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Accra, Ghana: La Diaspora Togolaise au Ghana dans les rues avec une fo...
Written by ERIC K. ALOVORLa situation sociopolitique qui prévaut actuellement au Togo ne laisse pas indifférente la diaspora qui se met dans la danse. Les 6 et 7 septembre constituent des dates où le destin d’un peuple, celui du Togo peut basculer. Et, les différentes communautés togolaises à travers le monde ne veulent pas seulement être témoin de l’histoire, mais acteurs de cette histoire.
C’est dans cette ferveur sociopolitique que les compatriotes togolais résidant à Accra ont décidé de se joindre à la lutte de l’opposition en appelant à une grande manifestation le mercredi 6 septembre à 10 h.
Cette manifestation qui se veut pacifique aura pour point de départ le Carrefour 37 (Thirty-Seven) non loin de l’aéroport et pour point de chute l’ambassade du Togo au Ghana.
Pour les organisateurs, c’est une action qui incombe à tous les Togolais qu’ils ont sauf de changement. Et explique que cela se fait dans tous les pays du monde pourquoi pas au Ghana ?
Il faut par ailleurs noter qu’une conférence a été organisée sur le Togo par les Togolais, à Accra le samedi 2 septembre pour faire un peu de lumière sur la situation qui prévaut actuellement au Togo.
Plusieurs médias ghanéens étaient au rendez-vous pour mieux comprendre la politique togolaise, ses tenants et les aboutissants.
Togo: L’assaut final’ de l’opposition RPT/UNIR s’embrouille ...
Written by ERIC K. ALOVORAlors que l’opposition a décidé de prendre d’assaut les rues des différentes villes du Togo, le parti au pouvoir Union pour la République (UNIR) a décidé de répondre par des manifestations de rues qui irritent.
En effet, sans aucun communiqué au préalable, juste des affiches qui circulent sur les réseaux sociaux informent qu’une série de manifestations est prévue les 6 et 7 septembre par les femmes et les jeunes d’UNIR. Une marche qui a pour thème, « marchons pour le Togo. »
Par ailleurs, si la marche ne cause aucun problème parce que la loi togolaise le permet, ce qui choque la conscience du Togolais, c’est qu’une marche du parti au pouvoir soit organisée à des jours ouvrables.
Car, dans un curieux communiqué rendu public le 29 août 2017, le ministre de l’Administration territoriale et des Collectivités locales, Payadowa Boukpessi dit avoir noté « une recrudescence de programmation, au cours des semaines de travail, de manifestations pacifiques publiques, notamment de la part des partis politiques ». Ainsi, selon lui, les marches ne devraient plus être organisées entre le lundi et le vendredi, des jours ouvrables.
L’annonce de la marche de son propre parti peut être vue comme une faiblesse ou une incohérence entre les dirigeants du parti au pouvoir. Une partie des dirigeants d’Unir voient-ils donc qu’il faut adopter d’autres méthodes de réponse à l’opposition que celles proposées par le ministre ?
Cette marche montre déjà le climat qui règne dans le camp UNIR et l'emborglio dans lequel est lesdirigeants de ce partilongtemps considéré comme solidé s'est fouré.
Pour l’heure, aucun communiqué officiel du parti n’est sorti pour démentir cette marche. Les populations s’attendent donc à voir dès demain dans les rues de Lomé l’opposition et le pouvoir.
Paris: 2 septembre 201, la colère et le ras-le bol gagnent Paris
Written by ERIC K. ALOVORLa coalition CAP 2015 autour de l’ANC et de son leader, Jean-Pierre Fabre, a le 22 août rejoint le PNP « en vue d’une mobilisation encore plus forte pour la libération du peuple togolais de la situation d’esclavage que lui impose le régime RPT/UNIR depuis plus d’un demi-siècle » et « pour mettre fin au régime RPT/UNIR ». Ils ont été rejoints le 23 par le groupe des 6 (partis) dans un appel à manifester les 30 et 31 août, puis les 6 et 7 septembre.
