AVIS DE RECRUTEMENT: HUIT POSTES A POURVOIR A COTONOU (BENIN). REAGIR ...
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Une importante société basée à Cotonou (Bénin) souhaite recevoir des candidatures pour le recrutement de son personnel. Envoyer rapidement votre CV à : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
Conditions requises :
LIEU DE TRAVAIL : Cotonou (BENIN)
DUREE DU CONTRAT : 03 (trois) mois d’essai. ; CDD 1 an renouvelable chaque année.
TOUTE NATIONNALITE CONFONDUE - SALAIRE MOTIVANT - PRISE EN CHARGE SANITAIRE-
BONUS- 13e MOIS – INDEMNITE D’INSTALLATION.
I-SECRETAIRE DE DIRECTION BILINGUE
PRINCIPALES RESPONSABILITES :
- Organiser et gérer le secrétariat de la société ;
- Assister l’administration ;
- Coordonner et rendre compte à l’administrateur général des activités des différents départements de la société.
QUALIFICATIONS REQUISES ET CONDITIONS D’EMPLOI:
- BTS ou DUT en secrétariat de direction ou tout autre diplôme équivalent ;
- Expérience professionnelle minimale de quatre (04) ans à un poste similaire ou équivalent.
II- RESPONSABLE ADMINISTRATIF JURIDIQUE ET RESSOURCES HUMAINES
PRINCIPALES RESPONSABILITES :
GESTION ADMINISTRATIVE
- Créer des méthodes ou des outils de travail en fonction du secteur de l’activité de l’entreprise ;
- Maintenir une veille à l’environnement économique de l’état du secteur d’activité économique de l’entreprise ;
- Elaborer de nouveaux projets et mettre en place de nouvelles activités ;
- Gérer tous les aspects technique et financier dont il a la charge ;
- Négocier au nom de l’entreprise avec les intervenants ;
- Diriger et encadrer son équipe.
GESTION JURIDIQUE
- Exercer une fonction de conseil sur tous les aspects juridiques de la vie de l’entreprise ;
- Instruire les dossiers comme les contentieux judiciaires et intervenir sur des dossiers concernant des fusions, des acquisitions et tout ce qui se rapporte au droit du travail ;
- Etre le lien principal entre l’entreprise et les acteurs juridiques.
GESTION DES RESSOURCES HUMAINES
- Gestion des entrées et sorties (recrutement des équipes, réalisation des fiches de postes, rédaction des contrats de travail) ;
- Supervision de la gestion administrative personnelle et la paie ;
- Suivi administratif des relations sociales ;
- Formation ;
- Mission annexe ou transversal (gestion des difficultés liées au travail, gestion des conflits interprofessionnels).
QUALIFICATIONS REQUISES ET CONDITIONS D’EMPLOI
- Master (bac+5) en administration des affaires ou tous autres diplômes équivalent ;
- Minimum cinq (05) ans d’expériences professionnelles probantes à un poste similaire ;
- Ponctualité, rigueur, leadership.
III- RESPONSABLE LOGISTIQUE
PRINCIPALES RESPONSABILITES
- Coordonner la gestion des flux logistiques (achat, approvisionnement, distribution, planning…) ;
- Organiser et animer les équipes logistiques ;
- Mis en œuvre et contrôle de la réalisation des plans d’action logistique (flux matière et information) ;
- Etc.
QUALIFICATIONS REQUISES ET CONDITIONS D’EMPLOI:
- BAC + 3 en logistique commercial, transport et logistique, logistique international ;
- Minimum quatre (04) ans d’expériences professionnelles à un poste similaire ou équivalent ;
- Avoir un certificat de bonne santé.
IV-ASSISTANT LOGISTIQUE
PRINCIPALES RESPONSABILITES :
Assister le responsable logistique à :
- Proposer et à mettre en œuvre une politique logistique ;
- Coordonner la gestion des flux logistiques (achat, approvisionnement, distribution, planning…) ;
- Organiser et animer les équipes logistiques ;
- Mis en œuvre et contrôle de la réalisation des plans d’action logistique (flux matière et information) ;
- Etc.
QUALIFICATIONS REQUISES ET CONDITIONS D’EMPLOI:
- BTS ou DUT en logistique commercial, transport et logistique, logistique international ;
- Expériences professionnelles : minimum 2ans expériences professionnelles à un poste similaire ou équivalent ;
- Etre ponctuel, attentif, rigoureux et discret.
V- RESPONSABLE INFORMATIQUE
PRINCIPALES RESPONSABILITES :
- Elaboration de la stratégie et de la politique informatique ;
- Installation, maintenance et sécurité du système d’exploitation et d’information ;
- Suivi et évaluation des projets/outils informatiques ;
- Assistance aux opérationnels.
