il n’existe pas de parc automobile de l’Etat (les fonctionnaires reçoivent des crédits automobiles pour se doter chacun de leur véhicule), il existe une assurance maladie, les nécessiteux reçoivent de l’Etat une aide mensuelle, etc…
Au terme des discussions avec Paul KAGAME, voici quelques confidences que nous avons pu retenir :
Sur les relations avec les autres pays d’Afrique francophone
Pendant très longtemps, le Rwanda n’a pas souhaité développer avec les pays d'Afrque francophone des liens de coopération. Le régime qui ne se sentait pas assez fort sur le plan sécuritaire craignait des tentatives de déstabilisation ourdies par la France via ses anciennes colonies. Depuis quelques temps, la donne diplomatique a changé. Kigali s’est progressivement ouvert aux pays de l’Afrique de l’Ouest et centrale. Exemple marquant de ce rapprochement, au départ de Kigali, une liaison quotidienne est assurée par la compagnie nationale Rwand’Air avec la plupart des capitales d’Afrique francophone.
Sur Laurent Gbagbo et Thomas Sankara
Paul Kagame estime que ces deux grands leaders ont tous fait preuve de naïveté. Au cours d’une visite effectuée par Laurent Gbagbo au Rwanda alors qu’il était encore au pouvoir, Paul Kagame dit avoir signalé au président Ggabgo que la Côte d’Ivoire avait commis l’erreur de signer en 1998 le traité de Rome sur la Cour Pénale internationale. Il avait alors prédit à ce dernier que les occidentaux allaient profiter de cette institution pour le faire arrêter.
Quant à Thomas Sankara, il dit avoir lu des interviews de ce dernier dans lesquelles il indiquait clairement que Blaise Compaoré n'aurait aucun mal à réussir à le renverser. D’où son interrogation « Comment pouvait-il savoir exactement quelle était la menace et ne pas chercher à s’en prémunir?».
Sur la Cour Pénale Internationale
Le leader rwandais pense que les Etats africains n'ont pas besoin de ce type d'institution pour gérer leur problème. "Pourquoi les américains et les autres qui nous demandent de signer ce traité ne le font-ils pas eux-mêmes s'ils le trouvent si bon? " rappelle-t-il. Il se dit être prêt à accueillir le soudanais Omar El Bechir (poursuivi par la CPI) et s'étonne de voir certains leaders africains siéger avec le soudanais lors des sommets de l'Union africaine et réclamer son interpellation une fois rentrés chez eux...
Sur Donald Trump
Au cours d'une audience, des ressortissants américains lui auraient demandé ce qu'il pensait du nouveau président Trump. Il a répondu que ce n'était pas à lui de le juger, ce président n'étant que le fruit de la démocratie américaine et qu'il travaillerait sans états d’âmes avec tout président produit par la démocratie américaine.
Zone CFA: PRÉSENTATION DE LA NOUVELLE MONNAIE EN REMPLACEMENT DU FRAN...
Written by ERIC K. ALOVORPoint 1 : Délimitation de la nouvelle zone monétaire :
La monnaie qui remplacera le Franc CFA: Ce sera une monnaie commune à tous les pays africains
utilisant le CFA actuellement. La Guinée Conakry sera elle aussi approchée pour fusionner dans cette
zone monétaire. Ce sera une monnaie communautaire qui occasionnera la fusion de la BCEAO et de
la BEAC. Nous aurons donc la nouvelle banque centrale dénommée CBA Central Bank of Africa (Tous
les noms des institutions nouvelles à naitre seront en Anglais car l’abandon de la langue française
pour l’Anglais d’abord et par la suite pour une ou des langues Africaines sera le combat juste après
l’abandon du Franc CFA).
Point 2: Centralisation des Réserves de Change :
La nouvelle banque centrale jouera le rôle actuel joué par la France et le Trésor Français. Tous les
paiements et recettes externes se feront directement à la nouvelle banque centrale qui gardera ses
réserves de change en Afrique. Elle sera aussi chargée d’effectuer directement les paiements aux
pays étrangers correspondants à nos importations.
Point 3: Constitution des membres de la Banque Centrale et Rotation du poste de Gouverneur :
Chaque pays aura au moins deux représentants à la Central Bank of Africa. Ces deux représentants
seront choisis par chaque pays sur appels à candidature avec l’organisation d’un recrutement par le
gouvernement et l’organisation du deuxième recrutement par l’Assemblée nationale.
