Ali Bongo fait augmentation... Au Togo...................
Written by AdministratorVisages d'Afrique: Togo: Présidentielles 2015: le compte à rebo...
Written by Bill Emile DavolkAlors que le régime RPT-UNIR a promis 600 millions CFA aux candidats en course pour le fauteuil presidentiel, le CAP2015 sollicite 135 millions pour "sécuriser la victoire" de Jean Pierre Fabre et le NET demande "seulement" 100 millions pour le triomphe de Gerry Taama. tout comme ADDI pour le compte du candidat Aimé Gogué .Avez-vous déjà cotisé dans le cadre de ces élections presidentielles? Comptez-vous soutenir financièrement un candidat?
TOGO : La belle leçon de démocratie de Macky Sall à Faure Gnassingb...
Written by AdministratorSanté: Les Tampax, arme chimique mortelle
Written by Dr. Mehenou AmouzouLes Tampax représentent un marché colossal et leur secret de fabrication est farouchement conservé par Procter & Gamble, le fabriquant de la marque Tampax, leader mondial du marché, (ainsi que des lessives et détergents…). Or, qui sait que ces cartouches si absorbantes et si pratiques sont imbibées… de dioxines – cette substance hautement cancérogène?
Lome, Togo :DECLARATION LIMINAIRE DE LA CONFERENCE DE PRESSE DES ABLOD...
Written by AdministratorLomé, le 13 mars 2015
Préambule
La situation du pouvoir politique, économique, social et morale au Togo deux mois après le 52-ème anniversaire du « parricide du Père de l’Indépendance Togolaise », au bout de 48 interminables années du « régime héréditaire » togolais qui a été plus long, plus opprimant et moins porteur de progrès que toute la tutelle coloniale française sur le « Pays de nos aïeux », est très malsaine et doit impérativement être assaini sans plus aucune tergiversation.
Maroc: Avortement: le roi veut des propositions d’ici un mois
Written by AdministratorMohammed VI a rencontré ce 16 mars les ministres de la Justice et des Habous, mais aussi le président du CNDH: il leur a donné un mois pour lui faire des propositions de réforme de la loi sur l’avortement.
Selon un communiqué du cabinet royal relayé par la MAP, Mohammed VI a reçu ce lundi 16 mars au palais royal de Casablanca le ministre de la Justice et des libertés Mustapha Ramid et le ministre des Habous et des affaires islamiques, Ahmed Toufiq. Il a ensuite reçu Driss El Yazami, président du Conseil national des droits de l’Homme (CNDH).
Tenir compte de «l’Ijtihad» et de «l’évolution de la société marocaine »
Le souverain a cependant évoqué le même sujet avec les trois hommes : « la problématique de l’avortement clandestin ». Une problématique qui a été abordée, selon le communiqué, « dans le cadre du respect des préceptes de la religion islamique », mais aussi de la prise en tenant compte « des vertus de l’Ijtihad et de l’accompagnement de l’évolution que connaît la société marocaine et de ses aspirations, tout en respectant son unité, sa cohésion et ses spécificités ».
Des propositions dans un délai maximum d’un mois
Enfin, le communiqué indique que Mohammed VI a demandé aux deux ministres et au président du CNDH de « se pencher sur l’examen de cette question, devenue une affaire médicale par excellence », et de mener « des rencontres et des consultations élargies avec tous les acteurs concernés afin de recueillir leurs différents avis ». Ils doivent aussi « coopérer avec avec le Conseil Supérieur des Oulémas » et finalement lui « soumettre des propositions […] dans un délai maximum d’un mois».
Après des années de tergiversations, la révision des articles 449 à 504 du Code pénal, qui sanctionnent lourdement la pratique de l’avortement (sauf si la vie de la mère est en danger), semble donc pour cette année. C’est déjà ce qu’avait laissé entendre le ministre de la Santé la semaine dernière à Telquel.ma. « Bien sûr, la question ne dépend pas que de moi. Le ministère de la Justice est impliqué, puisqu’il s’agit du Code pénal. [..] Mais la réforme est engagée, elle devrait donc voir le jour cette année » avait déclaré Houcine El Ouardi. Et ajouter « Il est évident que c’est une des priorités du ministère ».
Le plan du ministère de la Santé
Les déclarations de Houcine El Ouardi faisaient suite à la rencontre nationale sur le thème « L’avortement : Encadrement législatif et exigences de sécurité sanitaire », organisée mercredi 11 mars à Rabat. Le ministre y avait qualifié de « restrictive, sévère et inéquitable » la législation actuelle qui engendrait « de nombreux avortements clandestins aux conséquences sanitaires graves », avant d’annoncer que son ministère travaillait sur un plan d’action en trois volets pour lutter contre les avortements clandestins. En commençant par libéraliser l’avortement en cas de viol, inceste, malformation fœtale grave ou maladie mentale de la mère.
