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.Le Togo reste un pays instable du fait de l’inexistence d’Institutions Republicaines viables.

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dimanche, 18 mai 2008 12:10

.Le Togo reste un pays instable du fait de l’inexistence d’Institutions Republicaines viables.

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Le Mouvement Togolais pour le Developpement National ( MODENA )a rendu public un projet de plan d’actions a mettre en œuvre pour aboutir,au Togo, a une solution durable de la crise politique que le calme social actuel a du mal a cacher.Le Togo reste un pays instable du fait de l’inexistence d’Institutions Republicaines viables.Le mode de gestion des ressources de l’Etat fait persister une crise de confiance aigue de nature a bloquer la refondation de la nation et la participation des citoyens a l’effort de developpement.
Fmliberte vous propose un extrait du Pacte National Togolais (PNT) élaboré par le MODENA de Mr Atsutse Kokouvi AGBOBLI.

Le Compromis Politique Global (CPG) consigné dans le Pacte National Togolais (PNT) suggéré par le Mouvement pour le développement national (MODENA) en vue de la solution durable de la crise que traverse le Togo depuis des lustres s’inscrit dans cette logique de rassemblement de toutes les énergies collectives du peuple togolais. Il vise à construire une société industrielle de liberté, d’égalité et de justice sous l’impulsion d’un Etat fort au service du peuple togolais sans distinction ethnique, régionale, religieuse et d’opinion.

Le Pacte National Togolais (PNT) entend, par des actions audacieuses et des mesures appropriées mais porteuses de la profonde aspiration du peuple togolais tout entier au changement sans violences, rassurer toutes les composantes sociologiques du peuple togolais, surmonter les rancoeurs, apaiser les cœurs, éviter la chasse aux sorcières, les règlements de comptes et toute politique de vengeance et de revanche et créer les conditions d’un nouveau contrat social axé sur un projet de modernisation industrielle de la société et de réduction des inégalités dans la liberté et la justice.

Il est grand temps que l’action publique se détourne dorénavant de toute instrumentalisation de la zizanie, de la haine, de la division et de la discorde pour se fonder désormais par la défense et la promotion des intérêts collectifs de toutes les ethnies qui ont reçu en héritage commun la Terre de nos Aïeux dont les ressources naturelles et les revenus nationaux doivent revenir à tous conformément à l’article 38 de la Constitution qui stipule : « il est reconnu aux citoyens et aux collectivités territoriales le droit à une redistribution équitable des richesses nationales par l’Etat. ».

Des objectifs qui ne peuvent être atteints que lorsque la classe politique togolaise toute entière se serait convertie sur un projet commun de modernisation industrielle de la société togolaise, le principe d’un programme commun de gouvernement et le concept de la formation d’un gouvernement d’union nationale sur une période suffisamment longue pour assurer la concorde et l’union entre Togolaises et Togolais après les travaux d’une Commission Vérité, Justice et Réconciliation.  

 

 

 


LES REALITES INACCEPTABLES

Marquées par des injustices historiques avérées et des inégalités criardes, les réalités politiques, économiques, sociales et culturelles dans le Togo d’aujourd’hui peuplé de près de 5 600 000 d’habitants (selon les dernières estimations) sont toutes inacceptables et font du Togo un pays en voie de paupérisation continuelle.

Après des années de résistance au despotisme, le peuple togolais ballotté entre le doute et l’espoir depuis les élections générales contestables de 1961 et le coup de force militaire sanglant du 13 janvier 1963, nonobstant la IIe République instaurée par la Constitution de 1963 et le régime militaire officiellement établi dès le 13 janvier 1967 et, à partir de 1969, sous la couverture du Parti-Etat RPT, put se prononcer par le référendum, le 27 septembre 1992, pour une nouvelle Constitution.

Elle lui reconnaissait dorénavant les droits humains individuels et collectifs, fondateurs de l’Etat de droit, comprenait aussi et surtout des dispositions promouvant les principes d’un gouvernement démocratique.

Révisée par la loi n° 2002-029 du 31 décembre 2002 et modifiée en son article 52, alinéa 1er, par la loi n° 2007-006 du 7 février 2007, adoptées par une Assemblée Nationale peu représentative du peuple togolais, la Constitution togolaise en vigueur actuellement est manifestement bien éloignée de celle adoptée librement par le peuple togolais en 1992 et en deçà des aspirations constitutionnelles et institutionnelles des Togolais.