QUALIFICATION REQUISE ET CONDITION D’EMPLOI:
- MASTER (BAC + 4/5) en informatique ou tout autre diplôme équivalent /Ecole d’ingénierie ;
- Minimum cinq (05) ans d’expériences professionnelles probantes à un poste similaire ;
- Avoir une parfaite maîtrise du système d’exploitation (Unix/Linux…), programmation (langage C…) outil bureautique
- Avoir des capacités du management, de négociation et d’adaptation aux innovations.
VI- CHAUFFEUR DE DIRECTION
PRINCIPALES RESPONSABILITES :
- Mettre à jour le livret de bord du véhicule ;
- Assurer l’entretien régulier du véhicule ;
- Etre titulaire d’un permis catégorie B ;
- Avoir au moins le niveau BEPC ;
QUALIFICATIONS REQUISES ET CONDITIONS D’EMPLOI
- Expérience minimum de cinq (05) ans attestés par des certificats de travail ;
- Avoir un certificat de bonne santé ;
- Disponibilité permanente.
VII- REPONSABLE COMPTABLE ET FINANCIER
PRINCIPALES RESPONSABILITES :
- Supervision (superviser l’équipe comptable et fixer leur objectif) ;
- Tenue de la comptabilité ;
- Elaboration des budgets et suivi budgétaires ;
- Rapportage ;
- Préparation des audits ;
- Suivi de la trésorerie ;
- Gestion administrative (inventaire des actifs de la société participation aux processus d’achat, calcul et paiement des cotisations fiscales et sociale…).
QUALIFICATIONS REQUISES ET CONDITIONS D’EMPLOI :
- BAC + 4 en finance comptable ou tout autre diplôme supérieur ;
- Minimum quatre (04) ans d’expérience professionnelle dans le domaine ;
- Très de bonne maitrise de Microsoft (Word, Excel,..)
- La connaissance de l’anglais sera un atout.
VIII-ASSISTANT COMPTABLE
PRINCIPALES RESPONSABILITES :
- Imputation de pièces comptables ;
- Calcul journalier de la TVA, TSUP ; TMAP et de chiffre d’affaire à partir des fiches de vente journalières ;
- Enregistrement aux impôts des déclarations fiscales et sociales ;
- Traitement des salaires ;
- Elaboration des rapprochements bancaires pour chaque compte bancaire à la fin de chaque mois ;
- Saisie des écritures dans le logiciel ;
- Et toute autre tâche administrative et comptable.
QUALIFICATIONS REQUISES ET CONDITIONS D’EMPLOI :
- BAC +3 en finance comptabilité ou tout autre diplôme supérieur ;
- Minimum trois (03) ans d’expériences professionnelles dans le domaine ;
- très de bonne maitrise de Microsoft (Word, Excel,..) ;
- la connaissance de l’anglais sera un atout.
Côte d'Ivoire: Gbagbo déclaré "président" de son pa...
Written by AdministratorL'ex-chef de l'Etat ivoirien Laurent Gbagbo, détenu par la Cour pénale internationale, a été déclaré jeudi "président" de son parti par un millier de militants, une démarche jugée sans "aucune valeur" par la direction de cette formation en pleine crise.
Ces partisans se sont retrouvés à Mama, village natal de M. Gbagbo dans l'ouest du pays, pour une cérémonie d'"investiture" de leur champion à la tête du Front populaire ivoirien (FPI). C'est le dernier épisode en date de la crise qui déchire la principale formation d'opposition.
"Camarades, vous venez d'investir Laurent Gbagbo comme président du Front populaire ivoirien", a lancé Sébastien Dano Djédjé, un proche de l'ex-chef de l'Etat, depuis le préau de sa maison, pillée durant la crise postélectorale de 2010-2011.
Les militants présents, dont la plupart portaient un T-shirt à l'effigie de M. Gbagbo faisant le "V" de la victoire, ont alors hurlé de joie, a constaté l'AFP.
Dans une déclaration écrite transmise à l'AFP, les partisans de M. Gbagbo ont annoncé leur "refus de participer à la présidentielle" d'octobre, exigeant notamment "la libération du président Gbagbo, le candidat naturel du FPI", pour revenir sur leur décision.
Le président du parti, Pascal Affi N'Guessan, confronté depuis des mois aux "frondeurs" pro-Gbagbo au sein du FPI, avait à l'inverse affirmé samedi que le parti serait présent à ce scrutin clé pour la stabilisation du pays.
