Zoom News (388)
La lutte pour le changement dans notre pays est un combat humain, juste et incontestable.
La soif de Liberté, de Justice et de Prospérité qui anime les Togolais ne s’arrêtera pas, tant qu’elle ne sera pas assouvie. Ce besoin brûlant de profonde transformation s’inscrit dans l’ordre des choses. Les Lois naturelles, universelles et spirituelles imposent et nourrissent cette évolution. Aucun obstacle, qu’il soit d’origine humaine ou autre, ne pourra enrayer son impulsion. Les tentatives des uns pour l’étouffer et l’attitude de mépris des autres pour l’ignorer, n’y feront rien. Il s’agit d’un puissant courant de fonds propulsé par des forces que nul ne peut contrôler, ni endiguer.
Le changement souhaité et réclamé par le peuple dans sa diversité et dans son ensemble se réalisera. La période de la cruauté, de l’injustice et de la duplicité prendra fin, elle sera supplantée par une ère qui verra le triomphe de la Justice, de la Liberté, du Patriotisme et de la Paix.
Quand cette aspiration légitime de la majorité du peuple va-t-elle intervenir ? Combien de temps faut-il encore attendre pour que se concrétise ce voeu ardent de mutation ?
Voilà des questions que nous sommes en droit de nous poser. En effet, pour les patriotiques qui ont commencé cette lutte, il y a des décennies mais également pour celles et ceux qui participent aux manifestations depuis le 19 août, le temps du dénouement peut paraître long.
Les réponses à ces interrogations s’articulent autour des trois réflexions suivantes :
Il faut noter, en premier lieu, qu’à l’image d’un individu, chaque pays est spécifique ; ce qui a été valable pour un état ne devrait pas se reproduire pour un autre en termes de contingences et de durée. On peut affirmer aujourd’hui, sans se tromper, que l’évolution de toute nation repose essentiellement sur trois (3) piliers que sont : son histoire, l’éveil de la conscience collective et l’état d’esprit de ses dirigeants. L’avenir du TOGO est donc conditionné par ces trois facteurs qui lui sont propres. L’aboutissement de notre lutte suivra un cheminement et un calendrier particuliers et par conséquent différents de ceux des autres pays.
En deuxième lieu, il est certain, que dans le cas du TOGO, nous devons considérer que l’obscurité qui a envahi notre patrie depuis plus de cinquante ans et qui façonne la plupart des dirigeants demande du temps pour être éradiquée.
Les ténèbres dans lesquels la nation Togolaise est plongée dès 1963 et qui a pour caractéristiques majeures la cruauté, la duplicité, l’injustice, la trahison, le cynisme, l’orgueil et la cupidité sont très sombres (Que celui qui a des yeux pour voir, voit).
Son fort enracinement peut nécessiter une période beaucoup plus étendue et plus de force pour arracher ses racines. Ce passage de « vraie » purification est important et salutaire pour construire un pays nouveau. Le déroulement de ce processus présente, en outre, d’autres intérêts ; celui de confirmer et de prouver la noirceur des dirigeants et de leur entourage et celui de permettre à tous, de découvrir ou de redécouvrir les ennemis intérieurs et extérieurs du TOGO.
En dernier lieu, nous devons raisonnablement imaginer que l’ère du changement qui arrive, s’adresse à chaque citoyen togolais.
Il s’agit pour chaque togolaise et chaque togolais de se préparer à s’éloigner ou à ne jamais tomber dans l’un des gouffres ou profondeurs obscurs que nous avons évoqués.
Cette phase correspond aussi, à du temps qui nous est laissé pour devenir des citoyens responsables, vigilants et solidaires. Il s’agit de se forger individuellement et collectivement un comportement nous permettant de ne pas succomber à la trahison, à la duplicité, au cynisme, à l’injustice, à la cupidité …
La construction du TOGO Nouveau sera exigeante car le combat nous a démontré que c’est le pays dans sa globalité (du Nord au Sud et d’Est en Ouest) qui était « Débout ». C’est ensemble que nous avons lutté, c’est ensemble que le pays se reconstruira dans l’intérêt de tous et pour le bénéfice de chacun. Cela signifie que demain, les futurs dirigeants devront placer au-dessus de tout, l’«intérêt général» ; autrement dit, le désir de servir la patrie devrait être, avant toute chose, la priorité absolue. Aucune ambition personnelle, qu’elle qu’en soit la légitimité, ne devrait aller à l’encontre du bien commun et de l’intérêt de la Nation Togolaise.
C’est l’occasion pour chacun de nous de prendre conscience de nos obligations en tant que citoyens nouveaux ayant le devoir de « cultiver les vertus » inscrites dans notre devise mais aussi ayant la volonté d’avoir le respect de la République (chose publique), la probité, la tolérance et la sagesse.
Compte tenu de l’histoire de notre pays, de la phase d’éradication du mal qui est sournoisement présent à plusieurs niveaux et de l’étape de mutation des togolais en citoyens du renouveau, il nous faut être patient. Une attente de douze (12) ou de dix-sept (17) semaines ou plus serait-elle suffisante pour aboutir et crier victoire ? C’est difficile à dire mais les raisons de l’espoir et de l’inversion de tendance sont nombreuses.
Une chose est sûre, c’est que les forces de l’évolution sont en action, leurs résultats apparaitront aux yeux du monde lorsque tout sera prêt.
Alors, nous devons rester unis et déterminés dans notre combat et nous préparer pour bâtir le TOGO de demain, le NOUVEAU TOGO.
Ablodé Gbadja !
Vive le TOGO !
Amat Kouam
GABON: REVISION CONSTITUTIONNELLE : CE A QUOI ALI XVI COMPTE REDUIRE L...
Written by Dr Jean Aimé MouketouAdmirons la science.
Article 6 ancien :
« Les partis et les groupements politiques concourent à 1'expression du suffrage.
Ils se forment et exercent leur activité librement, dans le cadre fixé par la loi, selon les principes du pluralisme
Ils doivent respecter la constitution et les lois de la République. »
Article 6 nouveau : « Les partis politiques et les groupements de partis politiques légalement reconnus contribuent à l'égal accès des femmes, des hommes, des jeunes et des handicapés aux mandats électoraux, dans les conditions fixées par la loi
Ils doivent respecter la Constitution, les lois et règlements de la République. »
Que pourrait donc cacher cet article nouveau, ségrégationniste par sa catégorisation des citoyens gabonais en femmes, hommes, jeunes et handicapés ?
Oter aux partis politiques et aux groupements de partis politiques, leur droit de concourir à 1'expression du suffrage, de se former et d’exercer leur activité librement, en les réduisant en des simples contributeurs à l’égalité d'accès aux mandats électoraux des catégories énoncées ci-haut, laisse croire que désormais, les partis politiques et groupements de partis politiques ne pourraient plus se former et n’exerceront leur activité librement.
Aussi, pour peu que leurs listes de candidatures à une élection ne répondent pas à l’égal accès de ces quatre catégories de citoyens, le pouvoir pourraient s’autoriser à les disqualifiés purement et simplement , les principes du pluralisme n’existant plus à cet effet.
Vive la démocratie pluraliste et vive la République monarchique.
« Soyons réalistes, exigeons l’impossible » Ernesto « Che »...
Written by ERIC K. ALOVOR
« Au commencement était le verbe ». Il est des paroles créatrices, des mots qui guérissent et construisent. Des mots vivants qui apaisent et réconcilient. Il y en a qui ont le tranchant d’une épée et la perfidie de la traîtrise et du meurtre. Les grands hommes d’État s’illustrent souvent par la grandeur de leurs discours. Le verbe est aussi l’étalon le plus sûr des médiocres et des piteux. Incapables de se hisser à la hauteur de leur tâche, ils le font souvent savoir. Faure Gnassingbé est de cette seconde catégorie. Il ne sait pas que : « le malheur bouleverse comme la bile, ça remonte à la bouche et alors les paroles sont amères » (Jacques Roumain, Les gouverneurs de la rosée). Faure Gnassingbé est sorti de son mutisme ce week-end à la faveur du congrès de son parti. Il aurait mieux fait d’y rester. Le cynisme et l’indigente ironie d’un discours partisan ont fini de lui enlever l’honneur de présider aux destinées du Togo.
Le cynisme d’un discours partial et partisan
Après plus de deux mois de crise ouverte au Togo, le chef de l’État, premier magistrat du pays et garant des libertés et du bien-être du peuple semble sortir de sa léthargie et descendre de son piédestal. Il a quitté l’éther empuanti de son palais et a daigné parler. Au peuple togolais tout entier? Pas du tout. Faure Gnassingbé a parlé à « son » peuple, le seul qui a quelque importance à ses yeux, à ses partisans et soutiens du RPT/UNIR en conclave à Tsévié. Autant dire que Faure a parlé de la situation socio-politique du pays à une infime partie du peuple acquise à sa cause. Aucune prise de hauteur, aucune inclusion et pas l’ombre d’une main tendue à l’écrasante majorité du peuple togolais, à ses aspirations profondes de changement et à l’opposition. Faure mobilise juste ses troupes et les galvanise en vue du combat qu’il a choisi de livrer délibérément à la nation togolaise debout pour la reconquête de sa liberté confisquée. Il s’agit rien moins que d’un discours guerrier. Faure fourbit les armes pour rester ad vitam au pouvoir. Ceux qui ont rêvé d’un réalisme politique et d’une intelligence minimale qui lui dicteraient de tirer sa révérence au regard de la déconnexion totale entre le peuple et lui-même sont désormais fixés. Faure reste dans son délire d’une supposée légitimité qu’il n’a jamais acquise auprès du peuple togolais. A force d’être asséné, le mensonge d’État est devenu « sa vérité ». Il y croit réellement. Cela relève de la pathologie psychiatrique.
