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Togo : LES AUTORITES GARDENT LE SILENCE, CAR, UFC, OBUTS et autres .. REAGISSENT.

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mardi, 14 avril 2009 11:10

Togo : LES AUTORITES GARDENT LE SILENCE, CAR, UFC, OBUTS et autres .. REAGISSENT.

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La guerre des Princes ?

Alors qu’aucun développement officiel n’est à signaler 48 heures après l’assaut mené par la FIR contre le domicile de Kpatcha Gnassingbé, ce dernier reste toujours libre de ses mouvements alors que des personnes, surtout des militaires, supposées proches de lui ont été interpellées.

Du côté des autorités, on s’abrite derrière le communiqué officiel pour ne pas intervenir. Le Chef de l’Etat, qui n’a finalement pas pris l’avion dimanche soir pour Pékin (Chine) comme l’agenda présidentiel le prévoyait, aurait réuni selon nos informations, des officiers de l’Etat-Major pour une séance de travail à Lomé 2  hier lundi en fin de matinée. Ce matin, alors qu’il était inhabituellement absent à la Présidence de la République, des sources non confirmées annonçaient une réunion familiale, également à Lomé 2.

Le Procureur de la République, monsieur Robert BAKAÏ,  affirme n’avoir rien à rajouter de plus que le communiqué lu à la télévision, malgré les multiples questions restées sans réponses et les zones d’ombres qui entourent ces évènements : les personnes arrêtées sont-elles inculpées ; sous quels chefs ? où sont-elles détenues ? où et quand sont survenues les interpellations ; pourquoi le député Kpatcha n’est toujours pas interrogé etc…

 

Le Président de l’Assemblée nationale, monsieur Abass Bonfoh, qui n’aurait pas été dans la confidence de l’assaut et dont l’autorisation n’aurait pas été requise,  malgré le statut de parlementaire de monsieur Gnassingbé, est resté injoignable, alors qu’un de ses proches déclarait qu’il serait surpris que monsieur BONFOH commente ces évènements.

 

Quant au  Président du groupe parlementaire RPT, monsieur Drama Dramani, il a refusé de commenter l’attaque, sous prétexte qu’il est actuellement absent de  Lomé. 

 

Pour monsieur Amégnona Kossi, président du groupe parlementaire CAR, s’exprimant avec sa casquette de député, il déclare «  que ce qui vient de se passer est un manque d’égards aux textes de la République. On a attaqué le domicile d’un député, alors que la loi en ses articles 52 et 53 précise que le parlement devrait être saisi et l’immunité du député levé, avant tout cela. J’avoue cependant ignorer quelle procédure a été utilisée. »

 

Selon monsieur Agbéyomé Kodjo, président d’OBUTS,  «  ce qui vient de se passer est extrêmement grave et mérite la compassion et la solidarité du peuple à l’endroit du député de la nation qui a été agressé chez lui. Nous ne pouvons cependant exprimer l’ensemble de nos préoccupations pour l’instant, parce que la situation telle qu’elle se présente, reste encore floue ».

Cornélius Aïdam, vice-président de la CPP,  estime pour sa part « qu’il est trop tôt pour  réagir sur une situation non encore maîtrisée. » 

Quant à Me Tchassona Traoré, président de la MCD, il affirme « qu’il y a tellement des zones d’ombres, du flou et des non-dits dans cette affaire. Il nous faut alors du temps pour comprendre la situation avant de réagir. »

 

UFC Tentative de coup d’Etat : Le régime veut torpiller la préparation sereine de la prochaine présidentielle

Communiqué de presse

Relatif à l’attaque du domicile du député Kpatcha Gnassingbé

Dans la matinée du lundi 13 avril 2009, les médias nationaux et internationaux ont diffusé l’information selon laquelle des éléments de la Force d’Intervention Rapide (FIR) des Forces Armées Togolaises (FAT) ont lancé la veille vers 22 heures, une "attaque aux fusils d’assaut et aux armes de guerre" contre le domicile du député Kpatcha Gnassingbé, frère du Chef de l’Etat et ancien ministre de la Défense Nationale.

Au cours du journal de la mi-journée du 13 Avril sur TVT, le Procureur de la République a donné lecture d’un communiqué qui explique ces événements par une procédure d’enquête préliminaire en cours suite à la découverte d’une « tentative d’atteinte contre la sûreté de l’Etat », dans laquelle serait impliqué Kpatcha Gnassingbé. "Plusieurs personnes dont 05 officiers" des FAT seraient arrêtées.

Selon le communiqué du procureur, des éléments de la gendarmerie qui se sont présentés au domicile de Kpatcha Gnassingbé, le dimanche 12 avril vers 22h, pour interroger des membres de « l’entourage » de celui-ci sur leur participation à un complot contre la sûreté de l’Etat, ont été accueillis par des coups de feu de sa garde rapprochée. Le même communiqué précise que c’est en réaction à cette « réponse musclée » de Kpatcha Gnassingbé que les forces de défense sont intervenues pour soutenir la gendarmerie.

