Zoom News (388)
Lorsque l’ignorant est doublé d’un arrogant, il cree un desastre.
Donald Trump, on n'en a jamais vu de plus minable que ce candidat.
Personne n’a besoin de posséder les facultés prophétiques de Michel de Notre Dame pour affirmer que Donald Trump ne peut pas acceder au bureau ovale. Pour lui, la Maison Blanche, c'est perdu!. De memoire d’homme, ce candidat est le plus limité des postulants a la magistrature supreme americaine. L’homme parait mentalement malade. Il suffit de bien l’observer. L’on decouvre des signes évidents de ce qu’on appelle une hallucination aggravée. C’est-à-dire une triple hydropisie du cerveau, de la mémoire et de l’intelligence, un état qui l’empêche de différencier la nuit du jour. C’est une maladie. Mais Trump ignore tout sur son etat. D’ou ses propos qui choquent l'Amerique et le monde a tout bout de champ, des ecarts de langage drapés dans le vocabulaire tres pauvre qu'il nous sert. Cette tare le predispose a ne proferer que des horreurs et des betises telles que “recoloniser l’Afrique pour cent ans”, “construire une version americaine du mur de Berlin”, “déporter Barack Obama vers son Kenya d’origine”.
Le névrosé newyorkais va jusqu'a prendre Obama, un president encore populaire (plus de 50% d’opinions positives) pour le fondateur de ISIS. Son ignorance le pousse a accuser de fraude un president encore en fonction, deniant la citoyennete americaine a un homme pourtant majoritairement reconnu comme gorgé de vertus et de probite morale rare.
A-t-on affaire à un individu hybride, un prestidigitateur qui a perdu tous ses repères identitaires ? Possiblement ! Dieu nous garde, les Américains, dans leur plus grande majorite, ne sont pas laids d’esprit et de corps comme Trump. Un candidat qui (on a fini par s'en rendre compte) est arrive a ce niveau de la course par un pur accident et qui – la nature fait bien les choses – est en train de dégringoler lourdement dans les opinions.
Vivement la fin de cette campagne cauchemardeuse pour que ce candidat defectueux, vile et vulgaire cesse de s’introduire dans nos salons, chaque jour et a longueur de journees, par television interposee.
Algérie: Dès janvier 2017 l’Etat se charge du rapatriement des Alg...
Written by ERIC K. ALOVORLa diaspora algérienne peut se réjouir de la nouvelle décision du gouvernement. L’attente a duré mais à fini par payer. La prise en charge des frais de transfert des dépouilles de ressortissants algériens établis à l’étranger par l'Etat sera bientôt une réalité.
Une doléance chère à la diaspora algérienne est désormais entendue des autorités de leur pays. Aujourd’hui, c’est un ouf de soulagement que les algériens de l’étranger. La prise en charge des frais de transfert des dépouilles de ressortissants algériens établis à l’étranger par le Etat sera bientôt une réalité.
La mise en œuvre de cette doléance est annoncée dès janvier 2017.
Et pour manifester leur joie, la Diaspora des Algériens Résidant à l’Etranger (DARE) dans un communiqué se félicite de l’annonce. La DARE fait savoir qu’elle "attendait depuis longtemps cette annonce, ce depuis 2008".
"Nous remercions le président de la république algérienne, Abdelaziz Bouteflika, pour avoir respecté son engagement électoral", peut-on lire dans le communiqué.
Bénin: Plus des frais de visas aux Africains au Benin
Written by ApanewsLe gouvernement béninois a approuvé mercredi la décision visant la suppression des frais de visas d’entrée et de séjour au Bénin au profit des ressortissants des pays africains, a appris APA de source gouvernementale.
Les modalités d’obtention de visas, la nature du passeport, de même que la durée du séjour ont été définies ce mercredi, a indiqué Pascal Koupaki, ministre d’Etat, Secrétaire à la Présidence de la République qui précise par ailleurs qu’il y aura « délivrance de visa en ligne au profit des étrangers non africains ».
