Les quatre étudiants sont poursuivis pour "association de malfaiteurs et actes et manoeuvres de nature à jeter les discrédit sur les institutions de la République".
Les trois étudiants ont été écroués, hier, à la Maison d’arrêt et de correction (Mac) de Reubess et l’étudiante, Ami Diouf, conduite à la maison d’arrêt pour femmes (Maf).
Les étudiants devraient rester en prison 6 moins avant de pouvoir prétendre bénéficier d’une liberté provisoire.
Depuis le caillassage du cortège du président de la République à l’université, plusieurs personnalités dont le médiateur de l’Ucad, Mamadou Ndiaye avaient appelé à la clémence et au pardon. Vraisemblablement, ce n’est pas le chemin emprunté par la justice.