L’ironie déplacée et blessante d’un irresponsable majeur
Plus grave est sans aucun doute la lamentable ironie que le chef de l’État a cru bon de manier dans une situation aussi grave que la crise qui sévit depuis plus de deux mois au Togo et que sa soldatesque alimente en drames multiples et meurtriers. Le premier responsable a cru bon, en feignant maladroitement une surprise de cimetière, de se découvrir « dictateur sanguinaire ». M. Gnassingbé l’ironie et de la litote sont des figures de rhétorique de maniement difficile. N’est pas de Gaulle qui veut et votre saillie est de très mauvais goût. Macabre et grinçante, cette mauvaise ironie ne fait que rajouter à la douleur d’un peuple martyr qui continue de payer le prix fort sur votre ordre et au service de votre soif inextinguible du pouvoir. C’est de très mauvais goût et cela ne vous honore pas. Votre supposée simplicité et votre abnégation au service du peuple n’ont convaincu que le cercle de l’oligarchie mafieuse de profiteurs et de pilleurs qui vous ont applaudi à tout rompre. Ce ton décalé et indigne par rapport à la souffrance que vous infligez au peuple, cette ironie indigente et dégénérée sont la forme la plus abjecte du mépris que vous avez pour le peuple togolais éclaboussent bien plus leur auteur et la cour d’assassins et de voyous en cols blancs qui le soutiennent.
La réalité d’une dictature dynastique sanglante au Togo
Les dénégations ne peuvent tenir lieu de quitus et de permis de tuer en rond. Une dictature est un régime politique dans lequel le pouvoir est entre les mains d’un seul homme ou d’un groupe restreint qui en use de manière discrétionnaire. M. Gnassingbé vous êtes bien un dictateur, héritier d’un système dictatorial que vous perpétuez avec zèle en le perfectionnant. Car sous l’aspect lisse et civilisé d’une démocratie de façade, vous cachez l’une des pires dictatures que le monde ait connues. L’envers du décor juridique et institutionnel que vous brandissez est fait de meurtres, de libertés assassinées et de voix contestataires brisées ; de populations meurtries, paupérisées et affamées ; d’enfants dénutris et mal scolarisés ; de pauvres scrofuleux et de maladies nosocomiales contractées dans des hôpitaux et centres de santé mouroirs ; de jeunesses sacrifiées, reléguée à la mendicité, aux jobs de hasard et aux trafics de toutes sortes auxquels les expose le chômage endémique que l’échec patent de votre gestion a crée.
Oui, mille fois oui, vous êtes un dictateur sanguinaire c’est-à-dire quelqu’un qui n’hésite pas à répandre le sang. M. Gnassingbé vous êtes un putschiste, jamais réellement élu, arrivé par effraction à la tête de l’État et à la remorque d’un quarteron d’officiers véreux qui vous ont imposé dans une marée de sang de près de mille togolais. Ce sang versé par flots entiers, ces vies fauchées, ces destins brisés, ces exils forcés, ces voix étouffées, ces fosses communes et ces charniers et les cachots et meurtrières depuis plus de 50 ans vous les connaissez, vous les assumez et vous les poursuivez en les accentuant depuis le 19 août 2017. Votre fausse virginité outragée et l’indécence de votre surprise feinte n’y changeront rien. Vous êtes un criminel et un sanguinaire. Sans doute découvrirez-vous avec surprise, certainement par voie de presse intoxicante, les meurtres et les exactions que provoque la horde de chiens affamés, l’armée tribale et l’ignominie des milices qui ont déferlé sur les populations togolaises aux mains nues sous le regard goguenard des forces de sécurité et leur sourcilleux encadrement. Vous serez certainement très surpris M. le président, quand vous apprendrez que depuis 2 mois on tue, on bastonne, on juge sommairement, on casse, on brûle, on fait disparaître des citoyens, on embastille sans raison et sans requête judiciaire, on confisque à tour de bras, on terrorise, on met à sac, on tire à balles réelles parfois sur les populations, on lacère les corps et les vies avec des câbles en fer, on terrorise femmes, enfants et vieillards, on rend fantomatique par une féroce chasse à l’homme les villes de Sokodé, Mango, Bafilo et les villages environnants. Votre surprise sera grande de savoir que Kara est une ville en état de siège sans justification et que les autorités de l’opposition sont entravées dans leur mouvement, humiliées et empêchées de rentrer dans la ville de Kara notamment et que Lomé n’est plus que l’ombre d’elle-même ? C’est criminel.
Somme toute, qu’un chef de l’État tombe à ce niveau de cécité volontaire, de bassesse incommensurable et de déni de la réalité indique juste son incompétence et son manque de stature. Le peuple ne peut que lui opposer le sourire philosophique du mépris et poursuivre sa marche héroïque vers sa libération totale des rets d’un si médiocre usurpateur. M. Faure Gnassingbé a décidément administré la preuve qu’il ne mérite pas le peuple togolais qu’il prétend diriger et envers qui il n’a aucun égard. Même pas la politesse du ventre.
Monsieur le président, vous auriez mieux fait de demeurer dans votre mutisme. L’ironie dédaigneuse de votre parole ne sied guère à la gravité du moment. Vous n’avez assurément pas le sens de l’histoire. Peut-être auriez-vous celui de la formule : « Si la parole que tu vas dire n’est pas plus belle que le silence, alors tais-toi »(proverbe arabe).
Jean-Baptiste K.
Culture: Les comédiens ne vivent pas de leur passion à Conakry ; di...
Written by Saidou DIALLO - FMLiberte Conakry, Freetown, MonroviaEn séjour à Conakry, le président de la maison des jeunes Tourcoing en France, Antoine Bailloeul nous parle de son regard porté sur le théâtre guinéen, dans un entretien accordé à votre site d’information. Interview
Lisez !
fmliberte : Quel constat faites-vous sur le théâtre guinéen depuis votre séjour à Conakry ?
Antoine : On peut avoir un musée national ou un théâtre national, balai national en guinée, mais comment on peut donner des moyens à ses structures là, pour transmettre, accompagner, ses jeunes comédiens pour mieux se former et être connu. Le théâtre national guinéen devrait être une forme d’école, qui doit proposer des pièces pour tout le monde avec des comédiens qualifiés, en rémunérant ces comédiens.
fmliberte: Vous êtes là depuis quelques temps, qu’avez-vous constatés sur les comédiens guinéens ?
Antoine : avec toutes les difficultés que doit avoir un comédien à Conakry entre survivre et vivre, je ne pense pas rencontrer des comédiens qui vivent de ce métier-là à Conakry, ils ont besoins d’un petit boulot à coté, et qu’il est appelé par la compagnie, le transport, le mangé, il assure tout en fonction de sa volonté, alors qu’ils voudraient vivre de leur art, de leur passion, comme ceux de l’Europe. Des talents y en a, mais aucune structure ne vienne pour appuyer et structurer ces talents, il faut amener ces compagnies, ces comédiens, à grandir, et à devenir professionnels.
fmliberte : Vous utilisez beaucoup le pronom « ON » on doit soutenir, on doit accompagner, vous voulez vous adresser à qui ?
Antoine : rire, y a une part importante du ministère de la culture qui permet à la formation , des financements des compagnies , des structures, pour permettre aux comédiens de trouver asile , un environnement où ils peuvent se développer, il faut que le fond public soit devant, après le public doit savoir que le comédien doit vivre de son métier, alors il faut payer en suivant un spectacle, c’est une façon de voir la société, de l’appréhender, et c’est une façon de lire la vie en société au biais de la culture, cela, est super important.
fmliberte: Comment pouvez-vous définir la culture de façon générale ?
Antoine : Si vous voulez, la culture est, ce que nous permet d’être homme, par la culture, on construit notre esprit critique, on construit notre regard, on construit la relation qu’on doit avoir avec l’autre et proposer une vision d’être en société, une vision d’être ensemble, en un mot c’est le poil à gratter de l’homme. C’est pourquoi il faut toujours entretenir notre partie culturelle.
fmliberte: Est-ce y a une différence entre la tradition et la culture ?
Antoine : la culture veut dire je me construis moi-même, il y a la culture familiale, la culture religieuse, la culture traditionnelle. La tradition, c’est ce que j’ai acquis.
A rappeler qu’Antoine bailoeul est l’homme qui a fait voyager pour la première fois, le premier groupe de rap guinéen « kill point » en France pour produire des spectacles.
Saidou Diallo
Formons nos Bataillons de Patriotes pour la Guerre Invisible Multidime...
Written by Komdedzi Kofi FOLIKPO , Computational Linguistics
L'heure n'est plus aux longues prêches politiciennes et lénifiantes pour une prétendue "paix" de cimetière ou pour une prétendue "stabilité" étouffante au TOGO et dans toute l'Afrique de l'Ouest!
L'heure n'est plus aux fausses prêches des faux "pasteurs" et autres faux "imams" cupides qui préfèrent se ranger du côté de l'oppresseur par manque de courage civique et par amour pour l'argent!
