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Congo-Brazzaville: Biens mal acquis, la famille Sassou pris en flagrant délit

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dimanche, 22 décembre 2013 18:02

Congo-Brazzaville: Biens mal acquis, la famille Sassou pris en flagrant délit

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Le dossier des biens mal acquis de se corse. L'instruction menée par les juges français Roger Le Loire et René Grouman n'en finit plus de révéler la folie des grandeurs des familles Bongo, Obiang et Sassou Nguesso. Ces derniers mois, les magistrats ont concentré leur instruction sur le clan Sassou.

 

 

D'après une première enquête, rédigée il y a quelques mois, les policiers estiment que ces sept dernières années, la famille Sassou Nguesso aurait dépensé au moins 60 millions d'euros d'argent public congolais dans les boutiques de luxe parisiennes.

L'inventaire de ces dépenses donne des vertiges : 250 000 euros de chemises monogrammées « DSN », pour Denis Sassou Nguesso, tandis que des centaines de milliers d'euros ont été dépensés en costumes, montres, bouton de manchette... Sans oublier la maroquinerie, le mobilier de luxe et les voitures.

 

 

À chaque demande de réquisition judiciaire envoyée dans une enseigne de grand luxe, les policiers ont découvert le nom Sassou dans le fichier client.

Déjà en 2010, une enquête menée par les deux juges français révélait un système qui permettait à Denis Sassou Nguesso et à son entourage selon le journal français Le Parisien de « se constituer un patrimoine monumental et assurer leur train de vie ».

Ainsi les enquêteurs avaient trouvé la trace de 9 millions d'euros, en provenance directe de la Direction du Trésor de la République du Gabon, qui avaient transité sur les comptes de Frank Export entre 2005 et 2011.

 

 

En épluchant les livres de compte de Franck Export, les policiers avaient aussi trouvé des factures à hauteur de 2,5 millions d'euros qui étaient réglées par « des entrepreneurs bien connus au Congo,Serge Mouyi et Fidèle Ondouo » pour le bénéfice du clan Nguesso. En fait, la société Franck Export remplissait en quelque sorte le rôle de guichet ouvert pour le président congolais et les siens : entre 2005 et 2009, ce sont 1,2 million d'euros qui ont été distribués en liquide à la famille et aux amis de Denis Sassou Nguesso.

Si tous ces mouvements de fonds avaient intrigué au plus haut point les enquêteurs, le gérant de Franck Export avait quant à lui une explication bien simple. « De par ma situation privilégiée avec la présidence du Congo, je suis amené à effectuer des achats dont je ne peux garantir ou attribuer le devenir », avait ainsi déclaré Franco Cantafio alors qu'il était interrogé en février 2013.



100 euros de commission

 

Le procédé était bien rodé, comme le relatait Le Parisien. « Il s'agit d'un service que j'ai facturé sur instruction de la résidence pour transférer de l'argent à certains membres de la famille Sassou. Ayant des fonds appartenant à la présidence, des factures me sont envoyées, que l'on me demande de régler. Je prends une commission de 100 euros par opération », avait précisé encore complaisamment le gérant.

Les premières plaintes qui interviennent dès 2007 dans ce qui devient l'affaire des biens mal acquis n'avaient pas cesser pour autant ces opérations frauduleuses. Quant à Franco Cantafio, le gérant, il reconnaissait ne s'être jamais posé de question sur l'origine des fonds qui transitaient par sa société. « Je recevais des fonds provenant de telle structure, c'est tout. Je n'ai pas les moyens de vérifier quoi que ce soit », s'était-il contenté de dire aux enquêteurs. Les magistrats n'avaient manifestement pas été convaincus et ils l'avaient mis en examen pour « complicité de blanchiment de détournement de fonds publics ».

 

 

Pour Jean Merckaert de l'association Sherpa, la première à avoir porté plainte dans cette affaire, les éléments rassemblés par les juges constituaient une étape importante dans l'établissement de la vérité. « C'est une des premières fois, constatait-t-il, qu'on découvre le mode opératoire et l'origine du financement du patrimoine constitué en France par le président Sassou Nguesso ». Le seul précédent concernait le paiement d'une Mercedes acquise par Pascaline Bongo, la fille du président décédé Omar Bongo, grâce à des chèques émis par la paierie du Gabon, dont le compte était à la Banque centrale de France. « On pourrait encore trouver, pensait alors Jean Merckaert, plusieurs entreprises en France qui jouent le rôle de tirelire comme l'a fait la société Franck Export. »

 

 

Pendant ce temps, la population croupit sous une misère indescriptible.  Afrique Info


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