Zoom News (388)
Incroyable : traitez le diabète, l’asthme, le cholestérol et les m...
Written by AdministratorLe gombo et ses gousses sont également appelés « Lady’s fingers » (doigts de femme). Il est appelé cabo à l’île de la Réunion, calou en Guyane, okra aux États-Unis. Un verre de gombo frais contient 30 calories, 2 grammes de protéines, 3 grammes de fibres alimentaires, 0,1 grammes de matières grasses, 7,6 grammes de glucides, environ 80 microgrammes d’acide folique, 21 milligrammes de vitamine C, et 60 milligrammes de magnésium.
En raison de ces substances, le gombo est une plante extraordinaire qui est très bénéfique pour la santé humaine. Vous pouvez profiter des bienfaits pour la santé de cette plante dans différentes formes – cuite à l’étouffée, bouille, marinée, frite, à n’importe quelle période de l’année.
Le gombo est capable de soulager les symptômes de l’asthme, stimuler l’immunité, réduire les niveaux de cholestérol, lutter contre le diabète, prévenir des maladies rénales, etc. En outre, il est considéré comme un ingrédient efficace pour réduire la quantité de glucose consommé de par les aliments dans le tractus gastro-intestinal.
Ici, nous vous présentons une recette maison facile avec le gombo qui vous aidera à équilibrer les niveaux de sucre dans votre sang naturellement:
Vous avez besoin de 4 gombos crus. Coupez les queues et les têtes et mettez 2-3 morceaux dans une tasse d’eau. Laissez-les tremper toute la nuit. Buvez l’eau le matin, une demi-heure avant le petit déjeuner.
AFRIQUE, ON NE MANGE PAS LA CROISSANCE ÉCONOMIQUE : Création de rich...
Written by Yves Ekue AmaizoChroniques des Palais moribonds # Épisode 2. Entretien téléphonique...
Written by KALVIN SOIRESSE NJALL
Les choses vont rondement bien au Bénin, juste à côté de nous, Togolaises et Togolais, à côté du pays où personne ne sait où l’on se dirige. Avec une détermination sans équivoque, tambours battant, canons tonnant, essentiellement devant son peuple plutôt qu’avec d’autres chefs d’État, Patrice Talon a prêté serment, prononcé court discours, formé gouvernement bien ramassé, et s’est mis au travail. Rien qu’à travers les termes clairs des dénominations ministérielles, on note un souci de cohésion et d’efficacité. Évidemment, Patrice Talon s’est donné une seule chance de faire l’unique mandat de sa première impression. L’Afrique a tant besoin de si bons exemples.
Deux fonctions de ministre d’État ressortent amplement pour soutenir la preuve, par compétence et professionnalisme, promise par le chef de l’État béninois. Ainsi, Pascal Koupaki retrouve un rôle de coordination au poste de Secrétaire général à la présidence de la République; une responsabilité de choix qu’il avait assumée aux côtés d’Alassane Dramane Ouattara au Fonds monétaire international à Washington et en tant que premier ministre présomptif de Boni Yayi pendant plusieurs années. Sans surprise ni confusion, Abdoulaye Bio Tchané, ancien directeur Afrique de la Banque mondiale est clairement responsable du plan et du développement du Bénin, un objectif vital.