Jeudi, il a jugé que les déclarations du camp rival n'avaient "aucune valeur". "Les autorités du parti n'ont convoqué aucun congrès à Mama", a-t-il expliqué depuis Brobo (centre), où il tenait meeting.
"Je suis affligé de constater que ces camarades s'enferment dans des attitudes puériles", qui ne "font pas avancer la lutte ni pour la libération de Laurent Gbagbo, ni pour la reconstruction de la Côte d'Ivoire", a-t-il poursuivi, interrogé par l'AFP.
Le FPI est plus que jamais divisé entre deux camps.
Le premier, derrière Pascal Affi N'Guessan, veut aligner un candidat au scrutin d'octobre face au président Alassane Ouattara. Mais le camp rival refuse un tel scénario et fait de la libération de M. Gbagbo "le coeur de la stratégie de lutte du parti".
"Affi n'existe plus. C'est du passé. Laurent Gbagbo a été élu président du FPI. Pour nous, c'est une victoire et tout un programme", a lancé Hubert Oulaye, un cadre pro-Gbagbo, depuis Mama.
Les deux camps qui s'affrontent au sein du FPI se sont opposés à plusieurs reprises devant la justice ivoirienne. Elle a notamment prononcé fin 2014 l'irrecevabilité de la candidature de M. Gbagbo à la tête du parti. Ses partisans avaient fait appel, la décision est attendue le 5 juin.
L'ancien chef de l'Etat est écroué depuis fin 2011 à La Haye, où il doit être jugé par la Cour pénale internationale (CPI) pour des "crimes contre l'humanité" présumés commis lors de la crise postélectorale de 2010-2011.
Née du refus de M. Gbagbo de reconnaître la victoire de M. Ouattara à la présidentielle de novembre 2010, la crise a fait plus de 3.000 morts.
Le meeting de Mama s'est passé dans le calme. Mais, avant cet événement, des échauffourées avaient eu lieu mercredi soir et jeudi matin entre sympathisants et forces de l'ordre, qui ont lancé des gaz lacrymogènes et effectué des tirs de sommation, selon plusieurs témoins présents.
"La tension était vive ce matin. Il y a eu quelques affrontements", a confirmé un gendarme, requérant l'anonymat. "On n'a pas fait de prisonniers. Il n'y a pas de blessés", a-t-il assuré.
"Ici, c'est Gbagbo ou rien. Gbagbo, c'est notre choix et notre espoir", a lancé un jeune, le visage badigeonné de peinture noire, un foulard rouge sur la tête.
Burundi: 500 étudiants chassés du campus demandent "protection&...
Written by AdministratorPlus de 500 étudiants burundais, chassés jeudi matin des résidences universitaires fermées par les autorités, campaient en début de soirée devant l'ambassade des Etats-Unis à Bujumbura, où ils sont venus demander "protection", a constaté un journaliste de l'AFP.
Les premiers étudiants sont arrivés dans la matinée devant les grilles de l'ambassade, dans le quartier de Kigobe, peu après avoir quitté leurs chambres universitaires sur ordre des autorités qui ont ordonné l'évacuation des résidences des campus "pour raison de sécurité".
"Comme le gouvernement nous a chassé des résidences universitaires en disant que c'est à cause de l'insécurité qui règne à Bujumbura et dans le pays (...), nous sommes venus ici pour demander la protection de l'ambassade des USA", a annoncé à l'AFP Ernest Niyungeko, un des représentants estudiantins.
"Nous allons rester ici jusqu'à ce que la sécurité revienne dans ce pays", a-t-il poursuivi, "nous allons rester ici devant l'ambassade car ici au moins on ne nous tire pas dessus, on ne nous lance pas des lacrymogènes", a expliqué le représentant des étudiants,
Selon de nombreux étudiants, la décision des autorités vise à les contraindre à rentrer dans leurs provinces d'origine, car le pouvoir les soupçonne de prendre part à l'actuelle contestation contre un éventuel troisième mandat du président Pierre Nkurunziza, marquée par des heurts depuis dimanche entre manifestants et policiers dans plusieurs quartiers de la capitale.
La police a réussi depuis dimanche à empêcher les protestataires de converger vers le centre de la capitale burundaise, mais peine à éteindre la colère et à faire cesser manifestations, barricades et heurts avec la police.
"L'ambassade nous a demandé de lui adresser une lettre pour expliquer ce que nous voulons et la liste des étudiants présents". Ces étudiants, jeunes hommes et femmes, étaient pour certains debout, d'autres assis à quelques mètres des murs d'enceinte de l'ambassade ultra-moderne et ultra-sécurisée des Etats-Unis à Bujumbura.