Selon les médias qui l’ont rencontré à son domicile ce même lundi après les évènements, le député Kpatcha Gnassingbé soutient que cette opération, conduite par le colonel Kandanga, commandant de la FIR, vise tout simplement à l’assassiner.

En attendant d’en cerner les contours, l’opération militaire menée contre le député Kpatcha Gnassingbé par les FAT, suscite de la part de l’Union des forces de Changement (UFC), les observations suivantes :

1. Aucune disposition légale ne permet aux forces de sécurité de se présenter au domicile d’un citoyen à 22 heures, pour l’interroger. Il est inconcevable que le Procureur de la République prétende faire interpeller des personnes de l’entourage du député Kpatcha Gnassingbé au domicile de ce dernier en y envoyant la gendarmerie à une heure aussi tardive.

2. L’interpellation d’un citoyen, pour quelque motif que ce soit, est une opération de police judiciaire qui ne relève nullement de la compétence des FAT et encore moins de celle de la FIR.

3. M. Kpatcha Gnassingbé est député à l’Assemblée nationale et jouit d’une immunité parlementaire. Il ne saurait donc faire l’objet d’aucune procédure d’interrogation par la gendarmerie nationale tant que l’Assemblée nationale n’a pas procédé par un vote, à la levée de cette immunité. Au demeurant, l’Assemblée nationale n’a jamais été saisie d’une demande de levée de l’immunité du député Kpatcha Gnassingbé.

4. Le régime RPT s’est engagé, aussi bien au titre des 22 engagements que de l’APG, à rendre l’armée apolitique et républicaine. Malheureusement, force est de constater que ce régime continue d’impliquer des éléments de l’armée nationale dans le débat politique.

En raison de ce qui précède, l’UFC demande à l’Assemblée nationale :

1) d’inscrire à l’ordre du jour de la session en cours, un débat sur la question de l’impunité et sur le respect de l’immunité parlementaire des députés ;

2) d’interpeller le ministre de la Défense Nationale pour éclairer la Représentation nationale sur les évènements de la nuit du 12 au 13 Avril 2009 ;

3) de mettre en place dans les plus brefs délais, une commission d’enquête parlementaire pour situer les responsabilités sur l’opération militaire des 12 et 13 Avril 2009.

Cette affaire piteuse et lamentable met en évidence la persistance de l’insécurité entretenue par le régime RPT pour torpiller la préparation sereine de la prochaine présidentielle dans le but d’empêcher le véritable changement auquel aspire le peuple togolais. Elle traduit le refus du gouvernement de prendre à bras le corps, la question cruciale de l’impunité au Togo. Elle traduit également le manque total de volonté politique du gouvernement et du régime RPT de créer les conditions d’un règlement juste et durable de la crise qui mine notre pays.

L’UFC considère que cette opération est le fait d’un régime en mal de légitimité qui s’emploie à déjouer des complots réels ou imaginaires pour intimider les populations et éliminer des adversaires politiques ainsi que des citoyens civils et militaires supposés favorables au changement démocratique.

L’UFC constate que le régime RPT, fidèle à sa conception rétrograde de la politique, continue de recourir à la violence comme moyen de conquête et de conservation du pouvoir d’Etat. Elle dénonce les violations impunies et répétées des droits humains ainsi que la persistance des exécutions sommaires et extrajudiciaires perpétrées par ce régime. L’UFC déplore les morts et les blessés ainsi que les dégâts matériels occasionnés par cette attaque. Elle exprime ses condoléances aux familles éplorées ou affectées.

Face aux manœuvres d’intimidation d’un régime aux abois, l’UFC appelle les populations togolaises à ne pas céder à la peur et à rester vigilantes et mobilisées.

Fait à Lomé, le 14 Avril 2009

Pour le Bureau National,

Le Vice-Président

Patrick Lawson

 

TROP C’EST TROP

De toutes les informations qui arrivent depuis 48 heures de notre pauvre Pays, le Togo, il se dégage une constante qui n’échappe à personne, ni même aux moins avertis de la catastrophe togolaise déjà vieille de plus de 40 ans. Cette vérité imprescriptible, insupportable parce que massivement chargée de drames parfois innommables est que chaque jour qui passe, notre Pays devient de plus en plus un bateau complètement ivre, sans boussole, sans gouvernail, sans capitaine, sans feuille de route et sans destination.