Selon les autorités béninoises, cette décision qui appelle en conséquence la révision de la loi portant régime des étrangers dans le pays, vise à faciliter l’intégration africaine et améliorer le taux de fréquentation du Bénin.
Le président béninois, Patrice Talon, en visite d’Etat au Rwanda en fin août dernier, avait annoncé son intention de supprimer le visa pour tous les ressortissants africains désireux d’entrer ou de séjourner sur le territoire béninois.
Auteur: Apanews - Apanews
Afrique: Elle a été expulsée de son village car sa forme divisait l...
Written by ERIC K. ALOVOR
Etre belle, bien taillée et légère ne font pas bon ménage chez une femme, car parfois tout ce qui brille n’est pas de l’or. Mais les hommes préfèrent toujours ce qui brille à leurs yeux, au point de tout miser pour leur satisfaction.
En séjour dans son village, une jeune fille a été le centre de discorde des hommes qui jusque là vivaient en parfaite harmonie. Un village connu pour sa tranquillité est soudain devenu le centre de tous les conflits entre ces fils qui ont transformé les rues en ring de boxe à cause de Nathalie.
Arrivée dans le village pour rendre visite à ses grands parents avant un départ pour l’étranger, Nathalie qui est loin de passer inaperçue devant un homme fait perdre la tête au fils d’un policier qui n’hésite pas à tout lui donner. Malgré les mises en garde de sa grand mère, Nathalie flirte avec le fils du chef du village avant de le changer pour le commissaire de police.
En tout, elle mélange plus de six hommes en deux semaines qui vont se battre les uns contre les autres s’accusant de se voler la petite amie. L’animosité qui gagne le village pousse le chef du Village à intercéder auprès de la famille de Nathalie pour son départ immédiat du village.
Lome, Togo : 55 Universités privées reconnues par l’Etat
Written by ERIC K. ALOVORAprès la visite du 16 août au 3 septembre derniers des établissements privés d’enseignement supérieur, effectuée par le Directeur de l’enseignement supérieur, Essohanam Assima-Kpatcha et sa suite, le verdict est tombé : seules 55 écoles sont reconnues par l’Etat.
Le directeur de l’enseignement supérieur avait déclaré qu’« on ne crée pas un établissement du supérieur pour la forme ». Et d’ajouter qu’« il est prévu que de temps en temps un contrôle soit fait, afin qu’on puisse s’assurer du respect du cahier de charge ».
Aujourd’hui, le constat est que seules 55 Universités privées respectent un certain nombre de cahier de charges.
Après la publication de la liste des écoles supérieures retenues, le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, Octave Nicoué Broohm met en garde : « Tout diplôme délivré par tout autre établissement privé d’enseignement supérieur ne figurant pas sur la liste retenue ne sera pas reconnu par l’Etat ».
Un bémol tout de même. « Les écoles privées qui estiment être en règle et dont les noms ne figurent pas sur la liste officielle peuvent toutefois adresser un recours à la direction de l’Enseignement. La nouvelle liste permettra aux étudiants et à leurs parents d’y voir un peu plus clair en choisissant des établissements reconnus », précise le ministre en charge de l’Enseignement supérieur.