"On nous a chassé et nous n'avons pas où aller car il y a aussi de l'insécurité à l'intérieur du pays d'où la plupart d'entre nous proviennent, car les Imbonerakure menacent les étudiants", a expliqué Dick Étienne, un étudiant de la Faculté des Sciences appliquées originaire de Bururi, dans le sud du pays.
Les Imbonerakure sont les membres de la Ligue de jeunesse du parti au pouvoir. Le groupe, qualifié de "milice" par l'ONU, est accusé de multiplier les intimidations et exactions contre tous ceux qui s'opposent au pouvoir en place.
Les Imbonerakure "nous accusent d'être d'être les premiers opposants de ce régime et nous n'avons pas où aller", a-t-il insisté, "ces Imbonerakure font la loi dans les campagnes".
Le Bénin dope sa connexion internet grâce à un câble sous-marin
Written by AdministratorC'est le second câble sous-marin qui reliera le pays au réseau mondial. Une source d'espoir pour des internautes habitués à une connexion lente.
La bonne nouvelle est arrivée début avril au Bénin. "Dans la matinée du 1er avril 2015, le câble sous marin Africa Coast to Europe a atteint les côtes du Bénin. Ce câble sous-marin du système ACE, qui relie l’Europe à la partie ouest du continent africain, a été raccordé à la chambre de plage, construite à cet effet dans la zone de Fidjrossé, un quartier de la ville de Cotonou, la capitale économique du Bénin", relate le site d'informations Bénin On Web.
Ce projet de 35 Millions de dollars, financé par l’Agence Internationale pour le Développement de la Banque Mondiale, a permis au Bénin de se doter d’un seconde infrastructure de câbles sous marins après celle installée en 2002. Ce qui devrait permettre aux internautes béninois d'obtenir une meilleur connexion internet. Pas un luxe.
Selon le site Rue89, qui consacre un article sur la question, le Bénin se classait avant-dernier pour la vitesse d’Internet sur le continent africain, juste devant la République démocratique du Congo, bonne dernière.
Soudan: un mort dans des violences entre étudiants
Written by AdministratorUn homme a été tué mercredi lors d'affrontements entre étudiants dans une université de Khartoum, a indiqué le ministère de l'Intérieur.
Une dispute a éclaté entre des étudiants favorables au parti du Congrès national du président Omar el-Béchir, et un groupe d'étudiants du Darfour qui critiquaient l'élection d'avril remportée par M. Béchir, selon des témoins.
"Après une dispute entre deux groupes d'étudiants de l'université de Sharq al-Nil, un des groupes a attaqué l'autre sur le campus", a indiqué le ministère de l'Intérieur dans un communiqué.
Les violences ont fait plusieurs blessés et l'un d'eux, Mohammed Awad, "a été transféré à l'hôpital, où il est décédé", selon le texte.
Un témoin a indiqué à l'AFP que les étudiants de la région du Darfour critiquaient les élections d'avril quand des étudiants sympathisants du PCN les ont attaqués.
M. Béchir, au pouvoir au Soudan depuis un quart de siècle après un coup d'Etat orchestré en 1989, a été réélu président lundi avec plus de 94% des voix, au terme d'un scrutin qui a fait l'objet de critiques au plan international.
Le Soudan est miné par des conflits armés au Darfour et dans les provinces du Kordofan-sud et du Nil-Bleu, où des rebelles, dont ceux du SPLM-N, s'estiment marginalisés par la domination arabe et défient les autorités fédérales.
Le président Béchir est réclamé par la Cour pénale internationale pour génocide au Darfour.
Burundi: les autorités ferment les résidences universitaires de Buju...
Written by AdministratorLes autorités burundaises ont fermé jeudi les résidences universitaires de Bujumbura, officiellement pour des problèmes de sécurité mais en fait, selon les étudiants, pour tenter d'arrêter les manifestations contre un troisième mandat du président Pierre Nkurunziza, ont constaté des journalistes de l'AFP.
Les cours ne sont pas interrompus, mais la fermeture des résidences, décidée mercredi sur ordonnance du gouvernement, affecte des milliers d'étudiants qui viennent souvent de province.
Des journalistes de l'AFP ont vu des dizaines d'entre eux évacuer un campus, celui de Kiriri, jeudi matin, valise à la main.
"La décision est injuste", a estimé Léopold, 29 ans et étudiant en génie civil. "Ce serait officiellement lié à l'insécurité qui règne dans les zones universitaires, mais s'il y avait de l'insécurité, nous serions les premiers à le constater. Or la sécurité est totale".