Pour Jean-Pierre Fabre et l’ANC ou CAP 2015, le ton vraiment changé. Quelques jours auparavant, également le 19 août, au Gabon, Jean Ping avançait lui aussi vers la tension en disant : « À partir de ce jour, je ne vous retiens plus. En conséquence, je demande aux populations et à tous les Gabonais de la diaspora de se lever comme un seul homme pour marquer solennellement mon arrivée au pouvoir. » Un an après la seconde inversion de résultat de présidentielle d’Ali Bongo, le Togo rejoint-il le Gabon dans une résistance active à la dictature ?
Les 2 pays ont quelques points communs : la monarchisation des régimes dictatoriaux, la durée de plus de 50 ans sans alternance ni de président ni de parti depuis 1967, ou encore, la quantité d’inversions de résultats de présidentielles depuis 1990, 3 au Gabon (1993, 2009, 2016), 4 au Togo (1998, 2003, 2005, 2010) sur au minimum 12 répertoriées en Afrique. Par ailleurs, avec simultanément l’annulation de la présidentielle au Kenya, est-ce que quelque chose est en train de changer sur les processus électoraux en Afrique ?
Le retour à la constitution de 1992 pour le Togo, au-delà du respect de l’Accord politique global de 2006, signifierait l’application immédiate de la limitation du nombre de mandats. En cours de 3e mandat de Faure Gnassingbé, l’opposition togolaise se sent maintenant légitime pour demander, comme le font les congolais en RDC, le départ de leur chef d’Etat pour entrer dans une période de transition vers la démocratie. Cette hypothèse est optimiste, mais Faure Gnassingbé a constamment refusé d’appliquer l’accord de 2006 qui aurait déjà dû le faire partir au bout de 2 mandats, et il a déjà inversé deux résultats de présidentielle.
Le changement actuel est que la contestation ne se limite plus au Sud du Togo et a gagné le Centre. Depuis plusieurs décennies, le régime des Gnassingbé a tenté d’enfermer les togolais-es du Centre et du Nord dans un statu quo politique mêlant sous-développement, limitation des transports, censure maximale de l’information et fraudes massives aux élections. Une prise de conscience des populations du centre et du nord d’avoir été, au final, victime des manipulations d’un clan prédateur des richesses, pourrait maintenant être difficile à gérer pour le pouvoir.
Les togolais-es se mobilisent aussi à Bruxelles et à Strasbourg. Le reste du vieux réseau datant de Louis Michel y est peut-être encore actif. Le directeur Afrique du SEAE, le belge Koen Vervaeke affiche malheureusement, en particulier sur twitter, une certaine proximité et familiarité avec le pouvoir togolais.
A Paris, la manifestation était organisée par le Conseil Mondial de la Diaspora Togolaise (CMDT), mené par son président, Raymond Ayivi, avec le soutien d’autres organisations de société civile proche de l’opposition démocratique, telle que Synergie Togo. Elle a rassemblé près d’un millier de personne, rappelant ainsi les manifestations de 2005. Un an de mobilisation des gabonais-es sur Paris a donné l’exemple. D’autres rendez-vous sont prévus à partir du 6 septembre.
Régis Marzin,
3 septembre 2017
Accra, Ghana : Pour "blanchiment de la peau", une candidate ...
Written by ERIC K. ALOVOROrganisé dans presque chaque pays du monde entier pour mettre en valeur la femme et la culture du terroir, les critères du concours de beauté notamment appelés ‘’Miss’’ diffèrent également d’un pays à un autre.
Au Ghana, les organisateurs de Miss Ghana, ont recalé une candidate pour raison de blanchiment de peau. La candidate a expliqué qu’elle avait des « éruptions cutanées » sur son visage et, après avoir utilisé une crème qui lui a été administrée pour traiter les éruptions cutanées, le teint de son visage s’est allégé. Pour avoir une couleur de peau uniforme, elle a décidé d’utiliser la crème sur son corps entier.