L'heure n'est plus à une attention futile accordée aux simagrées stupides des faux "Hũnɔ" alimentaires qui prétendent "purifier" le TOGO par des hécatombes de pauvres cabris et béliers!
L'heure n'est plus aux faux débats idéologiques et aux fausses polémiques des pseudo-intellectuels sur un juridisme de caniveau!
L'heure n'est plus aux "dialogues" de sourds avec des criminels qui se croient en terrain conquis et croient bêtement avoir le droit de Vie et de Mort sur les autres!
Les lamentations, les jérémiades et la résignation fataliste n'ont jamais libéré un Peuple opprimé, spolié et massacré! Un Peuple en détresse peut recevoir la compassion et le soutien des Peuples frères et amis, mais il demeure lui-même le principal Artisan de sa propre Libération et de sa propre Rédemption, grâce aux sacrifices multiformes et à l'abnégation infinie de ses Filles et de ses Fils.
Chaque Peuple ayant le dos au mur ou trouvant le loup dans la bergerie conçoit toujours légitimement ses moyens de défense, en fonction des ressources dont il dispose, en fonction de son Patrimoine spirituel, culturel et historique. Et il doit le faire prioritairement au nom de ses Intérêts collectifs et vitaux qui doivent toujours avoir la primauté sur des intérêts partisans et étrangers.
La récidive de la barbarie monstrueuse des Milices armées déversée le 18 Octobre 2017 contre des milliers de Manifestants pacifiques par le cruel régime archaïque de Faure GNASSINGBÉ indique que le Peuple Togolais doit enfin se doter légitiment des moyens de combat encore plus efficaces pour se ressusciter du Monde de Hadès où il a été longtemps enterré, cicatriser ses plaies et renaître dignement dans l'intérêt de sa Postérité.
Chaque Citoyenne et chaque Citoyen doivent alors comprendre enfin que le Peuple Togolais n'est pas simplement dans une lutte politique ou partisane pour un simple changement de mode de gouvernement! Ils doivent comprendre que le Peuple Togolais est plutôt en guerre larvée depuis longtemps et doit se battre âprement pour sa Survie! Oui, le Peuple Togolais est en guerre non pas contre un Peuple frère à l'est, contre un Peuple frère à l'ouest ou contre un Peuple frère au nord de ses frontières nationales!
Il est en guerre, non pas contre des envahisseurs étrangers venus par l'Océan atlantique ou par les airs pour lui arracher sa Terre Ancestrale et ses immenses Richesses naturelles pour lui imposer violemment des idéologies mortifères!
Il est plutôt en guerre contre un cruel Ennemi impénitent de l'intérieur qui lui a dérobé depuis 50 ans sa Liberté chèrement acquise et sa Dignité âprement conquise pour le ravaler gravement dans les tréfonds de la déshumanisation la plus abjecte.
La thérapie pour les grand maux demande de recourir aux grands remèdes.
Le Peuple Togolais dont la Survie est si gravement menacée aujourd'hui doit légitimement recourir aux moyens guerriers parfaitement adaptés à la grave Menace que le régime cruel de Faure GNASSINGBÉ fait planer sur sa Survie depuis 2005, comme son sinistre géniteur l'initia dès 1963.
Une approche globale et holiste de solution guerrière proposée ici aux Patriotes Togolais repose sur le Concept inédit de la "Guerre Invisible Multidimensionnelle" dont la mise en application pourrait permettre aux Togolaises et aux Togolais de se débarrasser rapidement de la malédiction et de la calamité que constitue le violent régime cruel et archaïque de Faure Essozimna GNASSINGBÉ.
- Qu'est-ce que la Guerre Invisible Multidimensionnelle?
Par opposition à la Guerre de basse intensité classique, le Concept de la Guerre Invisible multidimensionnelle (GIM) est issu d'une ébauche de Doctrine militaire endogène qui émane de notre propre réflexion systématique sur le long drame togolais ainsi que sur les régimes néocoloniaux cruels et avilissants décimant l'ensemble des Peuples Africains depuis les années 1960. Il s'agit d'une ébauche de Concept original prioritairement focalisé sur les Questions de Défense et de Sécurité des Peuples Africains gravement spoliés et déshumanisés depuis longtemps, et mérite d'être approfondi plus tard grâce à d'autres apports empiriques, théoriques et méthodologiques, en vue de contribuer ainsi à l'élaboration de véritables Politiques endogènes de Défense et de Sécurité adaptées aux besoins réels, aux aspirations légitimes et aux réalités propres aux Peuples Africains.
L'idée de la Guerre Invisible Multidimensionnelle va au-delà de la Guérilla classique pour englober d'autres formes de Guerre visant la Libération d'un Peuple gravement avili et décimé par un régime violent, cruel, corrompu qui s'appuie sur des soutiens extérieurs souvent cyniques, saprophytes et nébuleux tels que des pays étrangers néocoloniaux et des multinationales prédatrices.
La Doctrine militaire sur laquelle repose le Concept de la Guerre Invisible Multidimensionnelle est dénommée la "Doctrine des 4 D", car elle s'appuie sur les Quatre Principes fondamentaux suivants:
- la Détermination
- la Discipline
- la Dextérité
- la Discrétion
Le Principe de Détermination stipule que le/la Patriote Combattant/e une fois engagé/e dans le Combat de Libération doit être prioritairement focalisé/e sur l'Idéal collectif de la Liberté de la Patrie et du Progrès individuel et collectif. Il doit être convaincu qu'il ne met pas inutilement sa propre Vie en danger mais plutôt pour des Idéaux, car il/elle le fait pour sa propre Dignité, pour son Bien-être social et psychologique ainsi que pour l'Avenir de ses propres descendants.
Le Principe de la Discipline stipule que le/la Combattant/e une fois engagé/e doit savoir dans quel(s) domaines précis il (ou elle) apporte sa/ses contribution/s et avec quel(s) Co-Combattant(s) il agit en fonction de ses propres compétences et aptitudes, pour ne pas s'engager individuellement sans but et de façon chaotique dans des actions qui sont au-delà ou en-deçà de ses aptitudes sans avoir l'aide et les appuis nécessaires pour les mener à bout.
Le Principe de la Dextérité stipule que chaque Combattant/e agit avec Précision et au bon moment sur une Cible bien précise et bien définie, en synchronisation avec les autres Co-Combattants de son domaine et des domaines immédiatement connexes. Cela permet d'éviter le gaspillage inutile des Ressources et du Temps.
Le Principe de la Discrétion stipule que le Silence, l'Anonymat et le Serment de la Non-Dénonciation, même face à la Mort, entourent les activités des Combattants.
Si les régimes militaires les plus violents et les plus oppressifs dans l'Histoire n'ont pas pu venir facilement à bout des Guérillas classiques, ce n'est pas un régime néocolonial s'appuyant simplement sur une Armée néocoloniale de Supplétifs et sur des Milices génocidaires hétéroclites recrutées à tour de bras au TOGO et dans d'autres pays de la sous-région ouest-africaine qui pourrait résister longtemps à une Guerre Invisible et Multidimensionnelle appliquant la Doctrine des 4 D.
La dénomination de "Guerre invisible" vient du fait qu'il ne s'agit pas d'une belligérance conventionnelle plaçant une Armée régulière appuyée par des Miliciens mercenaires recrutés par un régime illégitime et prédateur en face d'une Armée d'Insurgés patriotes ou de Mutins patriotes décidés à mettre fin au règne de la tyrannie, de la cruauté gratuite, de la prédation et du non-droit.
Cette dénomination vient surtout du fait qu'il n'existe aucun front visible en des lieux fixes et permanents, même si certaines cibles visées et incarnant les intérêts vitaux du régime illégitime prédateur et cruel et de ses alliés se trouvent en des lieux fixes.
La dénomination de "Guerre multidimensionnelle" vient du fait que les opérations sont à la fois militaires, para-militaires, civiles et qu'elles se passent sous forme de Guerre spirituelle, de Guerre médiatique, de Guerre psychologique, de Guerre économique, de Guerre électronique et de Guérilla mobile difficilement saisissable, comme le schéma ci-après en donne une illustration.
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Schéma illustrant le Concept de la Guerre Invisible Multidimensionnelle (GIM). (Copyright: PYRAMID OF YEƲE, 2017) |
La particularité d'une Guerre Invisible Multidimensionnelle réside dans le fait qu'elle peut permettre à une petite poignée de Patriotes déterminés, discrets, disciplinés et doués à mettre en déroute grâce à des moyens et ressources visiblement modestes un violent régime archaïque, cruel et corrompu qui s'appuie sur un armada hétéroclite de plusieurs milliers de Militaires et de miliciens cruels et violents équipés d'une quincaillerie militaire impressionnante.
Une Guerre spirituelle dans le cadre d'une Guerre Invisible Multidimensionnelle n'a rien à voir avec une prétendue "guerre religieuse" ou avec une prétendue "guerre sainte". Elle est une forme de Guerre dans laquelle des moyens occultes et magiques sont intensivement déployés pour d'une part fortifier collectivement l'état d'esprit combatif des Patriotes Combattants et leur procurer résistance psychique nécessaire. Elle permet de mener d'autre part une offensive très agressive contre les tenants du régime illégitime qu'on combat.
