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Tchad: N'Djamena tombée aux mains des rebelles, Deby à la présidence

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vendredi, 01 février 2008 21:54

Tchad: N'Djamena tombée aux mains des rebelles, Deby à la présidence

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 "Toute la ville est entre les mains des rebelles. Il n'y a plus que des combats de nettoyage", a indiqué cette source, précisant que le président Deby était "toujours à la présidence".

A SUIVRE

Les rebelles tchadiens se sont emparés samedi matin de la capitale N'Djamena après seulement trois heures d'affrontements avec les troupes gouvernementales, mais le président Idriss Deby Itno résistait toujours en début d'après-midi depuis le palais présidentiel.

Le président Deby, encerclé dans la présidence à N'Djamena par les rebelles, peut partir s'il le désire, a affirmé samedi à l'AFP un responsable de la rébellion.

"On suppose que Deby est dedans (la présidence). S'il veut partir nous n'y voyons pas de problème" a déclaré Abakar Tollimi lors d'un entretien par téléphone satellitaire.

Le président a essayé à la mi-journée de desserrer l'étau de la rébellion qui l'encercle en faisant tirer des chars, a-t-on appris de source militaire. Un journaliste de l'AFP avait auparavant constaté des combats dans le secteur de la présidence, après quelques heures de relative accalmie.

"Toute la ville est entre les mains des rebelles. Il n'y a plus que des combats de nettoyage", indiquait une autre source militaire militaire en fin de matinée.

Selon des témoins, dans certains quartiers, la population a accueilli par des cris de joie l'arrivée des rebelles, qui circulaient dans des pick-up camouflés, vêtus de treillis vert olive et portant des brassards blancs.

 


Des pillages ont été constatés dès leur arrivée, selon des responsables de services de sécurité d'organismes internationaux. D'autres témoins affirment que les prisonniers de la maison d'arrêt de N'Djamena ont été libérés.


Le pouvoir n'a communiqué que via son ministre des Affaires étrangères, Amad Allam-Mi, soucieux de minimiser l'avancée des rebelles en marge du sommet de l'Union africaine (UA), à Addis Abeba.

"J'ai parlé avec la présidence", a-t-il déclaré. "Ils m'ont assuré que la situation était bien sous contrôle. Il y a dans la ville des accrochages mais pas de combats de grande échelle."

Selon une source militaire française, environ 2.000 rebelles avaient pénétré dans la capitale à bord de 4X4, équipés de mitrailleuses, lance-roquettes et Kalachnikov.

"Deby et ses troupes sont en débandade. Il va tomber aujourd'hui (samedi) c'est sûr", avait affirmé Abakar Tollimi, l'un des chefs de l'alliance formée depuis la mi-décembre des trois principales rébellions tchadiennes.

Depuis lundi, une colonne rebelle composée de quelque 300 pick-up pouvant transporter dix à quinze hommes chacun a traversé le Tchad sur 800 km à partir du Soudan. Leur progression n'avait pas rencontré de résistance jusqu'à vendredi vers la localité de Massaguet, à 50 km au nord-est de la capitale, où l'ANT était allée vainement tenter de la bloquer avec à sa tête le président Deby.

Le chef d'état-major de l'armée tchadienne Daoud Soumaïn aurait été tué vendredi à Massaguet, selon une source militaire tchadienne. Les belligérants n'ont diffusé aucun autre bilan des combats.

 


Le ministère français des Affaires étrangères, qui "condamne fermement la tentative de prise du pouvoir par la force", a par ailleurs appelé les 1.500 résidents français dans le pays, dont 85% sont à N'Djamena, à "s'abriter dans leurs habitations".


Quelque 700 ressortissants français et étrangers pourraient commencer à être évacués dès samedi après-midi, a-t-il indiqué, précisant avoir dépêché dans la nuit une équipe de renfort "de neuf personnes accompagnées de matériel médical et de moyens de communication".

"Pour le moment, on est bloqués à l'hôtel, on n'a pas le droit de sortir. Il y a l'armée française qui nous protège", a indiqué à la radio RMC André, un Français vivant dans le centre de la capitale.

Un Airbus de l'armée de l'air est attendu à N'Djamena en fin de journée.

Selon l'état-major des armées, 150 soldats français sont arrivés samedi matin de Libreville, portant à 1.450 le nombre des soldats français au Tchad dans le cadre du dispositif Epervier, présent depuis 1986 dans le pays et qui compte 1.100 hommes.

Le président Nicolas Sarkozy s'est "entretenu longuement avec le président Deby", a par ailleurs déclaré le porte-parole de l'Elysée David Martinon.

La chute de N'Djamena intervient alors que doit être lancée la force européenne dans l'est du Tchad et en Centrafrique (Eufor), censée protéger un total de 450.000 réfugiés du Darfour (ouest du Soudan) et déplacés tchadiens et centrafricains.

Plusieurs experts, ainsi que les autorités tchadiennes, estiment que le Soudan, parrain des rebelles tchadiens, les a incités à attaquer pour perturber ce déploiement.

Samedi, l'UA a "condamné" l'attaque, et mandaté le président congolais Denis Sassou Nguesso et le dirigeant libyen Mouammar Kadhafi pour "trouver une solution négociée" à la crise.


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