Au régime semi-parlementaire instauré par des dispositions constitutionnelles pertinentes pour en finir avec un président omnipotent a succédé un régime quasi présidentiel réduisant le premier ministre, chef de gouvernement, au rang de principal ministre ou coordonnateur d’un gouvernement dont le chef de l’Etat reste désormais le maître absolu.

Le premier ministre a beau être, selon l’article 78 de la Constitution en vigueur, « le chef du Gouvernement et diriger l’action du Gouvernement et coordonner les fonctions des autres membres du Gouvernement », et l’article 77 stipuler que « sous l’autorité du Président de la République, le Gouvernement détermine et conduit la politique de la Nation et dirige l’administration civile et militaire. Il dispose de l’administration, des forces armées et des forces de sécurité » !

Dans la réalité, nommé selon son bon vouloir par le président de la République, chef de l’Etat, selon l’article 66 de la Constitution stipulant que « le président de la République nomme le Premier Ministre. Il met fin à ses fonctions », le premier ministre ne fait pas le poids devant le président de la République.

Preuve que l’action du Gouvernement reste pour l’heure soumise à l’autorité omnipotente du président de la République, le chef de l’Etat, qui n’a de compte à rendre à aucune instance constitutionnelle.

En témoignent aussi et surtout la façon toujours solitaire, autoritaire voire despotique dont le pouvoir est exercé encore aujourd’hui : quelque peu respectueux en apparence des dispositions constitutionnelles libérales en matière de gouvernement, le pouvoir est en fait tenu de mains fermes par une infime minorité apparemment trans-ethnique, peu disposée à assurer, dans la liberté et la justice, le développement du pays et la réduction des inégalités au sein des populations.

Cette monopolisation du pouvoir a pour corollaire le maintien de la gestion patrimoniale de l’Etat, doublée d’agissements tribalo-ethniques et régionalistes qui se manifestent dans la nomination aux postes de responsabilité dans les cabinets ministériels, les administrations et sociétés d’Etat  et entreprises parapubliques.

De plus, des régies financières de l’Etat aussi bien que des entreprises publiques et parapubliques sont l’objet de l’affermage au profit des personnes privées au détriment des finances publiques. Siéger à leurs conseils de surveillance ou d’administration sert d’occasion d’enrichissement facile à leurs membres qui ne sont pas des actionnaires mais de simples représentants de l’Etat.

Prohibés par la Constitution, le tribalo-ethnisme et le régionalisme continuent de plus belle à servir de boussole pour l’action gouvernementale et administrative : ils sont doublés du népotisme, d’un clientélisme en faveur des militants des partis et associations proches des gouvernants et d’un favoritisme qui privilégie généralement les chefs des Forces armées et de sécurité au détriment du reste de la population togolaise.

Le summum des injustices et des inégalités s’exprime dans le maintien à des postes de responsabilité, généralement lucratifs, de personnalités proche du régime ayant dépassé largement l’âge de la retraite alors que des milliers de jeunes diplômés sans emploi ou au chômage doivent se contenter de petits emplois incompatibles avec des qualifications techniques et compétences professionnelles avérées : au gai plaisir du président de la République, chef de l’Etat, pourtant président de tous les Togolais, et garant de l’impartialité de l’Etat, ils sont maintenus illégalement à leurs postes pour la simple raison qu’ils sont de affidés du régime en place.

En clair, l’action gouvernementale souffre au plan politique de l’inexistence d’un Etat impartial agissant dans l’intérêt bien compris des toutes les populations sans discrimination aucune.

Au plan économique et financier, les inégalités sautent aux yeux de tout observateur averti et avisé des épreuves de la vie quotidienne des populations au Togo.

La gestion patrimoniale des biens publics et des revenus nationaux appauvrit l’Etat, obligé de s’endetter à l’extérieur ou de s’en remettre à la commisération internationale sans pour autant assurer le minimum requis aux populations en matière de satisfaction de leurs besoins élémentaires en matière de logement, de santé publique, d’éducation et de services de première nécessité à commencer par l’eau courante, l’électricité et les transports publics sans oublier les produits alimentaires et les détergents dont les prix flambent avec l’élévation constante du coût de la vie.

