« Visages d’Afrique »: Togo: 3ème mandat Faure Gnassingbé, une ...
Written by Bill Emile DavolkAprès l’investiture en grande pompe du président Faure Gnassingbé et l’annonce surprise de la date du dépôt de candidature l’élection présidentielle de 2015 au Togo est dans son dernier virage et les Togolais peuvent à présent définitivement dire adieu aux reformes constitutionnelles et institutionnelles.
Togo : La FTBC et la FESYTRAT solidaires avec la STT -
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Jeudi, les responsables de la Fédération des travailleurs du bois et de la construction (FTBC) et de la Fédération syndicale des travailleurs des transports du Togo (FESYTRAT) ont tenu à faire savoir à l’opinion nationale et internationale, que les deux fédérations soutiennent « fermement » la Synergie des Travailleurs du Togo (STT) dans ses revendications.
« Nous venons d’apporter notre soutien indéfectible à la lutte que mènent nos amis de la Synergie des Travailleurs du Togo (STT) parce qu’il faut reconnaître qu’aujourd’hui, dans tous les secteurs, il y a de l’effervescence et les travailleurs manifestent leur mécontentement quant à ce qui concerne leurs conditions de vie et de travail qui se dégradent tous les jours », ont déclaré les responsables au cours d’une conférence de presse tenue à Lomé.
Les deux fédérations se sont engagées à définir une stratégie de soutien à leurs « camarades » de la STT.
Le Secrétaire général de la FESYTRAT, Emmanuel Agbénou, s’en est pris au gouvernement, à qui il reproche de faire du surplace depuis que la Synergie des Travailleurs du Togo (STT) réclame l’amélioration des conditions de vie et de travail des agents publics. Aussi a-t-il émis le vœu que le gouvernement se ressaisisse en accédant aux revendications des travailleurs, afin que le climat social soit apaisé.
Le 20 février dernier, le gouvernement et les responsables des sept centrales syndicales ont convenu d’un accord. La Coordination des centrales syndicales (CCST) composée de six centrales s’est dit « satisfaite » et a levé son mot d’ordre de grève.
Quant à la base de la STT, elle a rejeté l’accord et compte manifester son désaccord la semaine prochaine à travers deux sit-in sur les lieux de travail et trois jours de grève.
Source: www.kusasanews.com
TOGO: POURQUOI IGNORER LES ELECTIONS DU 15 AVRIL 2015 ?
Written by Initiative Diaspora 2015Parce que, y prendre part, c’est promouvoir la pérennisation de l’arbitraire !
L’arbitraire vient une fois de plus de se commettre : cela s’est traduit dans la confusion des genres en concordant dans le temps et l’espèce la tenue de la convention d’investiture du parti UNIR avec celle du Conseil des ministres qui, précisément, devait arrêter la date des prochaines élections. Faure et ses ouailles viennent de démontrer une fois de plus qu’ils n’ont d’égards ni au Peuple, ni aux textes, ni à leurs adversaires politiques.
Senegal: Abdoulaye Wade a touché le fond! : "Macky Sall est un d...
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Depuis le début de l'année 2015, on dirait qu'Abdoulaye Wade n'a plus toute sa tête, notamment avec l'affaire Karim Wade. Ses dernières sorties médiatiques contre l'actuel président Macky Sall, ont choqué plus d'un, même dans son propre camp.
Le lion du PDS en rage
Depuis quelque temps, l'ancien président sénégalais vieillissant Abdoulaye Wade (88 ans) ne cesse de multiplier ses attaques contre l'actuel président Macky Sall. Wade n'arrive pas à digérer la situation dans laquelle se trouve son fils Karim, accusé d'enrichissement illicite dont le verdict devrait tomber le mois prochain. Il accuse Macky Sall de vouloir à tout prix emprisonner Karim Wade.
Entre sa volonté de rejoindre son fils en prison et ses appels envers ses anciens homologues, Wade a trouvé le temps mardi dernier pour tenir une nouvelle conférence de presse. Ainsi, devant micros et caméras, le vieux Wade, comme aime l'appeler à Dakar, s'est une fois encore déchainé contre M. Sall. Dans une allocution à l'emporte-pièce dont lui seul connaît les rouages, Abdoulaye Wade a traité Macky Sall de "descendant d'esclaves". Ses parents seraient des "anthropophages" qui selon Wade "mangeaient les bébés".
Ces mots et phrases ont rapidement fait le tour des journaux et des réseaux sociaux, non sans être condamnés par-ci par-là, jusque même dans les rangs du PDS, le parti de Wade.
Wade a violé la tradition républicaine
Dès le lendemain de sa conférence de presse, le désaveu a été unanime. D'abord, c'est l'ancienne Première ministre Mimi Touré qui a noté que l'ancien président "a tourné le dos à la tradition républicaine dignement incarnée par les présidents Senghor et Diouf, qui ont porté leur statut d'anciens chefs d’État avec élégance et retenue".
