Zoom News (388)
Au Togo également, l’histoire ne s’arrête pas : « le triomphe des démagogies restera toujours passager ». C’est la marque « Gnassingbé » qui est périmée au Togo et, avec cette désuétude, tout un système qui ne peut plus avoir sa place dans une Afrique désireuse de retrouver sa dignité, comme vient de le répéter encore Barack Obama.
Togo : Bonéro Lawson, un prisonnier politique de trop !
Written by Shalom AmetokpoKidnappé depuis le 19 mai 2015 en pleine rue à Lomé, le journaliste Bonéro Lawson engagé demeure contre toute logique en prison pour des raisons ne reposant sur aucun fondement juridique valable. Bonéro Lawson boucle gratuitement deux mois en prison déjà. Mais de quoi est-il réellement accusé ?
APPEL AU PEUPLE TOGOLAIS ET A LA COMMUNAUTE INTERNATIONALE
Written by Bill Emile DavolkLancé sur la radio FM LIBERTE depuis CHICAGO le 12 juillet 2015
Il y a 75 ans, au lendemain de la « débâcle militaire » de la France face à l’Allemagne nazie et à la veille de la signature par le Maréchal Pétain de l’Amnistie humiliante ayant tout de même limité dans l’immédiat les dégâts de l’occupation de la France par l’armée nazie, le général de Gaule a lancé son célèbre « appel du 18 juin 1940 »,
Tournée de François Hollande en Afrique : peut-on y voir une certain...
Written by Bill Emile DavolkEditorial de Fenêtre sur l’Afrique du 11 juillet 2015
Du 1er au 3 juillet 2015, François Hollande a fait une brève tournée en Afrique où il a visité le Bénin, le Cameroun et l’Angola. Les médias et beaucoup d’observateurs se sont interrogés sur les vraies motivations de ce déplacement éclair et très serré d’un point de vue planning.
"KALALA" Pierre Kalala Mukendi, l’une des plus mémorables...
Written by Administrator
Footballeur de génie, Pierre Kalala Mukendi est devenu respectivement entraîneur, sélectionneur, directeur technique national de son pays, la République démocratique du Congo (RDC) et expert à la Confédération africaine de football (CAF). Il reste incontestablement une légende du football africain. Mais peu connu des jeunes générations.
C’est à Likasi dans la région du Katanga que Pierre Kalala Mukendi naît le 22 novembre 1939. Déjà tout petit, il se passionne très vite pour le ballon rond. L’agilité et le talent du jeune garçon fait qu’on le remarque à l’occasion des matchs auxquels il participe dans les championnats inter-quartiers ou scolaires. Il ne tarde pas à être approché par des clubs qui veulent s’attacher ses services. Ainsi en 1958, il signe avec l’Union Panda. Exactement quatre ans plus tard, il évoluera avec le Tout Puissant Englebert, devenu aujourd’hui le Tout Puissant Mazembe.
Kalala, comme on l’appelle tout simplement, ne se révèle pas seulement un talentueux footballeur mais aussi un bon meneur de jeu et d’hommes. Ce qui lui vaut d’être élevé au rang de capitaine du club de Lubumbashi en 1964. Et le prodigieux footballeur devient à la fois capitaine et entraîneur de son équipe. Il est au sommet de son art. Son équipe du Tout Puissant Englebert (TP Engelbert) accumule les victoires et les trophées avec le championnat du Congo (1966, 1967 et 1969), décrochent deux trophées de coupe nationale d’affilés (1967 et 1968) et enfin une reconnaissance continentale avec un premier titre de champion d’Afrique des clubs en 1967.
Un attaquant surnommé « Bombardier »
Auteur de l’unique but de la victoire à la Coupe d’Afrique des nations (CAN) en Ethiopie, en 1968, contre le vainqueur précédent qu’était le Ghana, il a aussi raflé les titres avec ses clubs. A savoir la première CAN avec les Simba, la première Coupe des clubs avec le Tout Puissant Englebert, la première Coupe des vainqueurs. Kalala garde son titre de champion d’Afrique des clubs et termine finaliste des éditions 1969 et 1970. Dans un livre publié en 2007 par la Confédération africaine de football (CAF) à l’occasion de son cinquantenaire, on peut lire ceci : « Le succès du Tout Puissant Englebert et de l’équipe nationale du Congo Kinshasa au milieu des années 60 sont en grande partie dus à Kalala Mukendi. Il était le Monsieur du but de son pays ». Un hommage bien mérité pour ce footballeur de génie qui est devenu respectivement entraîneur, sélectionneur, directeur technique national et expert à la Confédération africaine de football (CAF).
Ses qualités athlétiques et techniques, son engagement et sa détermination et ses puissantes frappes sur le stade ont tôt fait de le faire surnommer « le bombardier ». Mais un « bombardier » qui faisait mourir de joie ses supporters et les passionnés de ballon rond. Au point que ses compatriotes lui trouvent, outre que « bombardier », deux autres surnoms : « le père de l’aventure internationale », « le dieu du football congolais ». Ce n’est d’ailleurs pas le fait du hasard si beaucoup de jeunes Africains se donnaient comme surnom « Kalala ».
A son époque, Kalala était considéré comme le « Pelé de l’Afrique ». L’ancienne gloire du football de la République démocratique du Congo (RDC) et du continent africain qui s’était reconverti en entraîneur de son ancien club n’avait de cesse de dire à ses joueurs : « Sans la rigueur, il n’y a pas de résultat ». Et pour l’ex-bombardier, attaquant vedette des Léopards, la baisse du niveau du football congolais est due au manque d’organisation et de compétition. Car pour obtenir des résultats, il faut allier les deux choses. Ce qui lui faisait dire : « Je le dis en connaissance de cause. Les résultats réalisés à notre époque étaient positifs et performants grâce à une politique sportive ponctuelle, réaliste, basée sur la coopération bilatérale en matière sportive avec plusieurs nations. Matches amicaux internationaux, stages et séminaires de formation, assurés par des experts justifiaient les résultats fascinants à l’époque avec les Léopards et Englebert ».
Vainqueur de la Coupe de RD Congo en 1966 et 1967, vainqueur de la Coupe d’Afrique des clubs champions en 1967 et 1968, Champion de RD Congo en 1966, 1967 et 1969, finaliste de la Coupe d’Afrique des clubs champions en 1969 et 1970, vainqueur de la Coupe d’Afrique des vainqueurs de coupe en 1980 en tant qu’entraîneur, il entraîne aussi l’équipe de RD Congo qu’il conduit à la CAN 1992.
Moins connu par les nouvelles générations, il n’en reste pas moins l’un des plus grands footballeurs africains, et sans doute le meilleur de sa génération.
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