La liste des Universités privées ayant reçu l’agreement de l’Etat
Institut Universitaire d’Agoènyivé (IUA),
Université Catholique de l’Afrique de l’Ouest/Unité universitaire du Togo (UCAO-IUT),
Institut Polytechnique (DEFITECH),
ECOLE DES CADRES,
Ecole Supérieure de Communication et de Gestion (ESCG)
Ecole supérieure d’Audit et de Management (ESAM)
Ecole Supérieure de Gestion d’informatique et des Sciences (ESGIS)
Le TECHNOCRATE JUMAU-ITA
Institut de recherche et de formation en développement local (IRFODEL)
Ecole supérieure d’informatique, d’administration et de gestion (ESIAG AMOR DEI)
Ecole Supérieure des Ponts et Chaussées (ESP) Lomé-Kara
Institut Supérieur Agata CARELLI (ISAC)
Institut Universitaire FORMATEC
Institut Polytechnique des Bâtiments et travaux publics (IPBTP)
Ecole Supérieure des Affaires (ESA)
Ecole supérieure de formation professionnelle (FIMAC)
Hautes technologie d’information et bureautique (HTIB Atlantis)
Institut supérieur de gestion Monseigneur Bakpessi-Karaf
Institut Africain Le Leadership
Ecole Supérieure de Formation professionnelle (CFP) ANCILLA
Institut des Hautes Etudes des Relations Internationales et Stratégiques (IHERIS)
Institut Africain d’Administration et d’Etudes Commerciales (IAEC)
Ecole supérieure d’Administration et de Gestion Notre Dame de l’Eglise (ESAG NDE)
Ecole Supérieure « Académie de Leadership et de management en Afrique (ALMA) Kara
Northen institut of Technology (NIT-Togo) Dapaong
Institut supérieur de technologie et de Management (ISTM)
Centre de formation et d’Orientation professionnelle (CIFOP) Lomé-Sokodé
Institut de formation technique supérieure (IFTS)
Centre de perfectionnement aux techniques économiques et commerciales (CPTEC)
Groupe Scolaire la Maîtrise
Institut Supérieur de Droit et d’interprétariat (ISDI)
Centre Omni Thérapeutique africain (COA)
Institut Supérieur de management Adonaï (ISM Adonaï) Lomé-Kara
Institut de Formation aux normes et technologies de l’informatique (IFNTI) Sokodé
Institut Supérieur de Philosophie et Sciences humaines Don Bosco (ISPSH Don Bosco)
Carrefour Informatique et bureautique-Institut nouvelle des technologies Appliquées (CIB-INTA) Lomé-Kara
Lomé Business School (LBS)
Faculté de théologie des Assemblées de Dieu (FATAD)
ESIG Global Success
Ecole Supérieure de technologie et de gestion (ESTEG)
Université des Sciences et technologies du Togo (UST-TG)
Institut Africain de Développement Sanitaire et social (IADSS)
Ecole Supérieure des techniques et Arts de la Communication (ESTAC)
Ecole Maritime du Togo (EMARITO)
Centre de formation bancaire du Togo (CFBT)
Institut de formation des génies industriels (IFGI)
Centre d’Etude et de formation informatique et professionnelle (CEFIP)
Institut supérieur de Management et Développement (ISMAD)
Ecole Supérieure de technologie, du cinéma et de l’audiovisuelle (ESTECA)
Ecole supérieure des Etudes Cinématographiques (ESEC)
Institut de Formation et de Recherche pour le Développement (IFORDD)
Ecole Supérieure de Management des Affaires (ESMA)
Hôtel Ecole Avenida
Lome ,Togo: "Nous ne voulons pas de révolution au Togo, mais si ...
Written by Nicolas LawsonUn mandat social n’est pas une supercherie
Nous ne voulons pas de révolution au Togo mais si le gouvernement actuel la rend inévitable alors nous soutiendrons une telle folie. Comme un fantôme fourvoyé d’une politique morte, le gouvernement est entrain de nous conduire vers l’abîme. Oui ! l’article 77 de la constitution en vigueur dispose que sous l’autorité du Président de la République, le gouvernement détermine et conduit la politique de la nation et dirige l’administration civile et militaire. Il dispose de l’administration, des forces armées et des forces de sécurité. Ainsi, comme une ombre égarée hors du tombeau, il a supprimé l’allocation de départ à la retraite des fonctionnaires, harcèle les entrepreneurs avec l’assistance d’un étranger qui ne parle pas français, fait fuir les importateurs étrangers de notre port par des taxes exorbitantes, tourmente nos revendeuses et les entreprises privées du pays en leur réclamant des impôts parfois fantaisistes, laisse souiller notre environnement, force notre jeunesse à l’indignité, à l’oisiveté, à la délinquance, à la désespérance, à la prostitution, etc. Comble de l’absurdité et pour ne pas perturber un sommet de pure propagande, il reporte la rentrée scolaire, méprisant ainsi l’avenir de tout un peuple qu’il tient dans l’ergastule et abandonne à la désolation.