Les votes au sein du conseil d’administration seront faits à la simple majorité. Il y aura rotation du
poste de gouverneur entre l’Afrique de l’Ouest et l’Afrique Centrale chaque 2ans. A chaque fois que
le Gouverneur sera ressortissant de l’Afrique de l’Ouest, le Vice-Gouverneur sera originaire de
l’Afrique Centrale. Il n’y aura pas construction de nouveaux sièges. Les sièges actuels seront utilisés.
Point 4: Le nom de la nouvelle monnaie :
Du nom de la nouvelle monnaie, le mot Franc n’y apparaitra plus. Les propositions telles que Cauris,
Afro, Cica, ou autres seront faites et nos chefs d’Etat pourront voter pour le choix définitif d’un nom
lors du sommet de l’adoption de l’accord politique sous régionale pour l’instauration de la nouvelle
monnaie.
Point 5: Présentation des coupures :
La nouvelle monnaie aura pour grande coupure un billet de 100Unités. Rappelons que la plus grosse
coupure de Dollars US, de RMB Chinois font 100, 500 pour l'Euro et 50 pour le Ponds Britannique.
C'est seulement chez nous on trouve jusqu'à 10mille unités de notre monnaie sur une seule coupure. Nous utiliserons également des centimes comme pour les Américains. Au départ, la valeur
de notre monnaie sera décrétée égale au Dollars américain. La nouvelle monnaie Cedis Ghanéenne
fut établie égale au Dollars US en 2007 en parité égale. Il nous suffira de dire que l’obtention d’une
unité de la nouvelle monnaie se fera contre environ 600FCFA (le cours du dollar au moment de la
conversion) lorsqu’on procédera aux changes avec les populations. Les motifs seront plus avec des
images d’industries de production et de visages de leaders Africains. Thomas Sankara, Sylvanus
Olympio, Kadhafi et autres pourraient y figurer.
Point 6: Garantie de la convertibilité et de la transférabilité.
Le fonctionnement sera analogue au système actuel, les commerçants, les importateurs rendront
leur coupure de la nouvelle monnaie pour se voir transférer des devises étrangères dans les pays de
leurs choix.
Point 10 : Stabilisation de la valeur de la nouvelle monnaie
Nous utilisons 50% de nos recettes externes actuellement en paiement au trésor français pour
garantir la parité fixe du FCFA avec l’Euro, mais, pas avec le Dollars US. Nous utiliserons aussi avec la
nouvelle monnaie ces même 50% de nos recettes externes pour garantir la stabilité de la nouvelle
monnaie au travers exclusivement des investissements industriels. Une liste non exhaustive des
entreprises qui seront installées par le financement de la Central Bank of Africa est au-dessous de ce
document. La Central Bank of Africa fera une répartition de ces investissements par pays et
attribuera les allocations budgétaires nécessaires. Ainsi, certains pays deviendront importateurs de
matières premières comme le coton des autres pays, pour en devenir des fabricants de vêtements.
Ce système permettra l’augmentation des échanges intra-communautaire.
Les besoins de consommation et la vie de nos pays va continuer avec les autres 50% de nos recettes
externes habituels et les mobilisations de ressources internes.
Point 11 : Critères de convergence et établissement de politiques de développement communes :
La nouvelle monnaie permettra l'instauration de politique de développement commune, de
politique agricole commune (l'Afrique pourra enfin subventionner ses agriculteurs -subvention
impossible actuellement car l'argent devant servir à subventionner doit venir de l'étranger, ce qui ne
sera plus le cas quand nous fabriquerons notre propre monnaie). Nous devrons aussi asseoir une
politique d'industrialisation commune, et avoir des visions à long terme. Des standards Afro seront
établis comme dans la zone Euro avec les standards européens.
Nous limiterons les investissements étrangers et ferons un audit de la dette de chaque pays
immédiatement après la fin du FCFA. Ainsi, nous saurons comment rembourser cette dette avec nos
productions industrielles.
La nouvelle monnaie par laquelle nous allons remplacer le CFA sera la monnaie du développement
industriel de l'Afrique, la monnaie qui permettra à la Banque centrale d'obliger nos banques
habituelles de faire des prêts à 1% de taux d'intérêt contre 13% actuellement. Ce sera la monnaie
qui mettra fin à l'émigration clandestine vers l'occident. Ce sera la monnaie qui mettra fin au
chômage de masse chez nous.