Malgré le plaidoyer de cette dernière, les juges ne sont pas revenus sur leur décision, elle ne pourra pas continuer le concours.
La directrice de la structure responsable de l’évènement, Inna Marian Patty (photo), dans une interview a déclaré : ‘’ Nous préférons la tonalité naturelle de la peau et non le blanchiment. Nous encourageons les femmes à être confiant, à avoir leur propre valeur et à être fidèles à elles-mêmes. Le blanchiment de votre peau ne correspond pas à nos valeurs « .
« Néanmoins, nous avons encouragé les dames que nous rencontrons dans notre processus d’audition et de sélection pour arrêter le blanchiment, travailler sur l’amélioration / la cicatrisation de la peau endommagée à un ton naturel et peuvent toujours revenir si elles sont intéressées et répondent toujours aux exigences », a-t-elle ajouté.
Des informations et conseils sur les effets nocifs du blanchissement ainsi que comment éradiquer le phénomène, ont été prodigués aux femmes.
Rappelons que le concours est encore à la phase régionale au Ghana. Le 1er septembre prochain, « Miss Ghana 60 ans » posera ses valises à Accra pour sélectionner les représentants de la région du Grand Accra.
Partenariat Afrique-UE: Nouvel élan
Written by Saidou Diallo FMLiberte ConakryCe partenariat existe depuis 2007, mais ce dernier temps il fallait qu’on spécifie les besoins pour satisfaire cette couche sociale longtemps oublié. C’est pourquoi, la question de la jeunesse Africaine qui occupe 60 % de la population a été prioriser lors des sommets G7 et G20. Apres constat, cette jeunesse a besoin de s’épanouir dans tous les sens, formation, emploi, l’inclusion économique, politique et démocratique, d’où le thème du 5eme sommet Afrique-UE 2017 « investir dans la jeunesse Africaine ».
La jeunesse Guinéenne interrogée sur ce nouvel élan, a proposé plusieurs solutions en sa faveur. A travers un micro trottoir réalisé dans certains coins de Conakry, des jeunes parlent de ce qu’il faut pour leur épanouissement.
Soumah Mohammed lamine informaticien en anglais, suggère à l’UE de s’investir en guinée « il y a beaucoup de jeunes qui ont des projets mais par manque de financement ils ne peuvent pas réaliser leur projets. Nous voyons l’exode rural à Conakry où tous les jeunes de différents villages se sont dirigés, pour cause, manque d’activités dans les villages, si l’agriculture est développée chez eux, ils ne vont pas venir envahir la capitale sans emploi. Il ya des jeunes qui ont des métiers, par manque de financement ils ne peuvent pas se soutenir ou soutenir leur famille, si l’union européenne peut investir dans la jeunesse Guinéenne surtout dans l’agriculture ça pourra calmer la situation », a expliqué Mohamed lamine Soumah.
Abdouramane Diallo mécanicien, priorise la formation technique et professionnelle. « l’UE, doit aider l’Etat guinéen à construire et à équiper des écoles technique et professionnelles dans tous les pays, chaque préfecture doit avoir 3 écoles professionnelles pour former les jeunes sur place dans des différents métiers, comme ça, ils ne vont pas quitter le village pour la capitale à plus forte raison pensé à la migration qu’elle soit clandestine ou officielle, tous ceux qui étudies veulent faire l’université en oubliant que les écoles professionnelles donnent du l’emploi vite ,mais ce vrai que le manque d’emploi tourmente la jeunesse Guinéenne », a soutenu M. Diallo.