"Ils espèrent que cette mesure permettra d'arrêter les manifestations", a-t-il poursuivi, ajoutant que les autorités accusaient des étudiants "membres de l'opposition" d'être "logés sur les campus".
Des étudiants ont toutefois confirmé avoir entendu des tirs dans les environs au cours de la nuit. Kiriri est un quartier huppé de la capitale, où vivent de nombreux expatriés et une population burundaise aisée.
Mercredi déjà, des étudiants avaient dénoncé la fermeture des restaurants universitaires, destinée selon eux à faire rentrer dans les provinces les étudiants participant aux manifestations.
Interrogé jeudi par l'AFP, le recteur de l'Université du Burundi, Gaspard Banyankibona, a assuré que "les étudiants pourraient revenir quand la sécurité sera rétablie".
Les manifestations ont débuté dimanche à l'appel de la société civile et d'une partie de l'opposition, au lendemain de la désignation de Pierre Nkurunziza par son parti (Cndd-FDD) comme candidat à la présidentielle du 26 juin.
Les rassemblements, jusqu'ici restreints aux quartiers périphériques de la capitale, ont été émaillés de heurts parfois violents avec la police.
Jeudi matin encore, des incidents ont été signalés par des témoins dans plusieurs quartiers de Bujumbura.
Les opposants à un troisième mandat de Pierre Nkurunziza, élu une première fois par le Parlement en 2005 et réélu au suffrage universel en 2010, estiment qu'il serait inconstitutionnel.
La Loi fondamentale du Burundi limite à deux le nombre de mandats présidentiels.
Mais le camp Nkurunziza assure que le premier mandat de son champion, en tant que premier président post-transition élu au suffrage indirect, ne doit pas être pris en compte dans le calcul.
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« Intox » médiatique et manipulations frauduleuses de grande enve...
Written by Administrator
ANALYSE de CVU-TOGO-DIASPORA du 29 avril 2015
ELECTIONS PRESIDENTIELLES DU 25 AVRIL 2015 :
Le Président de la Commission Electorale Nationale Indépendante « Ceni », Taffa Issifou TABIOU, a ouvert le 28 avril 2015 la boite de pandore de la contestation post-électorale des résultats de l’élection présidentielle 2015. En décidant de publier les résultats définitifs proclamant la victoire de Faure Gnassingbé en inversant carrément les résultats, de manière unilatérale, en catimini, sans informer les membres de la Ceni, et surtout, alors qu’une très faible part des procès-verbaux de bureaux avait été vérifiée, Taffa Tabiou a délibérément pris le risque de provoquer la suspicion dans l’opinion publique et ouvert la voie à de possibles troubles post-électoraux !
"L'héritage empoisonné" de la France en République c...
Written by AdministratorUn rapport de l'ONU révélé mercredi 29 avril accuse des soldats français de viols sur enfants Mais le parquet de Paris avait déjà ouvert en juillet une enquête préliminaire sur la question.
Mercredi 29 avril, le journal britannique The Guardian a publié des révélations autour d'un rapport confidentiel de l'ONU qui accuse des soldats français d'avoir violés des jeunes garçons dans un centre de réfugiés de Bangui, la capitale de la République centrafricaine.
Et selon une annonce faite par le ministère de la Justice, le parquet de Paris avait déjà ouvert en juillet une enquête préliminaire sur des abus sexuels imputés à des soldats français en Centrafrique.
"La mission de l'ancienne puissance coloniale était de protéger des populations déplacées par des conflits ethniques en Centrafrique, et maintenant les troupes françaises sont accusées d'abus sur des enfants", écrit The Guardian dans un article intitulé "l'héritage empoisonné de la France en République centrafricaine."
Selon le journal britannique, cet "héritage empoisonné" laissé à l'indépendance du pays s'expliquent en plusieurs points. D'abord, avec l'arrivée au pouvoir de Jean-Bedel Bokassa, élu président en 1966, avant de s'auto-proclamer empereur sous le nom de Bokassa Ier par la suite. Une dégénérescence à la tête de l'Etat qui s'explique par des "infrastructures et institutions à peine fonctionnelles" laissées par les Français, selon The Guardian. Pour le reste, les ressources en or, diamants et uranium ont apporté plus de malheur que de bien à un pays où les seigneurs de guerre, dont Joseph Kony, le leader de la LRA, ont longtemps montré patte blanche.
La dernière débâcle a eu lieu en mars 2013 quand le président François Bozizé, noyé dans la corruption, s'est enfui par hélicoptère de Bangui lors de l'irruption dans la ville des milices rebelles et majoritairement musulmanes de la Séléka. Une situation de crise qui a poussé l'armée française à intervenir.