À part la représentation féminine qui semble être étonnamment anémique –trois seulement sur vingt et une personnes, comme si le président Talon ne s’y était pas assez bien préparé, la conception même des différentes responsabilités ministérielles est concise et tellement millimétrée que les Lettres de mission devraient être claires pour chaque personne appelée à la tâche gouvernementale. Et tout cela vaut la peine de s’y arrêter :
- Ministre d’État chargé du Développement : Abdoulaye Bio Tchané
- Ministre d’État, Secrétaire général à la présidence de la République : Pascal Irénée Koupaki
- Ministre de l’Intérieur :Sacca Lafia
- Ministre délégué auprès du président de la République chargé de la Défense : Candide Azannaï
- Ministre de la Justice : Joseph Djogbénou
- Ministre des Sports : Oswald Homeky
- Ministre des Finances : Romuald Wadagni
- Ministre de la Santé : Seidou Allassane
- Ministre de la Culture et du Tourisme : Ange Nkoué
- Ministre de l’Agriculture : Delphin Koudandé
- Ministre du Commerce et de l’Industrie : Lazare Séhouéto
- Ministre des Affaires étrangères : Aurelien Agbénonci
- Ministre de l’Enseignement primaire : Karimou Salimane
- Ministre de l’Énergie : Jean-Claude Houssou
- Ministre de la Communication et des Tic : Rafiatou Monrou
- Ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique : Marie-Odile Attanasso
- Ministre des Enseignements secondaire, technique et de la Formation professionnelle : Lucien Kokou
- Ministre de la Décentralisation et de la Gouvernance locale :Barnabé Dassigli
- Ministre du Travail, de la Fonction publique et des Affaires sociales : Adidjatou Mathys
- Ministre des Infrastructures et des Transports : Hervé Hehomey
- Ministre du cadre de vie et du Développement durable : José Didier Tonato
La promesse de « Rupture » lors des élections autant que le « Nouveau Départ » dans la gouvernance ont aidé à balayer les lieux et faire de la place aussi bien aux anciens qu’aux jeunes loups pétris de compétences et de volonté. C’est le cas du tout nouveau ministre des Finances, Romuald Wadagni jusqu’à maintenant gestionnaire associé chez Deloitte France en service à Kinshasa, ou encore l’ingénieur Jean-Claude Houssou, nouveau ministre de l’Énergie et jusqu’alors au service d’Électricité de France (EDF) comme chef des projets « Accès à l'Énergie dans les pays en développement ». Et, Romuald Wadagni, Jean-Claude Houssou comme les « vieux jeunes » Abdoulaye Bio Tchané et Pascal Koupaki sont bien connus au Togo et ailleurs.
Vision… Compétences… Atouts
Nul n’a donc besoin d’être Béninois pour exprimer sa satisfaction en ces moments où un chef d’État africain exprime clairement une vision, et met en place un dispositif approprié de gouvernance pour mettre en œuvre ses idées. Sans avoir commencé son mandat, Patrice Talon l’a déjà réussi : il connaît sa destination pour l'avoir énoncé clairement et publiquement; ainsi tous les vents ne peuvent que lui être favorables, car il saura les mettre au service de son engagement :
« Faisant avec vous le constat du parcours exceptionnel qui est le nôtre, je voudrais reconnaître et saluer l’ancrage démocratique du Bénin qui prouve ainsi, à nouveau, sa capacité à surmonter les défis qui se sont toujours présentés à lui. Cependant, au plan économique et social, ainsi que de la jouissance des libertés individuelles l’état des lieux n’est guère reluisant. L’urgence, est donc aux réformes politiques, à la restructuration de l’économie nationale, à la reconstitution du tissu social en redonnant confiance à nos citoyens et la restauration de la crédibilité de notre pays. Certes, la tâche paraît immense, mais ce n’est pas œuvre impossible si les actions à entreprendre s’appuient sur une vision claire ainsi que sur les compétences et les atouts dont nous disposons. C’est pourquoi je ferai de mon mandat unique, une exigence morale en exerçant le pouvoir d’état avec dignité et simplicité. Je m’acquitterai de mes devoirs de président de la République avec humilité, abnégation et sacrifice pour le bien-être de tous. De la nation, je garderai toujours présent à l’esprit la conviction qu’elle est une et indivisible, étant persuadé que notre pays ne sera fort que s’il reste uni. »
Nul n’a besoin d’être Béninois pour exprimer sa fierté. Qui plus, la confirmation d’un seul mandat dans le voisinage immédiat de l’incorrigible Togo où le cafouillage, la peur, la répression, le copinage, les illusions, les renoncements et les tergiversations sont la règle. Il n’y a aucun mal à être exigeants vis-à-vis de nos dirigeants. Surtout dans le cas particulier du Togo où le pouvoir est confisqué sans que son titulaire sache trop quoi en faire de potables et de constructifs?