Kaba mamadi diaka prestataire, lui, exige la transparence dans le contrat Afrique-UE « l’UE est la 2eme grande instance politique au monde après l’ONU, en terme de puissance. Alors la Guinée a un problème qui n’est pas méconnus de cette instance, c’est la dette que la Guinée à travers ses créanciers, notamment la CBG depuis 1963 jusqu’à nos jours je ne peux pas te dire exactement quelle million ça fait en dollar, aller sur le net et je vous conseille de taper Guinée-CBG vous verrez bien le résultat, comment c’est contracté, la somme actuelle. L’UE ne peut pas investir un milliard en guinée pendent que ces même pays doivent des milliards à la guinée, pourquoi pas aider les Guinéens à avoir leur milliard, ils n’ont qu’à nous aider à récupérer cette masse d’argent. Je pose la question a la jeunesse guinéenne, pour quoi mourir dans la gueule du requin, être prisonniers chez les autres, aller brader le froid en Europe ? Si c’est ça que vous appelez le bien être, vous êtes mal barrer et mal informer, il est bon de se déplacer de se créer d’ouverture à travers le monde, mais là où tu vas, il faut connaitre comment tu vas, il ne faut pas s’exiler pour s’exiler », a déploré Mamady Kaba.
Boubacar Soumah jeune enseignant, la jeunesse Guinéenne ne doit ni souffrir ni mourir sur le chemin de l’Europe. « L’Europe a besoin de la guinée et la guinée aussi a besoin de l’Europe, mais si tu vois qu’un jeune Guinéen se motive pour aller en Europe c’est compte tenu de la situation en Guinée, les chefs qui sont en place sont égoïstes et mauvais. Ce sont eux qui disent que la jeunesse est l’avenir du pays jamais le présent; si non un jeune qui a fini l’université, ou son métier s’attend forcement à un emploi, mais s’il n’a pas d’espoir, les parents souffrent, il préfèrera aller vers l’Europe, les frères qui reviennent de l’Europe roulent dans des belles voitures, ils ont des beaux habits, ils construisent rapidement des belles maisons et épousent des belles femmes. Alors que tu as-fait beaucoup de temps sur le banc, tu es diplômé, et celui qui a refusé d’étudier est parti en Europe reviens réaliser devant toi. Tu n’auras qu’une seule option dans ce cas c’est d’allé mourir dans l’eau que de rester ici souffrir devant tes parents qui t’ont soutenu durant tout ce temps. Ceux qui travaillent en Guinée, c’est comme s’ils ne travaillent pas parce que le Salair est insignifiant. Nous demandons à l’UE d’investir en guinée pour favoriser l’emploi et maintenir les jeunes au pays », a-t-il souhaité.
La commission européenne propose de lancer une facilité en faveur de la jeunesse africaine, notamment le programme ERASMUS+, ou soutenir les innovations numériques en Afrique. Elle a présenté son approche Digital4Developpement, exposant des pistes sur la manière de promouvoir les techniques de l’information et de la communication dans les pays en développement et d’intégrer la numérisation dans la politique de développement de l’UE.
Réalisé par
Saidou Diallo FMLiberte Conakry
Chronique de Kodjo Epou: Indignez-vous, vous aussi!
Written by Kodjo Epou
Les “planning rooms” du RPT/UNIR sont à pied d’oeuvre. Sur la table, comment organiser la violence et semer la confusion dans le pays. On verra, après, les corps habillés dehors, armés de gourdins, de grenades et de fers, courant derrière les opposants, tels des automates ou de vulgaires dépeceurs. Pendant longtemps, leur quotidien s’est résumé à ça: la répression planifiée contre l’opposition politique, la defense aveugle d’un pouvoir obsolète et son bilan de gros trous! C’est cela, dans leurs méninges, préserver la paix. Paradoxe. Ces hommes ne gagnent rien. Leurs salaires et pensions de retraite sont des plus minables. Pourquoi alors secourent-ils la misère quand le peuple la veut supprimée? Parce qu’ils ignorent que de leur enfer est fait le paradis de la hiérarchie qui donne les ordres et qu’à côté des lois iniques les poussant au crime, il y a la Foi, c’est-à-dire leur conscience ?