Des Rituels occultes et magiques sont exécutés de façon discrète et ciblée à cet effet pour agir à distance sur le Psyché, sur le Mental et surtout sur l'Énergie vitale (Ka) de certaines figures-clé dans le sérail du régime cruel et oppressif.
Des morts subites et mystérieuses frappant certaines figures principales et certains laudateurs alimentaires dans le sérail du violent régime de Faure GNASSINGBÉ à un moment crucial, des accidents mystérieux frappant des partisans fanatiques de ce régime criminel à un moment crucial, des maladies mystérieuses frappant ces sinistres individus de façon inattendue, des scandales et des drames familiaux frappant certains caciques du régime sont intentionnellement provoqués de façon ciblée en recourant discrètement à des Rituels authentiques de la Magie pratique (Dzoka) afin d'affaiblir considérablement le régime ubuesque à travers ces caciques et déstabiliser psychologiquement ses partisans cruels et fanatiques.
Tout le monde peut comprendre à présent que les avalanches des décès subits et la recrudescence des accidents mortels ayant frappé certains caciques du violent régime de Faure GNASSINGBÉ ces derniers temps ne relèvent pas du pur et simple "hasard" ...
Et les partisans cruels de ce violent régime tout comme ses laudateurs alimentaires fanatiques doivent s'attendre au pire dans les semaines et mois à venir, même s'il advenait que Faure GNASSINGBÉ doit s'éclipser subitement à la tête de ce régime, car les processus occultes sont déjà déclenchés par plusieurs Guerriers spirituels en divers endroits et doit provoquer les effets attendus jusqu'à leur terme ...
Des moyens occultes et magiques sont également déployés de façon ciblée et discrète pour embrouiller sérieusement à distance le Psyché et le Mental de certaines figures-clé du régime afin de les pousser à prendre des décisions irrationnelles, suicidaires et fatales sans se rendre compte que le régime pourrait tomber ainsi dans son propre piège. Il s'agit de pousser ces personnes de façon invisible à commettre des erreurs suicidaires dont l'effet finira par se retourner contre le régime tout entier pour le discréditer aux yeux de tout le monde et pour créer même de graves dissensions internes au sein du régime.
Les effets concrets de telles Actions occultes à distance sont entre autres des états d'âme "rationnellement" inexplicables de confusion mentale, d'anxiété, d'apathie, de paranoïa, de hallucination que nombre des caciques violents du régime cruel de Faure GNASSINGBÉ connaissent actuellement sans doute et affichent même parfois à travers leurs actes, à travers leurs comportements et leurs propos en public, sans avoir le courage de le reconnaître honnêtement et sans comprendre réellement ce qui leur arrive ....
Le premier cas illustratif des effets concrets de ces influences occultes à distance sur le Psyché et le Mental de ces caciques du régime est la proposition totalement "irrationnelle" faite par dame Bernadette Balouki-Legzim de couper arbitrairement la connexion internet durant les manifestations pacifiques de la population togolaise. La piètre dame demi-lettrée et ses "coreligionnaires" au sein du cruel régime ténébreux n'ont pas du tout songé au tollé général que leur action allait provoquer à l'échelle planétaire en raison des graves conséquences économiques de cette coupure pour les opérateurs économiques tant nationaux qu'étrangers, pour les institutions étrangères représentées au TOGO ou en liaison avec le TOGO, pour les représentations diplomatiques accréditées au TOGO!
Le deuxième cas illustratif est la précipitation chaotique avec laquelle Christophe Tchao, Christian Trimua, David Ekoude Ihou et Gilbert Bawara entre autres ont brandi "leur solution" totalement absurde et irrationnelle de "référendum", avant de réaliser que les conditions ne sont pas remplies pour la tenue d'un tel référendum dans un délai si bref.
Le troisième cas illustratif de décision contre-productive prise sous des influences occultes par les sieurs Christophe Tchao, Gilbert Bawara et Ingrid Awadé est celui du récent déploiement suicidaire des violentes milices à la date du 18 octobre 2017 par le régime de Faure GNASSINGBÉ qui sait pourtant très bien que les graves massacres génocidaires commis en 2005 par les mêmes milices au profit personnel de Faure GNASSINGBÉ constituent déjà un grave passif pour lui-même et pour son régime héréditaire qui doit en principe tout faire pour éviter une récidive!
Qu'on ne soit donc pas surpris que Faure GNASSINGBÉ et ses caciques cruels actuellement très embrouillés (sans le savoir, bien sûr!) en ce moment, vont continuer de multiplier ces erreurs suicidaires qui les poussent chaque jour davantage vers leur effondrement total et irréversible ...
La Guerre spirituelle va parfois plus loin en recourant à des pratiques occultes de la Haute Magie (Kagbo) pour provoquer en cas de besoin des phénomènes naturels (tempêtes, ouragans, pluies diluviennes et inondations, attaques mortelles d'insectes venimeux ou de reptiles venimeux, etc.) destinés à perturber sérieusement la planification ou l'exécution des actions agressives de ces ennemis ou à perturber leur regroupement ...
Quant à ce qui concerne la Guerre médiatique qui consiste dénuder sérieusement le groupe ennemi devant l'opinion publique à travers les Média en se focalisant intensivement sur ses points faibles, sur ses graves erreurs et sur ses plans et stratégies macabres, on peut affirmer sans trop se tromper que le régime ubuesque de Faure GNASSINGBÉ l'a déjà largement perdue, grâce au concours de deux circonstances.
La première circonstance vient de l'erreur suicidaire commise par certaines pontes du régime de Faure GNASSINGBÉ (sous l'effet des influences occultes sans doute) en optant pour le black out médiatique et pour la censure médiatique radicale, aussi bien envers les organes de média togolais qu'envers la Presse étrangère et internationale.
Le retrait de l'accréditation à la Journaliste française d'origine africaine Emmanuelle SODJI sans raison objective et valable par exemple, a produit plutôt l'effet contraire de ce que le régime espérait, et a amené la Presse étrangère et les réseaux sociaux à braquer davantage leurs projecteurs sur le drame togolais pour dénuder complètement le régime archaïque, cruel et inhumain de Faure GNASSINGBÉ.
La deuxième circonstance est liée aux tentatives désespérées du piètre sieur déboussolé Toba TANAMA et de la salope béninoise aux moeurs légères Rekya MADOUGOU tous deux très proches de Faure GNASSINGBÉ qui visaient à redresser la barre dans la Guerre médiatique qu'ils ont visiblement déjà perdue. C'est ainsi que ces deux loubars sulfureux ont mis en place leurs réseaux obscurs pour s'adonner à des calomnies mensongères et manipulatrices sur certaines chaînes de télévision béninoises, pour faire publier à coups de millions de Francs CFA des articles bidons et mensongers dans certains hebdomadaires internationaux, pour déverser des jeunes désoeuvrés sur les réseaux sociaux (Youtube, Facebook et Twitter entre autres) et sur les sites internet togolais afin qu'ils y fassent de la diversion de bas étage ou qu'ils y narguent bêtement les Togolais à travers des mensonges provocateurs. Ils sont même allés dans leurs tentatives désespérées jusqu'à faire créer des sites internet bidons dans l'unique but d'y diffuser des contre-vérités diffamatoires et grotesques sur certaines Personnalités des Partis politiques et sur certains Leaders d'opinion citoyenne au TOGO et dans la Diaspora Togolaise.
Mais la popularité de plus en plus croissante pour ces Personnalités et pour ces Leaders d'opinion citoyenne à l'échelle nationale et mondiale malgré ces campagnes médiatiques mensongères et diffamatoires ajoutée au battage médiatique de plus en plus intense des Média privés nationaux et de la Presse internationale sur le drame togolais prouve à suffisance que ces tentatives malveillantes du régime cruel et archaïque de Faure GNASSINGBÉ dans la Guerre médiatique ont plutôt produit l'effet contraire!
Les Combattants de la Guerre médiatique ont donc tout intérêt à persévérer dans leur engagement patriotique et humanitaire qui produit déjà des résultats très efficaces.
La Guerre psychologique quant à elle vise à affaiblir substantiellement l'ennemi en agissant de façon ciblée à travers la Parole, les Écrits et les Images sur la pensée et l'état d'âme de l'ennemi, soit directement sur lui-même ou soit indirectement à travers ses proches et ses intimes.
Il s'agit de harceler de façon très intense certains caciques du régime et leurs proches choisis de façon ciblée en les bombardant de manière massive et collective avec des images agressives et humiliantes, avec des appels téléphoniques agressifs et humiliants, avec des tracts ou des spots agressifs et humiliants exposant sur la place publique des faits peu honorables dans leur vie professionnelle ou privée.
La Guerre psychologique qui se distingue du simple lynchage médiatique et de la simple diffamation médiatique tire sa Force psychologiquement destructrice de la Véracité des faits négatifs allégués sur la vie professionnelle et privée de l'ennemi à abattre, ajoutée à la Précision stylistique avec laquelle ils sont exposés et au Canal médiatique approprié qui est utilisé pour les diffuser à grande échelle.
S'il est vrai que certaines initiatives actuellement dirigées contre le sinistre bourreau Damehane YARK et contre ses progénitures montrent que certains Patriotes togolais mènent déjà cette Guerre psychologique, il faut faire remarquer qu'elle n'est pas encore suffisamment intense et ne touche pas encore suffisamment une grande majorité des ennemis du Peuple Togolais qui sont regroupés au sein de la pègre ténébreuse de Faure GNASSINGBÉ.