Pour Patrice Talon, l’état politique du Bénin après les dix années cahoteuses de Boni Yayi –longtemps tenté par le changement de la Constitution, lui impose des reformes solides pour remettre la démocratie béninoise dans son siège exemplaire de leader. Faire un seul mandat et retourner à ses affaires participe de cette volonté de consolidation de la démocratie au Bénin. Patrice Talon ne s’y trompe nullement pas dans les premiers mots de son discours d’investiture.
Parce que la vérité politique est reine en ce Bénin qui se déploie sous nos yeux, ses résultats ne peuvent être que satisfaisants, ses acteurs revalorisés, ses critiques indulgentes, ses citoyens fiers contributeurs, ses reformes bienvenues, et l’éthique politique saluée. C’est ce que nous faisons! Un mandat, et chacun ramassera ses clics et ses claques pour aller voir ailleurs, retourner à ses moutons professionnels, ou encore donner une autre et respectable posture à ses ambitions politiques. Tout cela, tout cet exemple, juste à côté du Togo.
Pierre S. Adjété
Québec, Canada
●6 avril 2016●
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DANS LE BESTIAIRE DE CÉSAIRE, LE NATIONALISME ÉTROIT
Written by Bill Emile Davolk
L'histoire ne nous enseigne rien mais, l'histoire nous punit de ne pas la connaître.
Oh oui! Je connais les mensonges qui ont été dits sur le Syli, je sais les diffamations qui ont orné son séjour terrestre, je connais les mascarades tentants la remise en cause de son intégrité et de son honorabilité, je sais aussi les abus qui furent les siens, ses responsabilités, ses erreurs découlants du concept et du contexte du pouvoir et de l'époque. Oh si! J'ai compris.
J'ai compris depuis le sort qu'ils reservent aux leaders patriotes, aux leaders nationnalistes, aux visionnaires. Oui j'ai compris comment ils se font passer pour les victimes quand ils sont en réalité les bourreaux. J'ai compris depuis les travaux de Edouard Burnay sur le pouvoir de la manipulation, la force de la propagande sur les esprits même les plus finauds.
J'ai compris comme Goebbel, l'artisan de l'intox nazie, qu'á force de repetter une calomnie, aussi invraissemblable soit elle, elle finit par devenir vérité chez les simples d'esprits. On ne peut nier á Ahmed Sékou Touré son amour pour la Guinée, on ne peut dénier son cran comme on ne peut occulter ses faits héroïques et historiques. Je sais aussi que nul n'est prophète chez soi, je sais bien que sa haine est héréditaire chez certains et un fond de commerce chez d'autres, ça aussi je le sais point besoin de les en guerrir. Ceux qui etaient contre l'indépendance, contre le oui, ce sont eux, leurs enfants, leurs petits enfants qui sont les gros du contingent contre le Syli. Ni les aveux de Focard ni les revélations de Mamadou Dia sur la volonté de destabilisation de la Guinée à partir de son Sénégal, ni même les secrets d'Houphouet aux obsèques du Syli National ne suffiront pour relativiser un jugement beaucoup plus emotif que raisonné.
A tous ceux qui denient á Ahmed Sékou Touré tout mérite il sera bien de visiter la tombe du sage de Bandiangara, Hampathé Bah qui disais et je cite:" Chez tous les hommes á part les sages et les saints, on trouve un trait commun. Chacun est porté à dénigrer son ennemi ou adversaire et à le présenter comme un vaurien. Pourtant bien peu se rendent compte qu'en diminuant la valeur de leur rival, ils ne font que minimiser leur propre valeur".
La vie d'une nation est faite de hauts et de bas. Savoir dompter ces contradictions c'est batir une nation forte et fier de son histoire. Aux U.S.A des citoyens ont été crucifiés, brulés vifs, pendus parcequ'ils avaient la mauvaise couleur de peau cependant, ils continuent á grandir les présidents de ces époques lá comme les pères fondateurs. En france, pays qui se fait nommer la patrie de la liberté après qu'elle ait fait jetter des citoyens dans la Seine parcequ'ils étaient des harkis ou des bikos. Depassons ceux et ce qui nous divisent pour prêcher ce qui fait de nous ce que nous sommes.