En revanche, marquée par le siphonage sans cesse des recettes publiques et la détournement constant des deniers publics, cette gestion patrimoniale offre l’occasion d’une accumulation rapide de grosses fortunes chez une très infime couche de la population : ces bénéficiaires d’une manne financière spoliée au peuple ne sont ni plus compétents ni plus studieux que l’immense majorité de la population togolaise réduite à se contenter de peu et à tirer le diable par la queue.

Au plan économique, les entreprises de production dans les domaines agricole et industriel sont en réalité délaissées au profit du secteur des services dont le monopole est garanti à des gens triés sur le volet et associés à des étrangers plutôt experts dans des activités interlopes : notamment dans plusieurs services de l’Etat règne une zone de non-droit où les prévarications régulières permettent à des fortunes considérables de se constituer aux dépens des petites gens dont les droits à des activités dans le secteur sont systématiquement violés et les commerces méthodiquement annihilés par ceux qui ne connaissent que la loi du plus fort.

Ainsi, les infrastructures et équipements économiques construits pour exploiter les réseaux électrique et d’eau courante, l’industrie des phosphates et la filière cotonnière relevant toujours du ressort de l’Etat, s’étiolent par la mauvaise gestion caractérisée des sociétés d’Etat commises pour les gérer : les matériels mal entretenus et rarement renouvelés sont aujourd’hui obsolètes. Et leur réhabilitation exige de lourds investissements dont le coût offre l’occasion pour la privatisation au profit des prédateurs étrangers.

Les infrastructures socio-éducatives, elles aussi, se sont détériorées au fil du temps au point que la paupérisation des populations togolaises s’accentue dangereusement : la deuxième Enquête Démographique et de Santé (EDST-II), faite en 1998 par la Direction de la Statistique du Ministère de la Planification et du Développement Economique financée en partie par l’Agence des Etats-Unis pour le Développement International (USAID), le Fonds des Nations unies pour la Population (FNUAP), le Fonds ces Nations unies pour l’Enfance (UNICEF) et le Programme des Nations unies pour le Développement (PNUD), le Rapport de 1999 sur le Développement humain durable au Togo consacré principalement au sujet « Femme, Pauvreté et Environnement », l’Enquête nationale sur les ménages faite sous les auspices du Programme des Nations unies pour le développement (PNUD) au début de la décennie 2000 et le Bilan de fin et Rapport de décennie des objectifs du sommet mondial pour l’enfant établi par le gouvernement togolais et l’UNICEF en 2000, avaient déjà constaté la dégradation considérable du niveau de vie des populations toutes catégories confondues dans les villes et les campagnes du Togo.

La baisse tendancielle du taux de croissance du Produit intérieur brut (PIB) durant le quart de siècle écoulé s’est caractérisée par le passage du Togo dans le groupe des Pays les moins avancés (PMA) : constitué en 1971 pour rassembler les 25 pays les plus pauvres de la Terre, le groupe fut rejoint, en 1983, par le Togo sur insistance de son gouvernement et compte en ce début du XXIe siècle cinquante et un membres dont 35 en Afrique, 10 en Asie, 5 dans le Pacifique et 1 dans les Antilles : ils sont reconnus par le Conseil Economique et Social des Nations unies (ECOSOC) pour avoir un Produit national brut (PNB) annuel par tête d’habitant cumulé sur trois années inférieur à 900 dollars américains, un Indice de développement humain (IDH), institué par l’ONU, parmi les plus bas du monde et un taux d’industrialisation et d’échanges également très faible.

Certes, entre 1990 et 2006, le taux de croissance du Produit intérieur Brut du pays a évolué en dents de scie avec des taux négatifs entre 1991 et 1993 et entre 1998 et 2002 excepté l’année 1999. Evalué en 2006 à près 1000 milliards de Francs CFA soit près de 2,1 milliards de dollars américains pour près de 5,2 millions de personnes, cela donne un PIB par tête d’habitant un peu plus de deux cent dollars américains.
Quant au Produit national brut (PNB) par tête d’habitant estimé aujourd’hui à environ 300 dollars, il est suffisamment faible pour que le Togo reste dans le groupe des PMA. 