Les Psychologues-Guerriers doivent donc intensifier leurs actions, élargir leurs réseaux de Co-Combattants et prendre davantage d'ennemis du Peuple Togolais qui ne cachent même pas leur volonté de nuisance gratuite pour leur cible.
Quant à la Guerre économique contre un régime cruel et inhumain comme celui de Faure GNASSINGBÉ, elle ne s'inscrit pas dans la logique de la concurrence économique, comme cela se passe habituellement dans le domaine purement économique et commercial.
Elle consiste plutôt à ruiner systématiquement les opérateurs économiques constituant le soutien pour ce régime inique ou prospérant allègrement à son ombre sans vouloir se soucier de sa grave nuisance cynique pour l'Intérêt général et pour les Populations en général.
Ruiner systématiquement les opérateurs économiques soutenant cyniquement le régime cruel et sanglant de Faure GNASSINGBÉ peut consister à saboter intentionnellement les entrepôts et les cargaisons de marchandises de ces opérateurs économiques indélicats, à saboter intentionnellement les infrastructures de production et de distribution appartenant à ces opérateurs économiques sans scrupules, à faire de la mauvaise propagande pour leurs produits de consommation en mettant en avant la nuisance (réelle ou supposée) de ces produits pour la santé des consommateurs, à encourager la contrefaçon de ces produits afin de casser le monopole détenu par ces opérateurs économiques ....
La dimension de la Guerre économique demeure malheureusement un terrain en friche à peine exploité dans le contexte actuel au TOGO. En effet, certaines multinationales françaises véreuses qui constituent un soutien cynique de taille pour le régime cruel de Faure GNASSINGBÉ, toutes les sociétés commerciales appartenant aux innombrables maîtresses de ce dernier et aux barons du régime, les multiples sociétés commerciales ou de services dont le clan GNASSINGBÉ et les barons corrompus du régime ubuesque sont les actionnaires monopolistes, certains commerçants grossistes monopolistes ouest-africains aimant pêcher cyniquement en eau trouble au TOGO à travers leur soutien caché au violent régime assassin de Faure GNASSINGBÉ, n'ont pas subi jusqu'aujourd'hui des actions de rétorsion et de représailles significatives.
Or, leur visibilité ostentatoire et provocatrice ajoutée à la quasi-impossibilité pour leur affecter en permanence et en tous lieux des agents de sécurité en nombre suffisant ou des systèmes de protection infaillibles en tout lieu les exposent librement à toute action de rétorsion et de représailles!
Il devient donc très impérieux que des Bataillons de Guerriers économiques se forment très rapidement aussi bien au TOGO que dans la sous-région ouest-africaine et partout ailleurs où ces opérateurs économiques cyniques ont leurs ramifications et leurs intérêts, pour appliquer rigoureusement la "méthode du poisson dans une piscine qui s'assèche", afin de neutraliser de façon significative tous ces soutiens économiques de taille pour le violent régime archaïque de Faure GNASSINGBÉ.
Le volet de la Guerre électronique demeure également un vaste terrain laissé malheureusement en friche dans le contexte actuel au TOGO, quoique les Togolaises et les Togolais (surtout ceux de la Diaspora dans les pays occidentaux) comptent beaucoup de Ressources humaines talentueuses pour mener efficacement une telle guerre à grande échelle.
La Guerre électronique consiste à prendre d'assaut les infrastructures informatiques du groupe ennemi, à s'infiltrer dans les réseaux informatiques du groupe ennemi, à cibler les serveurs, les équipements informatiques et de télécommunication du groupe ennemi, pour les saboter systématiquement afin d'infliger de lourdes pertes économiques et financières au groupe ennemi, mais aussi lui clouer sérieusement le bec dans sa tentative de communiquer en interne et de communiquer avec l'extérieur.
Les techniques d'attaque par DDoS, d'attaque par Ramsonware ou de piraterie par Phishing par exemple peuvent être aisément déployées aujourd'hui de façon très intense en tout point du globe en direction des tenants du régime assassin de Faure GNASSINGBÉ et en direction de leurs soutiens cyniques intérieurs et extérieurs, sans grands frais pour les Cyber-Guerriers et sans disposer d'une très grande expertise en Ingénierie informatique!
S'il est vrai que certaines tentatives récentes d'attaque sur les serveurs de la Télévision Togolaise prouvent qu'il y a une prise de conscience au sein des Patriotes Togolais (surtout au sein de la Diaspora Togolaise Combattante dans les pays occidentaux) pour le recours systématique à la Guerre électronique dans la phase très critique actuelle du drame togolais, il est déplorable qu'elle n'est pas menée jusqu'aujourd'hui de manière plus intense et plus endémique en ciblant avec précision les Points très névralgiques des infrastructures informatiques et des systèmes d'informations du régime archaïque de Faure GNASSINGBÉ et de ses soutiens et suppôts cyniques tant intérieurs qu'extérieurs!
Les Patriotes Togolais ayant des connaissances suffisantes en Informatique (et surtout dans le domaine de la Sécurité informatique et des Réseaux informatiques) doivent rapidement prendre en main la Guerre électronique pour la mener très intensivement afin que le régime hautement criminel et dangereux de Faure GNASSINGBÉ puisse être mis rapidement hors d'état de nuire aussi bien pour le Peuple Togolais que pour toute la sous-région ouest-africaine déjà secouée par plusieurs violents soubresauts meurtriers.
Le dernier volet de la Guerre Invisible Multidimensionnelle est celui de la Guérilla mobile et concerne dans le contexte actuel togolais principalement les Jeunes Patriotes Togolais qui se battent héroïquement sur le Sol Ancestral Togolais et dans les autres pays de la sous-région ouest-africaine où les intérêts vitaux et mirobolants des tenants du régime criminel de Faure GNASSINGBÉ, de ses soutiens cyniques et de ses suppôts saprophytes fleurissent allègrement en appauvrissant et en paupérisant le Peuple Togolais.
Ces intérêts vitaux colossaux et clairement identifiables vont des super-marchés splendides sous des prête-noms aux complexes hôteliers luxurieux en passant par les sociétés de distribution de produits pétroliers, de distribution de produits de consommation et par les sociétés de courtage immobilier qui sont tous créés sur le dos du pauvre Contribuable togolais.
Contrairement à l'idée triviale généralement répandue, une Guérilla mobile n'a pas besoin nécessairement d'une base-arrière retranchée de façon permanente dans une forêt ou dans un quartier populaire et encore moins de gigantesques moyens militaires. Comme son nom l'indique, elle fonctionne principalement par le mécanisme de la Mobilité qui lui confère un caractère de Flexibilité et de Présence permanente quasi-invisible en tout lieu. Déjà l'idée de la Présence de cette menace permanente en tout lieu constitue un stress psychologique pour les personnes qui sont conscientes d'être dans le viseur de cette Guérilla mobile capable de les frapper en tout moment!
Beaucoup de Togolais, et plus particulièrement les jeunes Togolais totalement exaspérés à juste titre, crient très souvent depuis longtemps sur les réseaux sociaux et sur les sites internet qu'il faut leur procurer des armes pour affronter légitimement le régime cruel de terreur de Faure GNASSINGBÉ. Ils ne se rendent pas compte qu'il est pratiquement utopique en l'état actuel des choses d'acheminer clandestinement une cargaison de quincaillerie militaire en direction du TOGO sans tomber dans la gueule du loup! Il ne se rendent pas compte qu'il faut d'importants moyens militaires, logistiques et financiers, si l'on doit affronter un tel régime militaro-clanique cinquantenaire (appuyé par ses alliés néocoloniaux extérieurs) sur son propre terrain favori de la Guerre conventionnelle qu'il souhaite d'ailleurs vivement sous forme de Guerre civile au TOGO et qu'il tente de provoquer cyniquement par tous les moyens depuis longtemps.
Le TOGO et le Peuple Togolais n'ont pas besoin d'une Guerre civile inutile avant de se débarrasser proprement du vieux régime violent et cruel de Faure Essozimna GNASSINGBÉ.
Et les armes ainsi que les stratégies et moyens militaires et para-militaires pour affronter et évincer militairement ce violent régime sont déjà à la portée de main en réalité. Ils nécessitent simplement d'être identifiés, d'être maîtrisés pour être bien déployés de manière efficace.
La faiblesse de la machine militaro-clanique d'apparence très lourde et intimidatrice sur laquelle repose le régime archaïque de Faure GNASSINGBÉ se trouve plutôt dans son incapacité évidente à faire face une véritable Guérilla mobile méthodiquement bien préparée!
L'efficacité des actions libératrices d'une Guérilla mobile réside dans son recours à des moyens de combat visiblement très simples et dans son organisation méthodique en des Cellules d'Actions semi-autonomes composées chacune de 5 à 6 Guerriers au maximum!