Après avoir organisé la bombance dans l’enceinte de l’ancien palais des hôtes de marque et donner des milliards de FCFA à une gourgandine de la République pour sa rénovation, il le laisse à l’abandon. Avec le scandale de Panama Papers, la destruction des activités au port de Lomé, le lavage des déchets des phosphates dans la mer sur notre côte, le soutien à la mafia pour la distribution de l’essence toxique dans la sous-région, l’emprisonnement arbitraire sans jugement et sans condamnation de certains compatriotes qu’ils veulent éloigner du pouvoir, etc, ce sont nos frères et sœurs qui sont de la sorte accablés dans une cuisante détresse et qui sont courbés sous le plus odieux avilissement.
Au summum de tout cela, il n’est pas permis aux étudiants de se plaindre, le gouvernement a suffisamment de gaz lacrymogène pour les gazer. Nous nous posons la question de savoir pourquoi le Chef de l’Etat a osé dénoncer cette minorité criminelle, qui nous a pris en otage par des crimes, des chantages, des mensonges, des pillages de nos ressources, etc. ? Que cette minorité sache qu’on a beau vouloir comprimer le feu sacré de la liberté et de la justice, il brûle et brûlera toujours. Plus il parait dans certains instants anéanti, plus sa flamme menace de se réveiller subitement forte et explosive. Qu’elle sache aussi que les patriotes que nous sommes ne les haïssent pas mais haïssent leurs actes antisociaux, impopulaires et criminels. Comment le Premier ministre peut-il proclamer que sur instruction du Chef de l’Etat, son gouvernement exécute un mandat social ? Quel outrage ! Quelle imposture ! Quelle ignorance ! Quelle provocation ! Sait-il seulement ce que veut dire un mandat social et comment peut-il ignorer à ce point que le peuple a des droits sacrés et inaliénables et que l’oubli et le mépris de ceux-ci sont les causes de ses malheurs ? Croit-il que c’est en opprimant un peuple et en l’avilissant pour continuer à s’enrichir personnellement, à terroriser les populations et à flagorner le Chef de l’Etat que l’on s’élève ? S’imagine-t-il que nos forces de défense et de sécurité, qui sont avant tout les défenseurs de la République, consentiront longtemps encore à n’être que des machines de répression, des pantins, des marionnettes insensibles, qui obéissent aux ordres de leur minorité sans scrupule qui ne pense pas à l’avenir de leurs enfants et parents ? Elles ne soutiendront pas indéfiniment un régime qui pille nos ressources avec la complicité des prédateurs étrangers. Nos frères des forces de défense et de sécurité finiront inévitablement par examiner froidement et scrupuleusement si le gouvernement est républicain. Alors, elles assumeront leur rôle de défense de la République et des droits.
Notre parti, le PRR, a choisi de rassurer la conscience de tous les hommes de bien et nous pensons qu’il est souverainement important d’apporter le flambeau des principes développés et appliqués par un raisonnement mûr et indépendant des personnes et des partis pour les aider à se déterminer.
Aucun gouvernement n’a le droit de violer aussi vulgairement les dispositions de l’article 81 de notre constitution en refusant de créer le Sénat. Le gouvernement a impudemment et délibérément violé la constitution en vigueur en méprisant son TITRE X et les articles 134 à 136, etc. Notre Assemblée nationale a usurpé les prérogatives du Sénat en adoptant des lois sans le respect des dispositions de l’article 81 et les suivants. Elle a nommé trois représentants à la Cour Constitutionnelle à la place du Sénat, rendant celle-ci anticonstitutionnelle, illégale et illégitime. Malgré les masques et les jargons qu’utilise la minorité criminelle, elle a affaibli l’autorité de l’Etat, dégradé le Chef de l’Etat, souillé nos institutions et dépravé notre société. Il devient urgent de s’insurger irrémissiblement contre cette minorité pour mettre un terme à son pouvoir de nuisance, antipopulaire, liberticide et contraire aux principes et aux valeurs démocratiques et morales.