Wade aurait ainsi, dépasser "la ligne rouge de la faillite morale", selon la coalition présidentielle BBY. L'artiste international et ancien ministre Youssou Ndour a pour sa part estimé que l'ancien président fait preuve d'une "mégalomanie devenue dangereuse". D'autres acteurs de la vie politique et sociale du pays n'ont pas été plus tendres avec l'ancien premier Sénégalais.
Même si la ligue des droits de l'homme comprend les "frustrations et ressentiments d'un père dans le contexte de poursuites judiciaires" contre son fils Karim Wade, elle n'accepte pas "la négation des valeurs d'humanité inaliénables" dont a fait preuve Me Wade. Cette négation "heurte la morale et les limites de la critique en démocratie" selon la ligue des droits de l'homme.
Même ses alliés se désolidarisent
Souleymane Ndéné Ndiaye, ancien Premier ministre "regrette les propos tenus" par Wade, tandis que l'un des avocats de Karim manifeste sa "désapprobation". Me Demba Ciré Bathily s'est alors adressé à l'ancien président en ces termes: "Monsieur le président, (...) vous ne pouvez parler ainsi de votre successeur à la tête du pays, quelle que soit la nature du litige qui vous oppose".
Pour un député membre du PDS, "Wade ferme la porte à tout compromis car Macky Sall ne peut plus envisager de s'asseoir avec lui. Dans notre culture, traiter quelqu'un de sorcier ou d'anthropophage, c'est très grave".
Jusque-là, le chef de l’État Macky Sall n'a pas encore répondu à son prédécesseur qui visiblement fait tout pour être convoqué par la justice pour "offense au chef de l’État".
Selon d'autres Sénégalais, Wade aurait touché le fond, mais continue de gratter.
Révélations fracassantes de Me Abdoulaye Wade : "Macky Sall est un descendant d'esclaves... ses parents mangeaient de la chair humaine"
Lome, Togo:Les zèles d’un ministre impoli de la République
Written by AdministratorAmnesty international : Un nouveau rapport accablant pour le Togo
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Togo - Amnesty international vient de publier un nouveau rapport qui porte sur la période 2013-2014. Un rapport qui fait observer, entre autres, les allégations de torture, l’usage excessif de la force par les forces de l’ordre, et aussi les mauvaises conditions de détention carcérales, le tout dans un environnement d’impunité assuré par le gouvernement
Selon Aimé Addi, le directeur exécutif de l’organisation internationale de défense des droits de l’homme au Togo, la situation des droits de l’homme dans notre pays a été une nouvelle fois préoccupante, sur la période 2013-2014. Il pointe principalement du doigt la question d’allégation de torture dont ont été victimes plusieurs personnes, surtout dans l’affaire des incendies des marchés.
« Nous pensons que l’Etat devrait engager des enquêtes très rapidement pour éclaircir l’opinion, mais ceci n’a pas été fait. Nous notons aussi des morts en détention. À titre d’exemple, l’affaire Étienne Yakanou », a t-il déploré, avant de relever le recours excessif à la force notamment dans l’affaire du trafic du carburant à Aného, avec la mort de Ayovi Koumako touché par balle lors de la descente musclée des forces de l’ordre dans la localité, appuyés par les militaires.
Autre préoccupations d’Amnesty international sur la période 2013-2014 dans notre pays, la question de la liberté d’expression avec la détention d’Olivier Poko Amah, président de l’Association des victimes de la torture au Togo (Asvitto) qui a indiqué à l’ONG, des menaces de mort. Libéré entre-temps, il a dû fuir le pays pour avoir la vie sauve. Le cas des personnes encore détenues dans l’affaire de tentative de coup d’Etat intéresse également Aimé Addi et son organisation.
« Nous notons que la question des recommandations de la Commission des droits de l’homme sur cette affaire n’est pas encore liquidée. On est très loin de l’application de ces recommandations. Tout au moins, nous sommes inquiets de la manière dont le gouvernement les traite », a indiqué le directeur exécutif de l’ONG britannique de défense des droits de l’homme au Togo.
Alioune Tine, son représentant régional en Afrique du centre et de l’ouest, a aussi insisté sur le cas du Togo, dans une interview qu’il a accordé ce mercredi à nos confrères de Rfi, Radio France internationale. La réaction du gouvernement face à ce nouveau rapport accablant est attendue.
Kusasanews.com
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Togo: L'élection présidentielle aura lieu le 15 avril
Written by Bill Emile DavolkL’élection présidentielle se tiendra le 15 avril au Togo, a décidé le gouvernement lors du conseil des ministres mardi à Pya (environ 440 km au nord de Lomé), selon un communiqué transmis par le gouvernement à l’AFP.