Devant cette situation, où sont alors passés les oracles, les Cassandre qui il n’y a pas si longtemps, sans vergogne et sans retenue, déclamaient haut et fort qu’avec la dysnastie nouvelle qu’ils étaient entrain d’installer, celle des Gnassingbé fils avec leurs meutes de loups et de vautours, ceux-là mêmes qui déjà du temps du feu le papa des nouveaux roitelets s’engraissaient largement du sang, des larmes et de la souffrance de notre peuple martyr, les Togolais allaient voir ce qu’ils n’ont jamais vu. Où sont-ils ces prophètes de malheur et leurs balivernes ? Où sont-ils encore, ces malfaiteurs, acteurs volontaires et cyniques de la décrépitude de notre pays, ces champions de la manipulation qui promettaient à qui au demeurant naïfs leur prêtaient une oreille complaisante, l’avènement de temps nouveaux, d’une ère nouvelle faite de respect du citoyen, de la bonne gestion de la chose publique et du partage démocratique et équitable des responsabilités ? Où sont-ils donc ces fossoyeurs de notre "Denyigban Lonlonto", auto-proclamés faiseurs de rois ?

Il a suffi seulement de quelques mois, pour constater que ce territoire jadis respecté et envié, déjà hautement malmené par Gnassingbé Père est devenu sous les "héritiers" un pays lépreux, un asile tout désigné pour une certaine racaille errante, criminels internationaux de tous poils, magouilleurs de tous acabits, trafiquants notoires de drogues et d’armes, blanchisseurs patentés d’argent sale.

Pour arriver à la mort programmée de notre Pays, ces vendeurs d’illusion sont tapis derrière des titres ronflants de consultants de ceci, commissaires de cela ou encore recouverts du manteau trompeur d’humanitaires, véritables prestidigitateurs ou hypnotiseurs professionnels chargés d’anesthésier notre peuple et de détruire toute capacité réactive chez lui pendant les Gnassingbé et leurs complices le dépècent allègrement. Ces experts savent tout du Togo et par conséquent s’octroient le droit de décider de tout à la place des Togolais.

Faure Gnassingbé et ses frères sont leurs produits. Il leur revient la tâche de remettre à l’endroit, ce qu’en 2005 ils ont délibérément mis à l’envers. La décence et la morale le leur commandent.Seules des élections transparentes, inclusives de tous les Togolais peuvent encore permettre de reconstruire petit à petit le Pays.

Toute autre tentative d’une nouvelle manipulation est irrémédiablement porteuse de guerre civile sur la terre de nos aïeux. Ces élections transparentes sont prévues pour dans un an. Cependant, avant cela, la lumière et toute la lumière doit être faite sur le Far West de Dimanche dans la résidence de M. Kpatcha Gnassingbé. Mais on rêve !!!

Voila un pays avec soi disant à la tête un "Président" commandant suprême des Forces Armées nos fameuses F.A.T. Dans ce pays existe un monsieur frère du président qui detient chez lui tout un arsenal de guerre au vu et au su de tout le monde sans jamais être inquité. Dans ce pays, une nuit sur réquisition paraît-il, des unités régulières informées du fait qu’une atteinte à la sécurité de l’Etat était en préparation s’en allèrent neutraliser les comploteurs réfugiés chez le frère du président. Là bas les hommes des unités régulières se font ceuillir à froid par la garde armée du frère. On échange des coups de feu pendant au moins deux heures de temps. Il y aurait eu des morts et des blessés dont personne n’a réellement des nouvelles. Fait surréaliste, le lendemain de ce far west, le frère protecteur des comploteurs rentre tranquillement chez lui, reçoit des gens sans être pour le moins du monde inquiété.

Alors de deux choses l’une. Ou bien Faure Gnassingbé a peur de son frère Kpatcha qui jouit donc dans notre pays d’une totale impunité. Dans ce cas, si Faure ne peut rien dire à Kpatcha, qu’en serait-t-il alors du citoyen lamda qui pourrait avoir un jour un contentieux avec ce même Kpatcha ? Si le "président" a peur de son frère, aucun citoyen n’est plus protégé dans ce pays. Il n’y a même plus de loi puisque Kpatcha devient la loi à lui tout seul. D’autres questions demandent rapidement réponse de la part de ceux qui prétendent detenir l’autorité dans ce pays.

1° Que fait l’Etat Major des F.A.T en particulier son chef le Général Zakari Nandja ?

2° Une communication à la Nation face à ces évènements d’une extrême gravité est-elle prévue par Faure Gnassingbé ? et pour quand ?

3° Est-il vrai que le colonnel Rock Gnassingbé a participé avec ses unités blindées à la défense de la maison de Kpatcha ? Si oui, qui lui en a donné l’ordre ? S’il y est allé de lui même quelle sanction l’Etat Major des F.A.T compte-t-il prendre contre le colonnel Rock ?

4° Est-il prévu une communication gouvernementale par le Premier Ministre ou le ministre de la défense devant l’ Assemblée Nationale ?

5° Est-il envisagé la création d’une commission d’enquête nationale ou internationale sur cette situation ?

Nous citoyens Togolais de l’intérieur et de l’extérieur exigeons une réponse rapide à ces questions.

Lille le 14 Avril 2009
Frédéric Atsou GALLEY

 

 


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