Point 12 : Dotation de la masse monétaire par pays :
Chaque pays aura une dotation monétaire équivalente au total de ses exportations, ses prêts et dons
internationaux. A cela s’ajoute les crédits d’implantations industriels, et crédits de construction
d’infrastructures et de consommation si possible. Ce n’est pas parce que tous ces pays seront dans la
même zone que l’on utilisera les fruits du travail d’un pays pour donner à un autre pays. Ainsi, les grands pays n’ont rien à craindre des petits pays, et les petits pays n’ont également rien à craindre
des grands pays.
Brasil: Le fils du Brésilien Pelé va retourner en prison et leRoi Pe...
Written by ERIC K. ALOVORLe fils du Brésilien Pelé va retourner en prison. Son nouveau recours contre sa condamnation à près de 13 ans de réclusion pour blanchiment d'argent issu du trafic de drogue, a été rejeté, ont indiqué les autorités locales.
Edson "Edinho" Cholbi do Nascimento "s'est présenté spontanément au commissariat vendredi après-midi", a expliqué samedi un porte-parole de la police de Santos, ville de l'État de Sao Paulo où il a fait carrière comme gardien de but, dans le club où son père a connu la gloire dans les années 60.
Samedi matin, Edinho se trouvait encore dans une cellule du commissariat dans l'attente de son transfert vers une prison de l'État, a ajouté cette même source.
Jeudi, le tribunal de justice de Sao Paulo a rejeté à l'unanimité un recours présenté par son avocat. Après avoir été remis en liberté provisoire à plusieurs reprises, "Edinho" revient ainsi pour la cinquième fois en prison dans le cadre de cette affaire.
Le fils du "Roi Pelé" avait été condamné fin mai 2014 par un tribunal de première instance de Santos à 33 ans de prison, une peine réduite par la suite à 12 ans et 10 mois de réclusion.
Son père, Edson Arantes do Nascimento, alias "Pelé", a eu sept enfants. Considéré comme le plus grand footballeur de l'histoire, il a été trois fois champion du monde avec le Brésil (1958, 1962 et 1970) et a marqué plus de 1000 buts au cours de sa carrièr
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Nigeria: Obasanjo a former-Nigerian leader mocks Americans for choosin...
Written by ERIC K. ALOVORFor the majority of Americans to have voted for Donald John Trump to become their president, it means that they are as humans as Africans are, that is the position of former Nigerian president, Olusegun Obasanjo.
‘‘The fact that America can produce a Trump in this day and age, it means Americans are as human as we are,’‘ he is quoted to have said.
The octogenarian who ruled Africa’s most populous nation – first as a military ruler and then a civilian leader, said he was happy about the turn of events in the U.S.
‘‘I am not justifying what African leaders are doing. If our leaders are doing wrong, we should say that they are doing wrong. Trump has come so that America can be humbled, and we can also learn that lesson,’‘ he added.
Obasanjo’s comment was made during an event earlier this week at the French Embassy in Pretoria, the News24 portal reports.
The event in question was the launch of the French version of a book titled ‘Making Africa Work.’
The book described as ‘‘A trenchant analysis of the continent’s economic fault lines and a handbook of best practices to redress them,’‘ was authored by Greg Mills, Jeffrey Herbst, Olusegun Obasanjo and Dickie Davis.
According to him, even though Africa still needed foreign direct investment, it was time for the continent to show the rest of the world that it can take charge of its own future.
‘‘Nobody can do it for us, and it is all of us, and if we do it, we will get it right,’‘ he added.
Before the APC came to power in 2015, the current opposition Peoples Democratic Party (PDP) had ruled Nigeria since the country’s return to democratic rule in 1999. The PDP’s first leader was Obasanjo, who had two four year terms.
His plan to extend his stay in power was stiffly opposed and he eventually handed over to Umaru Musah Yar’Adua of the PDP. Obasanjo is a regular election observer on the continent, especially for the Commonwealth.
Trump took office in January this year after winning hotly contested elections in November last year.
He beat former first lady and secretary of state, Hillary Clinton, to make it to the White House with his mantra to ‘Make America Great Again.’