Consultés par Telquel.ma quelques jours auparavant, plusieurs partis de la majorité (PJD) ou de l’opposition (PAM, USFP) se sont déclarés en faveur d’une libéralisation partielle de l’avortement, ou du moins pour un débat sur la question.
Une polémique salutaire?
Rappelons que c’est la polémique soulevée par la mise à l’écart du médecin et fondateur de l’Association marocaine contre l’avortement clandestin (Amlac) qui a remis le débat au premier plan. En février dernier le Pr Chafik Chraïbi a été démis de ses fonctions de chef de service de la maternité des Orangers de Rabat, après le tournage d’un reportage sur l’avortement diffusé sur la chaîne France 2.
Selon l’Amlac, entre 600 et 800 avortements clandestins sont pratiqués chaque jour, et l’avortement « kamikaze » serait l’une des principales causes de mortalité maternelle. Car si les plus chanceuses (et les plus aisées) vont en clinique privée ou dans un cabinet médical, les autres se font souvent avoir par les pires charlatans, et finissent aux urgences.
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Gabon: la grève générale des fonctionnaires reconduite
Written by AdministratorLa grève générale des fonctionnaires gabonais a été reconduite lundi, a annoncé la coalition syndicale Dynamique unitaire lors d'une assemblée générale à Libreville.
A l'appel d'une vingtaine de syndicats de la fonction publique, notamment de l'éducation nationale et de la santé, les fonctionnaires sont entrés en grève début février pour réclamer des revalorisations salariales.
Lundi, des centaines de personnes se sont retrouvées dans la cour bondée de l'école publique Martine Oulabou, où les fonctionnaires ont entamé l'hymne national malgré une pluie battante.
"Nous sommes là pour mobiliser les troupes, la grève continue. Tant que le gouvernement n'accède pas à nos revendications, nous campons sur nos positions", a affirmé à l'AFP Simon Ndong Edzo, délégué général d'un des principaux syndicats d'enseignants, la Conasysed.
"Cette fois-ci ils (le gouvernement) ne nous auront pas! Ce qu'on veut c'est l'augmentation des salaires et on tiendra le temps qu'il faudra", a affirmé Rosalie Nze, professeur au lycée technique d'Owendo.
"La vie est tellement chère ici! Quand le prix des denrées augmente, notre salaire ne suit pas: en deux ans, j'ai eu 10.000 francs CFA (15 euros) d'augmentation", s'est agacée la quinquagénaire.
Etablissements secondaires et supérieurs sont quasiment à l'arrêt depuis plus d'un mois, faisant planer la menace d'une année blanche pour les élèves gabonais.
Dans plusieurs hôpitaux, un service minimum a été mis en place, tandis que de nombreuses administrations, comme le ministère des Travaux publics (TP), tournent au ralenti.
"Aux TP, 70% du personnel sont des salariés non permanents qui n'ont droit à rien, alors qu'ils travaillent là depuis 4 ans, 5 ans, parfois plus", a déclaré le secrétaire général du syndicat de la Force ouvrière des travaux publics, Jean-Florent Lewanda.
Les fonctionnaires réclament notamment le relèvement du point d'indice salarial et l'augmentation du SMIC (salaire minimum) de 80.000 francs CFA (121 euros) à 300.000 francs CFA (454 euros).
Mais après des négociations houleuses, le gouvernement a rejeté ces deux derniers points, affirmant que de telles dépenses seraient "insoutenables pour le bon fonctionnement de l'Etat" et les renvoyant à l'arbitrage du président Ali Bongo Ondimba.
La semaine dernière, le président Bongo a appelé à la reprise des cours, affirmant avoir accédé aux principales revendications des enseignants - notamment le versement d'une prime d'incitation à la performance promise depuis des mois par le gouvernement et l'instauration d'un "nouveau système de rémunération" aux contours encore flous.
En cas de non-reprise du travail, il a demandé au gouvernement de ne pas payer les jours de grève.
RDC: arrestation des leaders de Y’en a marre et du Balai citoyen
Written by Bill Emile DavolkEn RDC, les leaders des mouvements burkinabè Balai citoyen et sénégalais Y’en a marre ont été arrêtés ce dimanche après-midi dans la périphérie de Kinshasa. Ils participaient à un atelier organisé par le mouvement citoyen congolais Filimbi. La présence de ces deux leaders ne serait pas du goût des autorités congolaises.