Zoom News (387)
Guinée: A Kérouané des inconnus défèquent, brigandent et entretie...
Written by Saidou DIALLO - FMLiberte Conakry, Freetown, MonroviaDans une récente lettre adressée au Curé de Beyla Alexandre Cécé Lamah et aux chrétiens de la préfecture de Kérouané, le catéchiste de la paroisse de Saint Simon du district de Gbénko, ancienne cité AREDOR (sous préfecture de Banankoro), Casimir Tolno, a fait savoir que leur chapelle située au centre du village fait l’objet ces derniers temps de plusieurs pratiques indignes d’un lieu de culte de la part des inconnus.
Dans cette lettre, M. Tolon indiue que, des gens viennent souvent déféquer sur la terrasse de l’Eglise, s’attaquent aux passants et les dépouillent, une fois le crépuscule tombé.
Mieux, poursuit-il, des inconnus y entretiennent des rapports sexuels. Ceci se justifie par la présence fréquente sur les lieux, des slips ou soutiens gorges de filles ou de femmes abandonnés.
Casimir Tolno a enfin signalé que lorsqu’il a remonté l’information au niveau du sous préfet de Banankoro, le commandant Fran Mara, ce dernier a procédé à une large sensibilisation sur les antennes de la radio communautaire de Banankoro. Depuis cela, ces pratiques n’ont pas été observées pour le moment au niveau de la paroisse Saint Simon de Gbénko.
Togo: Les Corps Habillés togolais et la question cruciale de la Consc...
Written by Komdedzi Kofi FOLIKPO , Computational LinguisticsL'image globalement négative longtemps véhiculée par les Forces Armées Togolaises en tant que dernier rempart et pilier incontournable du violent régime sanguinaire et prédateur de GNASSINGBÉ-père-et-fils qui foule allègrement aux pieds les Droits humains les plus élémentaires et toutes les Lois de la République est assez connue à travers les multiples rapports des Institutions de l'ONU et des Organisations de Défense des Droits humains.
Les massacres à caractère génocidaire commis en divers endroits au TOGO en 2005 par les Militaires togolais aidés dans leurs basses besognes par des hordes de violents miliciens du régime pour permettre à Faure GNASSINGBÉ de s'accaparer illégitimement et illégalement de la fonction de Chef d'État de fait ont constitué l'objet de plusieurs enquêtes bien documentées qui attendent toujours dans les tiroirs de la Justice internationale et de certaines Juridictions nationales à travers le monde.
Mais la question brûlante et préoccupante suscitée par cette mauvaise réputation pour l'Institution militaire togolaise va au-delà de la polémique idéologique futile souvent ouverte par certains individus au nom d'un anti-militarisme chauviniste et idiot pour rechercher objectivement les causes lointaines et immédiates de ce dysfonctionnement institutionnel qui a longtemps causé de graves préjudices au vivre ensemble harmonieux.
Cette question cruciale et fondamentale ne se pose pas en termes de savoir si le TOGO a besoin d'une Armée ou n'en a pas besoin.
Elle consiste plutôt de savoir si cette Institution militaire dont la fondation remonte à l'époque coloniale a été bâtie sur des bases étatiques, politiques et doctrinales saines pour accomplir convenablement les Fonctions régaliennes qui sont les siennes.
Elle consiste de savoir de quel type d'Armée la Nation Togolaise a besoin et si la forme actuelle de l'Armée Togolaise correspond à ce type d'Armée dont le TOGO a réellement besoin pour faire face efficacement aux grands défis sécuritaires actuels et futurs.
Elle consiste de savoir si son Personnel militaire reçoit la Formation militaire adéquate flanquée de la Formation civique adéquate pour bien accomplir les Fonctions régaliennes qui lui incombent, car un Militaire mal formé est un assassin en puissance, comme Feu Thomas Sankara n'a jamais cessé de le répéter en bon Militaire.
Trouver les réponses idoines à ces questions cruciales demande qu'un bref regard rétrospectif, objectif et sans complaisance soit jeté sur la genèse et l'évolution de l'Armée Togolaise pour battre préalablement en brèche certains mythes aliénateurs. Ce regard rétrospectif préalable est nécessaire, car l'Histoire militaire du TOGO a été sciemment truffée pendant longtemps de graves contre-vérités destinées d'une part à exercer un grave contrôle mental aliénateur sur le Personnel militaire en activité sous le drapeau, et à camoufler d'autre part les activités ténébreuses et dévastatrices souvent menées sous le couvert de l'ensemble des Forces Armées Togolaises mais qui portent malheureusement de graves préjudices aux intérêts vitaux de la Nation Togolaise, du Peuple Togolais tout entier et des autres Peuples Africains.
