Après trois mois de grève sans négociations, l'UNAMAB, de concert avec le syndicat des travailleurs de l'administration judiciaire, a renoué avec un mouvement de grève de 72 heures par semaine depuis le 20 mai dernier, suite à un moratoire de deux mois et demi sans véritables discussions.
"Du 20 mai 2014 à ce jour, le gouvernement, respectueuse de sa tradition, n'a pas invité le Bureau exécutif de l'UNAMAB à une table de négociation. En lieu et place d'un dialogue franc et sincère sur la correction des irrégularités contenues dans les différentes nominations et la sécurité des magistrats, c'est une proposition de loi visant à supprimer aux magistrats leur droits de grève qui se trouve en gestation", souligne le communiqué. Xinhua
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