Par Kodjo Epou
Les forces de l’ordre togolaises pêchent quand elles ne partagent pas la douleur, l'indignation et la colère des familles; quand elles ne sont pas capables de comprendre que l’honneur de leur métier, ce n’est pas seulement LA LOI ou le respect de l’ordre reçu, mais aussi LA FOI qui requiert de leur part un peu de jugeote. De nos jours, un gendarme, un militaire ou un policier qui obéit aveuglément ne peut pas être un homme respectable; mais une bête méprisable qui n’a pas deux sous de bon sens, un agent pour qui tuer sans savoir pourquoi il tue est un acte de bravoure, une activité ordinaire. Le vrai problème au Togo, c’est qu’il existe au sein du RPT/UNIR quelques arlequins qui peuvent, sous les auspices du chef de l’Etat, instrumentaliser à leur convenance les professionnels de l’ordre. Comment peut-on comprendre que Faure Gnassingbé, malgré toutes les frustrations que son père a fait subir aux Togolais pendant des décennes, ait choisi de gouverner avec une police politique, d’asseoir son pouvoir sur la bâyonnette?
Au total, douze ans à la tête du Togo à eviter les grands chantiers réformateurs de l’Etat. Autant d’années à pratiquer la république des gendarmes et des milices, celle dans laquelle l’aspitation légitime des citoyens à la justice est un crime de lèse-majesté. Le président en est venu à mettre en place les conditions de sa propre chûte. De partout, la contestation enfle pour atteindre tous les records. Au Togo comme dans la diaspora. Désormais la politique du mensonge tous azimuts a du plomb dans l’aile. Au lieu de tempérer par des mots justes, de faire une communication intelligente, les porte-parole de l’apprenti monarque, à leur tête le pantin sans fil, Gilbert Bawara – ce ministre est un guignol – brandissent pêle-mêle les menaces djihadistes qui peseraient sur la PAIX au Togo, le tribalisme, les risques d’une guerre, comme si les Togolais sont tous des toqués.
En quelque sorte, “si vous tenez à mon départ, vous l’aurez contre une guerre civile”. C’est au nom de cette logique qu’à la place des réformes que ses compatriotes lui réclament depuis près de dix ans, Faure Gnassingbé superpose ruses et dilatoires pour finalement tomber dans de futiles mises en scène à l’instar de “la marche de la honte” et du piètre “concert de la Paix” devant des tribunes désespérement vides. Seydou Kouyaté Badian avait déjà prévenu de ce qui peut arriver : “Un chef qui fait trembler (par la force brutale) est comme une grosse pierre qui barre une piste. Les voyageurs, pendant longtemps, l’évitent, la contournent, puis un jour, ils s’apperçoivent que le chemin serait moins long s’il n’y avait pas la pierre, alors ils viennent en grand nombre et la déplacent. La force ne crée pas un chef, mais plutôt un adversaire à abattre. On se demander si Faure Gnassingbe n’est pas dans la posture de ce chef que décrit l’écrivain malien.
Dans tous les cas, ce que ce président et les agités qui sont ses soutiens refusent de voir – il y a des signes qui ne trompent pas – c’est que les Togolais ne les veulent plus là où ils sont, que la démocratie de massue tire à sa fin si elle n’y est pas déjà. Quant aux forces de l’ordre, c’est le moment pour elles de trouver en leur sein un digne représentant qui monte au créneau pour demander pardon, avouer les torts et s’en excuser. Le peuple togolais accepera la repentance de ces frères. Il leur suffit de changer de fusil d’épaule pour se mettre à l’abri, du bon côté de l’histoire car, l’exécution des ordres iniques n’ont que trop ruiné les chances de la réconciliation nationale. Une LOI n’est pas sans s’accompagner d’une FOI (conscience) qui la rend humaine. Autrement, une loi sans conscience de l’exécutant est comme une hache entre les mains d’un psychopathe. Il leur faut maintenant démontrer à la face de l’opinion qu’ils ne sont pas d’intelligence médiocre, c’est-à-dire des hommes et femmes sans Foi qui confondent le parti au pouvoir et l’Etat.
Kodjo Epou
Washington DC
USA