En nous attaquant au Premier ministre et au gouvernement, en prenant en compte les dispositions de l’article 66 (alinéa 2) et de l’article 77 de la constitution en vigueur, et non directement au Chef de l’Etat, nous aidons ce dernier à prendre ses responsabilités, en se séparant sans délai d’un gouvernement exceptionnellement médiocre et criminel pour couper la racine à toutes les convulsions pouvant encore déstabiliser notre société pour longtemps. C’est impératif de préserver la paix sociale et la stabilité politique, en vue d’entreprendre sereinement toutes les réformes indispensables dont le pays a besoin.
Nous voulons aussi rappeler ici que nous sommes à un moment de notre histoire au cours de laquelle, ce n’est plus une section du peuple qui doit opérer le changement véritable, mais l’ensemble de notre peuple. Incontestablement, toute révision de la constitution doit prendre naissance dans le sein de ce peuple tout entier et ne peut plus émaner du corps législatif. Les forces actuelles représentées à l’Assemblée nationale ont déjà montré leur incapacité à s’entendre. Elles ont outrepassé largement leurs pouvoirs et trahi notre peuple par leurs discordes permanentes et par leur abaissement de notre pays à l’extérieur. En s’entendant pour voter les augmentations de leurs rémunérations sans le contrôle du Sénat, elles ont violé ouvertement la constitution en vigueur et n’ont servi que leurs intérêts particuliers. Le peuple étant dorénavant mieux éclairé qu’il y a trois ans, il partage également mieux les réprobations formulées contre toute la classe politique.
La minorité, qui s’accapare des richesses nationales et qui a perdu toute conscience du bien et du mal, a sans pudeur et sans voile consacré les injustices en tout genre et la misère la plus épouvantable dans nos villes et villages. La mesure de ses forfaits est portée à un tel comble et à une telle évidence que la longue patience de la masse du peuple est lassée et que sa crédulité n’y tient plus. Pour ne pas laisser se perpétuer la misère actuelle, le désordre dans la société et la servitude, qui vont inéluctablement conduire à des soubresauts violents, il va falloir mettre en place rapidement un gouvernement de salut public. Un tel gouvernement devra engager la métamorphose de notre société. Nous devons alors créer une organisation qui étendra ses ramifications dans tous les endroits de notre territoire pour éveiller les consciences et prendre un caractère d’ardente croisade contre la pauvreté, contre l’ignorance, pour l’éducation des jeunes et des adultes, pour des aides à tous les indigents et pour réaliser la solidarité nationale.
L’agenda pour la politique sociale se déterminera et s’exécutera sur quatre niveaux de décisions : -les affaires sociales ; -la santé publique et la prévoyance sociale ; -les conseils généraux ; - et les communes. Dans le cadre d’une vision globale de l’action sociale et de ses problèmes, il sera mis en place un comité social central qui s’attaquera à la misère silencieuse dans nos cantons et dont l’objectif sera de créer un bien-être général de la population partout sur le territoire national. Le gouvernement de salut public devra obligatoirement donner une aide sociale et médicale qualitative à tous les togolais, un environnement de travail plus humain, des loisirs enrichissants ; le tout à travers une vision globale de l’homme dans son milieu naturel. La politique sociale s’intégrera tout naturellement dans une politique de plein emploi. Les ressources investies dans la politique sociale seront considérées, non comme une dépense, mais comme un facteur de stimulation de la demande et de l’investissement, donc un moyen d’éradiquer la misère, de réduire le chômage et d’augmenter le produit national brut.