Une initiative sérieuse de Refondation ou de Réhabilitation de l'Institution militaire et tout effort de Libération mentale et psychologique du Militaire togolais ordinaire ne peuvent pas aboutir, si le voile n'est pas préalablement levé sur ces mythes mensongers et aliénateurs qui portent malheureusement un coup très dur à l'implication harmonieuse et patriotique du Militaire togolais dans la vie de la Cité Togolaise.
- Le critère ethnique comme un simple cache-sexe propagandiste et manipulateur sur le dos des Forces Armées Togolaises sous Gnassingbé-père-et-fils.
Les laudateurs alimentaires de feu Eyadéma GNASSINGBE avaient toujours clamé de son vivant durant les fêtes pompeuses du 13 Janvier que celui-ci "créa" et "forgea" l'Armée Togolaise "à son image" (sic!).
Cette déclaration vaniteuse et flatteuse qui s'apparente à l'affirmation biblique selon laquelle Dieu créa l'Homme à son image, contient une petite demi-vérité à côté de deux gros mensonges.
Le premier gros mensonge dans cette déclaration porte essentiellement sur la genèse de l'Armée Togolaise faussement attribuée à feu Eyadéma GANSSINGBÉ.
Le deuxième gros mensonge concerne l'attribution fallacieuse de l'accès des Kabiyè au Métier des Armes grâce à l'avènement brutal d'Éyadéma GNASSINGBÉ dès 1963.
Pour ce qui est du premier gros mensonge, la vérité historique très têtue est que l'Armée Togolaise vit le jour depuis l'époque coloniale allemande (avec l'appellation de "Polizeitruppe"), puis a évolué modestement et graduellement jusqu'aux années 1960 en passant par l'époque coloniale française sous l'appellation de la Garde indigène, d'abord sous mandat de la Société des Nations après le départ des Allemands en 1914, puis sous la tutelle de l'ONU à partir de 1947.
Par décret du 28 Juin 1928, l'administrateur colonial français créa un Corps dénommé Milice indigène, à côté de la Garde indigène déjà existante et issue de la "Polizeitruppe" de l'époque coloniale allemande (Gayibor: 2011).
Ce Corps de Milice indigène dépendait hiérarchiquement du Commandement militaire français du Bataillon Autonome du Dahomey (basé à Ouidah) et assurait des fonctions militaires rudimentaires sur toute l'étendue du territoire.
Quand le Togo fut placé sous tutelle de l'ONU à partir de 1947, ce Corps de Milice indigène fut transformé en Compagnie d'Infanterie de Fusiliers Voltigeurs (FV) semi-motorisée, toujours sous le Commandement hiérarchique du Bataillon Autonome du Dahomey-Sud (BADS).
Ce Corps d'Infanterie qui était composé en 1947 de 319 Hommes (dont 4 Officiers européens et 13 Sous-Officiers européens) a constitué l'embryon de ce qu'on appelle aujourd'hui l'Armée Togolaise.
Une Compagnie de Gendarmerie a été créée entre temps à ses côtés pour les besoins de la cause durant la période de la Deuxième Guerre Mondiale, suite à un décret signé le 17 Septembre 1942.
Cette Gendarmerie embryonnaire quant à elle ne comptait que 97 Hommes dont 2 Officiers français de Gendarmerie, 27 Gendarmes français et 68 Auxiliaires togolais de Gendarmerie en 1957 (Gayibor: 2011).
S'il est vrai que le gros lot des membres de la Milice indigène devenue la Compagnie d'Infanterie des Fusiliers Voltigeurs (FV) était essentiellement recruté par l'administrateur colonial français dans le Cercle de Sokode et dans le Cercle de Mango, le critère déterminant ne reposait pas essentiellement sur l'appartenance ethnique, mais plutôt sur des réalités démographiques et géographiques qui ont été clairement identifiées par le colonisateur allemand dès 1897 (Von Massow: 2014).
En effet, les problèmes cruciaux d'accès permanent aux terres fertiles et cultivables ajoutées aux conditions climatiques précaires dans le Cercle de Sokode (comprenant à l'époque la Région montagneuse de la Kara) et dans le Cercle de Sansane-Mango pour une population en croissance rapide dans tous les Cercles administratifs du Togo allemand, avait conduit l'administrateur colonial allemand à intensifier les recrutements de ces populations dans le secteur des Travaux Publics, dans le secteur des plantations industrielles des régions méridionales et dans le secteur de la Sécurité publique pour ne pas assister plus tard à une explosion démographique dans des espaces géographiques aux ressources vitales limitées (Von Massow: 2014).