Les mesures de protection extrême pour les membres de ces Cellules d'Action semi-autonomes sont entre autres:
- La discrétion absolue de l'engagement patriotique de chaque Membre, même vis-à-vis des membres de sa propre famille;
- La forte Confiance mutuelle et la ferme Solidarité de groupe entre les Membres de la Cellule d'Action;
- Le maintien du train de vie quotidien normal, malgré les activités souterraines (la méthode des "Cellules dormantes");
- L'habileté à s'adapter rapidement à un environnement social pour ne pas être traqué en permanence, pour ne pas éveiller des soupçons et pour ne pas être dénoncé aux agents du régime;
- La disponibilité pour une grande mobilité dans la plus grande simplicité (en empruntant les transports en commun ou les engins à deux roues par exemple);
- Les mesures simples et pratiques pour brouiller la traçabilité par GPS des téléphones mobiles éventuellement utilisés (Une de ces mesures simples et pratiques pour brouiller la traçabilité par GPS est brièvement décrite sur Youtube sous le lien https://www.youtube.com/watch?v=Kwo82ranB28 ); éviter au besoin d'avoir les téléphones à proximité pendant les réunions clandestines (pour éviter les risques d'espionnages téléphoniques)!
- Un Langage codé et interne propre aux Membres de la Cellule pour leurs activités.
La répartition des tâches pratiques au sein d'une Cellule d'Action semi-autonome après l'identification collective d'une Cible précise (et seulement une seule à la fois!) ou d'une Personne-cible précise à frapper à un moment précis se présente généralement comme suit:
- Deux Combattant(e)s pour l'Opération flash et surprise de Frappe, suivie de la disparition rapide du lieu de l'Opération sans emporter quoi que ce soit (pour éviter toute traçabilité policière);
- Deux Combattant(e)s pour l'Opération de Veille stratégique et de Soutien tactique avant et durant l'Opération;
- Un/e ou deux Combattant(e)s pour l'Opération de Liaison avec d'autres Cellules parallèles semi-autonomes et avec l'extérieur pour le ravitaillement.
L'Opération de Frappe-éclair demande une préparation minutieuse préalable de l'ensemble des Membres de la Cellule d'Action. Cela commence par le choix de la Personne ciblée, de la Cible et de la date de l'Opération.
L'Opération de Veille stratégique et de Soutien tactique concerne l'exploration du champ d'Opération en vue d'identifier les risques ou les chances de réussite. Elle se charge également de sécuriser l'environnement durant l'Opération à travers une surveillance impeccable des lieux.
L'Opération de Liaison porte sur le ravitaillement de la Cellule en Informations pertinentes, très actuelles et stratégiques, mais aussi sur les moyens de subsistance provenant de l'Effort de Guerre fourni par les Sympathisants qui mobilisent leurs soutiens matériels et financiers (principalement au sein de la Diaspora) sous la bannière d'aide humanitaire aux victimes de la barbarie du régime cruel combattu.
Quelques précautions très importantes à prendre par toute Cellule d'Action engagée dans une Guérilla mobile dans le contexte actuel du TOGO peuvent être entre autres les suivantes:
- Éviter les enlèvements et les prises d'otages! Un pays comme le TOGO est trop petit et est militairement trop quadrillé pour permettre la réussite de telles genres d'action!
- Éviter d'attaquer de façon aveugle et gratuite un Militaire, un Gendarme ou un Policier en faction devant un camp militaire, devant un poste de Gendarmerie ou de Police, car cela est inutile et contre-productif! Ces simples exécutants en faction ne représentent pas l'épicentre du système oppressif de décision, ne sont pas forcément des proches directs des barons du régime et encore moins des objets de valeur appartenant aux barons du régime cruel et corrompu de Faure GNASSINGBÉ. Mais un Militaire, un Gendarme, un Policier ou un Milicien clairement identifiés comme étant quelques uns des meurtriers sans pitié et quelques uns des tortionnaires cruels massacrant allègrement les pauvres Togolaises et Togolais méritent bien sûr de subir des Actions de représailles et de rétorsion à titre individuel. Mais ceci doit se faire de façon isolée et ciblée en dehors de ces lieux précités!
- Éviter toute annonce préalable par tapage médiatique inutile en direction de la Personne ciblée avant de passer à l'acte, et tout mettre en oeuvre pour éviter toute fuite d'informations avant l'Opération!
- Éviter l'indulgence et la pitié envers un baron ciblé du régime en croyant naïvement le prévenir préalablement pour recevoir de l'argent de sa part en contre-partie! Les caciques du cruel régime de Faure GNASSINGBÉ n'ont pas de sentiment pour les autres, ne respectent aucune Vie humaine et ne respectent jamais la Parole donnée! Tout/e Combattant/e qui se livrerait à ce jeu alimentaire par cupidité met sa propre Vie et celle des autres Co-Combattant(e)s gravement en danger!
- Prendre toujours soin de revendiquer l'Action une fois accomplie avec succès au nom de la Cellule d'Action (qu'on peut baptiser par exemple comme "Brigade du Colonel Tepé" ou bien "Peloton du Soldat Amao", ou encore "Bataillon Amorin" en l'honneur de nos Martyrs), en gardant toujours l'Anonymat! Car cette revendication donne du sérieux à l'Acte patriotique posé et le distingue ainsi des actes vulgaires de grand banditisme ou de terrorisme religieux ou idéologique.
De tout ce qui précède on peut enfin retenir que les Jalons sont clairement posés dans les paragraphes précédents pour la mise en place de Cellules d'Action d'une Guérilla mobile qui ne demande pas de gros moyens financiers, logistiques ou militaires, mais simplement le sang-froid, l'imagination, la vigilance, la réactivité, l'esprit de Patriotisme, le dépassement de soi, et peut-être un peu d'entraînement discret pour certaines actions ...
La taille très réduite de telles Cellules d'Action qui doivent opérer sur le terrain au TOGO ou dans d'autres pays ouest-africains permet facilement d'envisager des soutiens directs et discrets sous forme de "parrainage" de la part des Patriotes Togolais vivant hors d'Afrique.
- En Marche pour la Libération du TOGO partout où se trouvent les Patriotes Togolais!
La confiance mutuelle entre les Institutions d'État n'existant plus que de nom au TOGO et l'ensemble des Citoyens togolais est gravement sapée depuis longtemps par la culture de la cruauté, de la violence gratuite, du déni de droit, du mépris, de la spoliation, de la déshumanisation entretenue par le régime de Faure GNASSINGBÉ et dont le summum est atteint aujourd'hui à travers la répétition des massacres à caractère génocidaire par des Milices armées sous sa bénédiction depuis le 19 Août 2017.
Dès l'instant où cette confiance mutuelle entre Institutions d'État et Citoyens est gravement sapée, le Contrat social garantissant la Paix sociale est aussi gravement compromis et demande que des Actions énergiques et hardies soient entreprises pour pour assainir l'environnement socio-politique et réparer le tissu social et national gravement abîmé.
Le déploiement délibéré des Milices armées qui sont appuyées dans leurs basses besognes de nettoyages génocidaires par des Militaires, par des Gendarmes et par des Polices du violent régime de Faure GNASSINGBÉ ainsi que leur effraction violente avec des Armes de Guerre (!) dans les domiciles privées des pauvres Populations togolaises sans défense, constituent objectivement des Actes de Guerre qui méritent des Ripostes adéquates par Actes de Guerre!
Les Patriotes Togolais sont donc aujourd'hui dans l'obligation patriotique de recourir à tous les moyens partout où ils se trouvent pour procéder à un Acte collectif de Salubrité publique en débarrassant le cruel régime archaïque de Faure GNASSINGBÉ dans les plus brefs délais, aussi bien dans l'intérêt du Peuple Togolais que dans l'intérêt de toute la sous-région ouest-africaine et dans l'intérêt des partenaires et amis du TOGO.
Les paragraphes précédents ont largement expliqué comment certains volets de la "Guerre Invisible Multidimensionnelle" sont déjà efficacement opérationnels, tandis que d'autres le sont faiblement et tandis que d'autres encore nécessitent d'être rapidement activés.
Si les Togolaises et les Togolais veulent la Liberté totale, ils doivent absolument se mobiliser partout où ils se trouvent pour mener une Guerre totale et multidimensionnelle avec leurs Bataillons invisibles
Les volets de la Guerre Invisible et Multidimensionnelle qui ne sont pas encore entièrement opérationnels nécessitent d'être rapidement activés ou intensifiés.
Une vingtaine de Patriotes Togolais (surtout au sein de la Diaspora dans les pays occidentaux par exemple) ayant des habiletés dans le domaine informatique doivent renforcer les Bataillons déjà opérationnels dans la Guerre électronique en formant leurs Cellules d'Action depuis leur lieu de résidence et depuis leur lieu de travail pour prendre d'assaut à distance les serveurs ainsi que les réseaux et infrastructures informatiques des divers services du régime cruel de Faure GNASSINGBÉ et des opérateurs économiques togolais et étrangers qui le soutiennent dans sa cruauté d'un autre âge.
Ils doivent le faire à titre de Riposte légitime aux Actes de Guerre répétés du violent régime de Faure GNASSINGBÉ, en nonobstant toute considération juridique ou éthique, puisque le Peuple Togolais est actuellement en guerre!
Une trentaine de Patriotes Togolais regroupés par exemple en 5 Cellules d'Action de 6 Membres chacune peuvent valablement mener la Guerre économique sur le terrain au TOGO et dans les autres pays de la sous-région ouest-africaine, en organisant des Actes de Sabotage systématiques des sociétés commerciales détenues par les caciques et affidés tant togolais qu'étrangers du violent régime de Faure GNASSINGBÉ. Par diverses méthodes et actions ils doivent saboter systématiquement les marques de leurs produits commerciaux distribués, saboter systématiquement leurs réseaux de distribution commerciale, saboter systématiquement leurs entrepôts et cargaisons tant au TOGO que dans d'autres pays ouest-africains et africains.
