Cette découverte peu ordinaire a créé la zizannie au sein des usagers de ce lieu d’apprentissage qui est fermé depuis quelques jours pour fait de grève et de protestation des apprenants qui exigent le retour de leur directeur déchargé pour mauvaise gestion du personnel administratif. Selon plusieurs langues, la présence de ces fétiches sur le lieu a un rapport avec le déchargement du directeur qui a eu le temps de gagner la sympathie des élèves mais également de certains parents d’élèves.

En effet, ce collège est fermé durant toute la semaine écoulée parce que les élèves ont bloqué l’accès du collège est des activités pédagogiques exigeant le rétablissement de leur directeur injustement déchargé avant la reprise de toute activité dans ce collège. Pour certaines personnes approchées, l’érection des fétiches dans l’enceinte du collège est sans doute une mystification de celui qui sera envoyé par le ministre Kakpo Mahougnon pour remplacer le directeur déchargé.

Les élèves, à en croire certains de leurs propos, ont certainement dû recourir aux fétiches pour dissuader l’autorité d’user de sa puissance publique pour les empêcher dans leur décision d’empêcher le cour normal des activités pédagogiques.
Une nouvelle stratégie qui s’invite dans les mouvements de grèves qui s’observent depuis un moment par les enseignants soutenus de parts et d’autres par certains apprenants. Le ministre Kakpo Mahougnon doit reprendre la situation en main afin que ce lieu d’apprentissage soit libéré de l’influence des forces négatives afin qu’apprenant et corps administratif puissent en toute quiétude retrouver l’accès du CEG de Lobogo situé dans la Commune de Bopa.

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