Nul doute que les réalités sociales au Togo aujourd’hui sont effroyables quand l’on sait que les salaires sont maintenus à un niveau très bas, avec le salaire minimum interprofessionnel garanti (SMIG) fixé dans les années 1970 à 13 757 Francs CFA par mois, alors que le coût de la vie a augmenté depuis de façon vertigineuse, que les routes, rues des villes et pistes rurales laissent à désirer, les hôpitaux et les centres de santé sont dangereusement sous-équipés, les établissements scolaires publics (de la maternelle, du primaire, du secondaire et du supérieur) sont délabrés à l’image d’une société sans direction politique clairvoyante et efficace.

De fait, la formation intellectuelle et morale, scientifique et technique des populations du pays se fait à plusieurs vitesses et reste marquée par des inégalités de toutes sortes.

Les responsables du MODENA eurent l’occasion de voir de leurs propres yeux avec effroi durant leurs visites impromptues aux populations dans les villes et les campagnes des cinq régions Maritime, des Plateaux, Centrale, de la Kara et des Savanes, leurs mauvaises conditions d’existence : la désolation est présente partout avec son lot de privations en besoins élémentaires notamment en logement, en courant électrique, en eau courante, en soins de santé, en habillement, en éducation, en enseignement et formation techniques et en alimentation riches en nutriments essentiels.

Sans moyens d’assurer une bonne instruction et une meilleure éducation à leurs enfants, les familles déshéritées doivent se contenter des établissements publics aux conditions matérielles et humaines pour un enseignement et une formation efficaces plutôt déplorables : issus des milieux populaires des dizaines de milliers de jeunes, exclus de l’Education nationale, se retrouvent jetés à la rue sans avenir, privés du minimum vital et obligés de s’adonner à des petits métiers épuisants, tout en étant de plus objet de toutes les sollicitations dégradantes.

En revanche, les familles appartenant à l’infime couche privilégiée peuvent offrir sur place à leur progéniture la fréquentation des écoles privées mieux gérées ou les envoyer faire leurs études à l’étranger dans des pays industrialisés où les conditions les meilleures sont remplies pour en revenir, nantis des diplômes requis en vue d’occuper des postes souvent à eux réservés d’avance : ils en reviennent pour beaucoup d’entre eux bien évidemment dotés des qualifications et compétences  nécessaires pour assurer le commandement dans toute société constituée, perpétuant ainsi le monopole de leur couche sociale sur le pouvoir d’Etat.

Loin d’être imputée aux seuls troubles politiques et à la suspension de la coopération internationale imposée depuis février 1993, la responsabilité première de l’état de délabrement avancé que connaît le Togo actuel revient forcément aux tenants du régime despotique qui gèrent le pouvoir d’Etat et aux gouvernants qui se sont succédé à la direction du pays depuis quarante années : parce qu’ils n’ont aucun projet véritable de modernisation industrielle et de réduction des inégalités pour leur pays, leur conversion à la politique de dérégulation, de dénationalisation, de désétatisation et de privatisation de l’économie à l’ombre de la politique d’ajustement structurel, exigée par la Banque mondiale et le Fonds monétaire international (FMI), a permis à des prédateurs étrangers alliés à leurs correspondants locaux de s’emparer au moindre coût des sources nationales de richesses.

Née des difficultés endurées avec les échecs économiques et sociaux du régime de despotisme qui étouffe les énergies créatrices du peuple togolais et ses profondes aspirations au changement pour le développement dans la liberté et la justice, la situation politique que connaît le Togo d’aujourd’hui ne peut se résoudre que par une juste appréciation des forces structurelles en présence pour trouver entre elles un compromis politique qui rassure les unes et les autres et leur permette de construire ensemble une société industrielle, libre, prospère et juste pour tous.

On ne le dira et répétera jamais assez : en tant que mutation sociale globale fondée sur la révolution agricole, la révolution des transports et communications ainsi que la révolution industrielle, toutes les trois basées sur la révolution scientifique et technique, elle-même précédée par une véritable révolution intellectuelle et morale, le développement authentique dans un monde, plus marqué par la compétition intense, la rude concurrence et le dur combat que par la coopération internationale, reste l’affaire du peuple tout entier dans le pays dont les élites dirigeantes sont fermement décidées à le faire entrer dans le monde moderne sans négliger aussi la nécessité d’une révolution sociopolitique globale………

 


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