Ils doivent faire tout ceci à titre de Riposte légitime aux Actes de Guerre répétés du violent régime de Faure GNASSINGBÉ, en nonobstant toute considération juridique ou éthique, en raison de leur soutien cynique au régime cruel de Faure GNASSINGBÉ. Ces Ripostes sont des Actes de Guerre légitimes, puisque le Peuple Togolais est actuellement en guerre et en situation de légitime Défense!
Une trentaine de Patriotes Togolais regroupés par exemple en 5 Cellules d'Action de 6 Membres chacune sont en mesure de mener vaillamment dans différentes localités du TOGO des Représailles violentes, sporadiques et furtives contre des caciques togolais et étrangers du violent régime de Faure GNASSINGBÉ et contre leurs proches immédiats en visant essentiellement leur intégrité physique!
De telles Actions de Guérilla mobile qui doivent être toujours revendiquées par les Cellules d'Actions respectives pour les démarquer des actes vulgaires de grand banditisme ou de terrorisme ne sont nullement posées au nom d'un Parti politique régulièrement constitué ou au nom d'une Organisation citoyenne officiellement constituée!
Elles ne doivent pas non plus se passer au cours des manifestations pacifiques organisées par des Partis politiques ou par des collectifs de Mouvements citoyens, même s'il est évident que tous mènent le même Combat patriotique et que certains Combattants peuvent avoir des affinités pour tel ou tel parti politique!
Ces Actions doivent plutôt être particulièrement dirigées contre les violents Miliciens sans foi ni loi que l'on peut facilement surprendre au dépourvu dans la circulation, en des lieux qu'ils fréquentent habituellement ou en des lieux vers lesquels on peut les attirer dans un traquenard par plusieurs ruses et stratagèmes!
Elles doivent être particulièrement dirigées de façon ciblée contre certains Hommes et Femmes en Uniforme qui sont excessivement zélés et cruels contre les Populations pour le compte du violent régime de Faure GNASSINGBÉ et dont on connaît d'ailleurs très souvent l'identité, le domicile et les mouvements quasi-quotidiens dans la circulation!
Elles doivent être particulièrement dirigées contre les proches immédiats de ces violents Miliciens et de ces Hommes et Femmes minoritaires en Uniforme qui sont d'ailleurs bien connus pour leur cruauté.
Ces Représailles ciblées sont des Actes de Guerre légitimes, puisque le Peuple Togolais est actuellement en guerre et en situation de légitime Défense!
Les moyens matériels de combat dans une Guérilla mobile commencent habituellement avec de simples objets, de simples produits et de simples ustensiles qui sont utilisés avec beaucoup d'intelligence, avec beaucoup de finesse et avec beaucoup d'habileté pour accéder à d'autres matériels de combat plus coercitifs et plus performants. Mais on se sert toujours au départ de ces moyens modestes mais efficaces pour mettre hors d'état de nuire l'ennemi en le prenant en étau de façon isolée ou attirée dans un traquenard, avant d'en arriver éventuellement aux armes à feu qu'on parviendrait à arracher à l'ennemi une fois qu'il est neutralisé.
Ces moyens élémentaires de combat vont de simples matériaux comme la pierre brute, comme les cordes à grimper et comme les filets de pêche et de chasse jusqu'aux produits chimiques et pharmaceutiques tels que les acides brûlants, les sprays lacrymogènes, les gouttes somnifères, les armes blanches, les outils de travail tels que les pelles et pioches pour creuser rapidement des nids de poule circonstanciels sur les routes et pistes ou les barricader avec des dalles, les marteaux et burins pour fendre les murs d'entrepôts, les planches cloutées pour dégonfler les pneus des véhicules ennemis ...
Les appuis et soutiens que ces Cellules d'Action de Guérilla mobile peuvent recevoir de la part des Patriotes Togolais de la Diaspora Togolaise vivant dans les pays occidentaux sont essentiellement d'ordre financier et stratégique ou sont sous forme de soutien moral et médiatique aux Combattants intrépides.
Conclusion.
On peut retenir en définitive de tout ce qui précède que le Concept de Guerre Invisible Multidimensionnelle peut permettre à tout Patriote vivant au TOGO ou hors du TOGO de s'impliquer activement dans le Lutte patriotique de Libération de la Patrie soit en devenant un Combattant actif à niveau précis dans cette Guerre Multidimensionnelle en fonction de ses aptitudes, de ses ressources, de ses relations sociales, de sa disponibilité et de son lieu de résidence, ou soit en soutenant activement l'Effort de Guerre sous forme de contribution en nature ou en argent à travers les structures de Mobilisation citoyenne sérieuses qui sont à l'avant-garde de la Lutte patriotique, en vue de soutenir les divers Combattants et venir en aide aux multiples victimes.
Le cas togolais pourrait bien devenir un cas d'école et ouvrir de nouveaux horizons aux Peuples Africains dans la conception endogène de leurs Politiques de Défense et de Sécurité adaptées à leurs réalités socio-culturelles et répondant aux grands défis sécuritaires actuels et futurs.
Références bibliographiques pour approfondissement thématique et méthodologique.
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- FREUND, Julien: La Guerre dans les Sociétés modernes. Collection Encyclopédie de La Pléïade, Volume III: "Histoire des Moeurs", Paris: Gallimard. 1927.
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- HALL, Stephen: The Persistent Spectre: Natural Law, International Order and the Limits of Legal Positivism, EJIL, Volume 12, N° 2, 2001.
- MARTENS (De), Frédéric: La Paix et la Guerre. Paris: Rousseau, 1901.
- MATTÉI, Jean-Mathieu: Histoire du Droit de la Guerre (1700 - 1819). Aix-Marseille: Presses Universitaires d'Aix-Marseille, 2006.
- PUFENDORF, Samuel: Le Droit de la Nature et des Gens. (traduit du néerlandais par Jean Barbeyrac). Amsterdam: Éditions Gerad Kuyer, 1706.
- ROLIN Albéric Baron: Le Droit moderne de la Guerre: les principes, les conventions, les usages et les abus, 3 Volumes, Bruxelles: Éditions A. Dewit, 1920/1921.
- SIMMEL, Georg: Der Krieg und die geistigen Entscheidungen. Reden und Aufsätze. München/Leizig: Duncker & Humblot: 1917.
Lenzburg (SUISSE), le 24 Octobre 2017.
[1] Contacts:
PYRAMID OF YEƲE
CH-5400 Baden (SUISSE)
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Burkina: Le récit de la chute de Compaoré, heure par heure
Written by Nono FMLiberte - LomePart 1
Il a suffi de trois jours pour que Blaise Compaoré soit poussé dehors par le peuple. Mais trois jours minutieusement préparés, comme le révèle l'enquête de "Jeune Afrique". Retour, heure par heure, sur la chute de l'ex-président burkinabè.
À compter les berlines carbonisées le long du bâtiment principal, à voir les dizaines de milliers de documents qui, dans la cour, jonchent un tapis de verre, de câbles et de mobilier éventré, à observer les murs noircis par les flammes de ce qui, il y a de cela quelques jours, devait être le lieu du "sacre" de Blaise Compaoré, on imagine aisément la tempête humaine qui a dévasté l’Assemblée nationale le 30 octobre.
Et l’on comprend vite qu’il s’y est passé un miracle ce jour-là : pas de mort, pas même de blessé grave ; au sol, pas une tache de sang. Il y a peut-être eu quelques chevilles foulées dans le sauve-qui-peut, mais aucun des 127 députés et des dizaines de fonctionnaires qui occupaient les lieux en ce jour historique n’a eu à subir dans sa chair la colère du peuple.
Vingt-sept ans et quinze jours après son accession au pouvoir, le jeudi 15 octobre 1987, entachée à jamais par la mort de Thomas Sankara, son frère d’armes, de révolution et (ce fut longtemps une réalité) de coeur, Blaise Compaoré est tombé sans que ni lui, ni ses proches, ni même ses partisans n’aient versé une goutte de sang. Les "martyrs" de l’insurrection (onze selon des sources diplomatiques, une trentaine selon l’opposition) étaient tous des manifestants.
Trahison
Vingt-sept ans et quinze jours donc, et non pas seize. Car s’il a fui le pays le 31 octobre, et si les historiens retiendront que sa démission a été officialisée un vendredi à 11 h 32, c’est bien la veille que Compaoré a perdu le pouvoir. Un jeudi, encore une fois.
La genèse de sa chute remonte cependant à bien plus loin. Ceux qui l’ont côtoyé jusqu’au bout ont bien du mal à la situer, mais tous évoquent le 4 janvier 2014 comme un moment clé. Ce jour-là, trois semaines à peine après qu’il a dévoilé son intention de modifier la Constitution afin de briguer un nouveau mandat en novembre 2015, ceux qui avaient bâti avec lui son régime l’ont lâché. Roch Marc Christian Kaboré, Simon Compaoré, Salif Diallo…
Ce divorce, vécu au palais de Kosyam comme une trahison, a radicalisé le premier cercle de Compaoré : son frère, François, tout-puissant conseiller économique, la "belle-mère nationale", Alizéta Ouédraogo (une femme d’affaires dont la fille a épousé François dans les années 1990 et qui a vampirisé, depuis, l’économie nationale), et les membres du bureau politique de son parti, le Congrès pour la démocratie et le progrès (CDP), devenus de redoutables courtisans. "Si Roch et compagnie arrivent au pouvoir, on est morts", répètent ces derniers à longueur de journée. Ils n’ont pas oublié que leur ascension, en 2012, n’a été possible que grâce à la mise à l’écart des "historiques". Leurs arguments portent. "Si je ne reste pas, je suis foutu", finit par se convaincre le président.