Le gouvernement de salut public devra proposer des mesures sociales innovantes pour aider les familles, pour le lancement d’une politique à long terme de construction de logements pour tous les fonctionnaires et pour les salariés du secteur privé. Il devra accorder des subventions aux agriculteurs et faire voter des lois d’assurance volontaire contre le chômage, pour les pensions vieillesse, pour les allocations pré- et post-natales, pour l’allocation aux enfants des veufs, des veuves et autres orphelins, pour les subventions aux cantines scolaires, pour les congés payés généralisés. A partir de 67 ans, tout togolais devra bénéficier d’une pension nationale vieillesse. En plus des allocations familiales, des cantines gratuites seront assurées dans les écoles primaires et progressivement dans les écoles secondaires, des manuels scolaires gratuits seront fournis dans les établissements publics. Non seulement toutes les écoles, tous les lycées et toutes les universités seront dotés d’infirmeries et de bibliothèques mais également de terrains de jeux. Il y aura une assurance maladie obligatoire et une pension complémentaire professionnelle. De la sorte, par une politique économique appropriée, qui redistribuera les ressources nationales, nous allons élargir le pouvoir d’achat des travailleurs (le doubler pour commencer) et jeter les bases d’une politique économique expansive pour réaliser un véritable mandat social.
Le gouvernement de salut public ne devra pas oublier de restaurer l’allocation de départ à la retraite des fonctionnaires. Les deux piliers d’une politique efficace de l’emploi et d’un système complet d’assurances sociales vont s’appuyer sur la mise en œuvre des réformes constitutionnelles, institutionnelles et des mœurs. Chaque togolais verra alors sa sécurité économique et sociale renforcée. Avec la restauration de l’ordre, de la discipline et de l’autorité d’un Etat juste et fort, nous préparerons pour l’avenir d’autres différentes formes d’aides publiques, d’assurances, de soins préventifs et curatifs, qui devront protéger efficacement et complètement les togolais. Les fruits de leur travail ne doivent plus servir dans les années à venir à la cupidité et à la jouissance d’une minorité de fainéants corrompus dans tous les vices. Que Dieu nous inspire et nous protège.
Nicolas LAWSON
Président du PRR
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Written by Idrissa Diarra : Géographe & politologue
Monsieur le Ministre,
Par la présente lettre ouverte, j’ai l’honneur de porter à votre connaissance, la mise en vente de mon œuvre d’art – remontant au 31 Octobre 2014-, précurseur par voies médiatiques et officielles dans le combat et le plaidoyer pour ériger le site abritant les ruines de l’Assemblée nationale en « Musée à ciel ouvert », suite à l’Insurrection populaire d’Octobre 2014.
La matérialisation concrète de cette volonté aujourd’hui par une loi votée en début mars 2016 par la représentation nationale à l’Assemblée sous l’impulsion de son Président, érigeant ledit site effectivement en « Musée de lutte héroïque du Peuple », met en évidence l’opportunité de ce plaidoyer citoyen et confère du coup à cette œuvre pionnière – sous forme de tableau -, tout aussi un caractère muséal d’envergure nationale, appelée à se bonifier au fil du temps, notamment sur le plan artistique, littéraire, touristique, etc.
Aussi, voudrais-je solliciter auprès de votre haute bienveillance, l’usage de prérogatives de votre ressort, pour la sauvegarde de la mémoire de cette contribution citoyenne authentique, historique, littéraire et artistique inédite et pour nous faire bénéficier éventuellement tout droit y inhérent, de l’ordre de droit de création, innovation et identification lié au site muséal de l’Assemblée nationale, ou tout autre droit.
C’est en effet, par ce type de préservation des initiatives culturelles et touristiques, que notre nation peut espérer remporter le succès de la créativité stimulante et de l’innovation gagnantes pour le développement, dans l’intérêt de chacun, au delà même du département ministériel de la culture, des arts et du tourisme.
Veuillez agréer Monsieur le Ministre, l’expression de mon sentiment patriotique et de ma très haute considération.
P.J. :
– Lettre d’approbation de notre proposition de projet au Premier Ministère n°015-2320/PM/SG/DGPJ/oht du 16 novembre 2015.
Ouagadougou, le 22 avril 2016.
Idrissa Diarra
Géographe & politologue
Coordonnateur du Groupe d’Initiative pour Eriger le site abritant les Ruines de l’Assemblée Nationale en Musée
(ERIG AN-Musée)
Cel : (+226) 66 95 04 90
Courriel : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
Site Web: http://www.erigan-musee.com