Le goût du pouvoir
Mais le coeur n’y est pas. Compaoré n’a plus le goût du pouvoir – l’ami qui l’affirme raconte : "Un jour, dans l’avion qui venait d’atterrir sur la piste de l’aéroport de Ouagadougou, le regard perdu vers l’extérieur, il m’a dit : "Je suis fatigué de tout ça…"" Un autre compagnon de palabres qui lui rendait régulièrement visite à Kosyam déclare : "Il se donnait deux ou trois ans pour organiser sa succession et s’assurer que ses proches ne seraient pas les victimes du nouveau régime."
C’est pour tout cela – ce mélange de lassitude et d’instinct de survie – qu’il n’a pas écouté les conseils des plus radicaux de ses proches, qui l’exhortaient à revenir aux bonnes vieilles méthodes qui, à la fin des années 1980 et tout au long des années 1990, ont constitué le socle de son pouvoir : la fermeté, l’intimidation, et, s’il le faut, la violence. "Certains lui disaient : "Fais peur à Roch, fais peur à Salif, boucle-les quelques jours." Mais il ne les a pas écoutés", raconte un autre habitué de Kosyam.
Et c’est aussi pour tout cela qu’il n’a pas entendu les nombreuses mises en garde de la France, des États-Unis, de certains de ses pairs africains et même de ses ministres à qui, dans le temps, il faisait confiance. Et qu’il a tenté de modifier la Constitution et de se représenter en dépit des notes alarmantes envoyées par les services de renseignements.
Aux rares personnes à qui il se confiait, et dont il savait qu’elles avaient accès au président, le général Gilbert Diendéré, le bras droit de Compaoré depuis son accession au pouvoir, l’homme clé de son régime, tout à la fois chef d’état-major particulier, patron du Régiment de la sécurité présidentielle (RSP) et coordinateur des services de renseignements, demandait : "Il faut que tu dises au président qu’il a perdu le sens des réalités." Mais le président n’entendait pas. "Il était dans une impasse et n’avait qu’une idée : franchir le mur qui se présentait à lui", explique l’un de ses ministres qui a tenté jusqu’au bout de le convaincre de ne pas y aller.
Désobéissance civile
L’idée qui germait depuis longtemps était de passer par la voie parlementaire, parce qu’un référendum, disait-il, serait "trop cher" et surtout "trop aléatoire". Il a fini par la dévoiler au dernier moment, le 21 octobre. Dès le lendemain, plusieurs organisations de la société civile, dont Le Balai citoyen , mouvement porté par une jeunesse qui n’a connu que Compaoré au pouvoir, appellent à la désobéissance civile.
On érige des barrages éphémères un peu partout dans la capitale, on occupe des places, on sillonne les quartiers pour mobiliser autant que pour mettre la pression sur les députés. Le 28 octobre, une masse indomptable – inimaginable même – prend la rue. Ils ne sont certainement pas 1 million, comme l’affirme l’opposition. Mais ils sont bien plus que les 50 000 manifestants que recense une police aveugle. On n’a jamais vu ça au Burkina, peut-être même dans toute l’Afrique de l’Ouest.
Compaoré ne peut plus nier l’évidence. Mais plutôt que de revenir à la raison, il fait prendre des dispositions qui, a posteriori, apparaissent bien dérisoires. Les 99 députés censés adopter la révision constitutionnelle sont ainsi "invités" à dormir à l’hôtel Indépendance, à 200 m de l’Assemblée nationale. Il s’agit de leur éviter les pressions populaires, mais aussi de leur permettre de gagner l’hémicycle sans emprunter la voie publique – un discret passage relie l’hôtel à l’Assemblée…
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Togo: Au secours les cagoules par Joseph Kokou Koffigoh Poème inédit
Written by Joseph Kokou Koffigoh Poème inéditDans les rues révoltées une très vieille espèce
De prédateurs aux yeux noirs cernés de tchador,
Fait son apparition et vient rouler sa caisse
Comme aux ères sombres des légions de la mort.
Contre quoi? Contre qui? Oh, est-il admissible
De voir des cagoules qu’on avait oubliées
Au fond de l’histoire, attaquer des cibles
Parmi les citoyens qu’on devrait protéger?
Pourquoi les policiers se font ainsi doubler
Par ces noirs Balakas qui préparent la guerre?
Je pèse bien mes mots; avons-nous oublié
Que les Centre-Africains peinent à s’en défaire?
Et vous chers gendarmes! Pourquoi ces miliciens
Sans galon dans les rues? Pour maintenir quel ordre?
Sommes-nous arrivés comme chez les Syriens
Au temps des milices qui sèment le désordre?
Cette provocation peut donner des idées
À tous ceux qui prônent partout la non-violence;
À la vue de ces gens, ils peuvent décider
De se vouer aussi à quelques fers de lance:
Des Anti-balaka qui pourraient contenir
L’arrogance des gens que la guerre civile
Tente hélas aujourd’hui, au lieu de soutenir
La paix dans la cité dont rêvent les civils.
Cette provocation, pourrait décourager
Ceux qui croient encore qu’il n’est pas impossible
D’amener l’Histoire à fumer le calumet
De la paix en rendant le dialogue possible.
Hâtez-vous! Dégagez les rues de ces cagoules
Qui n’ont rien à y faire, avant qu’il ne soit tard;
Avant que le peuple en colère, ne déboule
Comme un vent d’ouragan, sur les grands boulevards.
Un général disait: « on sait quand ça commence,
Mais on ne sait jamais où et quand ça finit ».
Ce général est mort, mais il faut que l’on pense
Toujours au proverbe qui n’a jamais vieilli.
Joseph Kokou Koffigoh
Poème inédit
Lomé le 18 octobre 2017
Guinée: Les cambistes de l’aéroport gbessia de Conakry, demandent ...
Written by Saidou DIALLO - FMLiberte Conakry, Freetown, MonroviaSuite à la décision du ministère de la sécurité et de la protection civile, qui est, de déguerpir tous les occupants des grandes artères de Conakry, les cambistes se trouvant à l’aéroport gbessia de Conakry se sentent concernés, ils lancent un appel aux autorités, par la voix de Boubacar Bah le chef syndicat de l’association des cambistes de l’aéroport gbessia Conakry. Interview
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fmliberte: Dites-nous comment vous vous êtes installé ici pour exercer cette activité ?
Boubacar Bah : Cette Association existe ici depuis longtemps, elle est différente des associations politique, de ressortissants ou des jeunesses, c’est une association commerciale. Nous étions à l’intérieur de l’aéroport mais vu les rénovations faites, ceux qui n’ont pas eu de local à l’intérieur sont venus ici à la devanture de l’aéroport.
fmliberte : Vous êtes beaucoup exposé avec des grosse sommes d’argent au vu et au su de tout le monde comment vous assurez votre sécurité ?
Boubacar Bah : La question est bien venue, grâce à la collaboration avec tous les corps confondu, la gendarmerie, la police, et les sociétés de gardiennages nous nous sentons bien en sécurité pour le moment, un Etat civilisé, est un Etat qui créer l’emploi ou qui accompagne ceux qui créer l’emploi donc nous les félicitons et remercions, c’est vrai nous sommes là exposé mais Dieu merci nous avons peu des problèmes dans ce sens.
fmliberte : Une campagne de déguerpissement de tous les occupants des différentes artères est en cours et vous êtes concernés, comment vous avez appris cette nouvelle ?
Boubacar Bah : Nous avons appris cette nouvelle comme tout le monde, nous ne pouvons pas nous opposer, c’est une décision de l’Etat, c’est une façon de permettre aux citoyens de circuler librement. Mais nous avons adressé un courrier aux autorités pour qu’elles nous aident à trouver un espace bien fait où nous pouvons exercer notre métier en toute sécurité ici à l’aéroport, pour rendre service à nos compatriotes et aux étrangers qui viennent en guinée, nous pouvons trouver une place dans les quartiers, mais c’est ici qui est bon pour nous et pour ceux qui viennent d’ailleurs.
fmliberte : Avez-vous des difficultés dans l’exercice de cette activité ?
Boubacar Bah : Oui surtout les faux billets, mais une fois que nous rencontrons ces faux billets nous les déposons au niveau de la gendarmerie tout en menant les enquêtes sur la personne qui détienne ce billet pour savoir si elle est victime ou mal intentionnée, d’autres difficultés aussi, c’est au niveau des banques, je vais leur dire de bien compter l’argent y a trop de manquant, y a beaucoup des pertes.
fmliberte : Avez-vous un appel à lancer à l’endroit des autorités ?
Boubacar Bah : Notre association est composée de trois catégories, notamment des vieux qui ont des familles à nourrir, des élèves qui n’ont pas de soutien leurs parents se trouvent à l’intérieur du pays « aux villages », des diplômés sans emploi, mais qui ont des besoins à satisfaire, donc sur ce, l’appel que je vais lancer c’est de dire aux autorités de trouver une place à l’aéroport ici où nous pouvons travailler sans être déranger à tout moment.
Saidou Diallo