De tout ce qui précède, on conviendra que le TOGO disposait déjà à la date de son indépendance nominale vis-à-vis de l'envahisseur colonial français en 1960 d'une Compagnie d'Infanterie et d'une Compagnie de Gendarmerie qui avaient pris naissance depuis l'époque coloniale allemande pour évoluer progressivement en effectifs et en structures.
Cette Compagnie d'Infanterie et cette Compagnie de Gendarmerie n'étaient pas donc des créations de feu Eyadéma GNASSINGBE, étant donné que celui-ci n'intégra la Compagnie d'Infanterie qu'à la suite de l'assassinat crapuleux qu'il affirma lui-même avoir commis sur la personne du premier Président élu Sylvanus OLYMPIO le 13 Janvier 1963, dans l'unique ambition alimentaire d'être incorporé dans cette Armée embryonnaire déjà existante.
On conviendra également de tout ce qui précède que feu Eyadéma GNASSINGBE n'est pas celui qui a ouvert la voie aux Kabiyè vers le Métier des Armes, même s'il est vrai que leur recrutement dans l'Armée togolaise s'est accru avec son avènement.
En ce qui concerne la demi-vérité sur la boutade selon laquelle l'Armée Togolaise est à l'image d'Eyadéma GNASSINGBE, elle porte d'abord sur le rôle subalterne du Tirailleur colonial alimentaire au service de l'Armée coloniale française.
En effet, les fonctions principales attribuées à l'Armée coloniale en Afrique à sa création consistaient essentiellement au Maintien de l'ordre colonial, au sens propre comme au sens figuré (Blanchard & Glasman: 2012).
Maintenir l'ordre colonial signifiait d'une part faire régner la discipline draconienne et le respect scrupuleux des lois et règlements arbitraires imposés par l'administrateur colonial (allemand, puis français).
Mais maintenir l'ordre colonial signifiait d'autre part faire préserver les rapports de domination entre l'oppresseur colonial et l'opprimé africain par des moyens de la violence organisée.
Cela signifie clairement en d'autres termes que l'orientation doctrinale du recrutement et du déploiement des Corps habillés au TOGO depuis l'époque coloniale (allemande, puis française) n'était pas essentiellement axée sur les Fonctions régaliennes de la défense d'un "Territoire national" et d'une "Patrie" en cas d'agressions extérieures, mais était plutôt axée sur la préservation des intérêts de la métropole coloniale (la France) et des liens de domination qu'elle a établi par la violence inouïe avec les colonisés.
La formation rudimentaire inculquée aux Corps habillés était donc essentiellement axée sur cet esprit de Maintien de l'ordre colonial, c'est-à-dire sur une allégeance faite par le Corps habillé à l'oppresseur colonial pour aider ce dernier à se maintenir en place et pour préserver ses intérêts coloniaux, moyennant en retour une rémunération personnelle pour le Corps habillé.
Le Corps habillé était donc un vulgaire instrument de violence organisée, non pas au service de sa Patrie ou de sa Nation en Terre africaine, mais plutôt au service de la métropole de l'oppresseur colonial français et au service de son hégémonie coloniale.
Dans le souci de conserver sa présence militaire hégémonique et oppressive au TOGO comme partout ailleurs en Afrique même après son départ officiel devenu inéluctable, le colonisateur français rebaptisa habilement dès 1958 les "Bataillons d'Infanterie Coloniale" (B.I.C.) en "Bataillons d'Infanterie de Marine" (BIMa) et amadouaient les Indépendantistes africains à signer des accords secrets de "coopération militaire" (sic!) entre la France et les pays africains en voie d'indépendance nominale.
C'est ainsi que le Bataillon Autonome du Dahomey-Sud (BADS) couvrant le Territoire du TOGO devint le 8e Bataillon d'Infanterie de Marine (8e BIMa), tandis que le Bataillon Autonome de la Côte d'Ivoire devint le 5e BIMa et le Bataillon Autonome du Sénégal devint le 7e BIMa.
Au grand dam du Général Charles de Gaulle et de Jacques Foccart, le Président Sylvanus OLYMPIO (à l'instar du Guinéen Sékou TOURÉ) s'est vivement opposé à ces accords secrets et scélérats qui devraient permettre le maintien de ces Bataillons d'Infanterie Coloniale (B.I.C.) habilement rebaptisés. Son élimination physique afin de permettre le Maintien de l'ordre colonial au TOGO vis-à-vis de la France était donc devenue une option nécessaire et la démobilisation des anciens Combattants togolais de l'Armée coloniale française à la fin de la Guerre d'Algérie et du Vietnam (Indochine) offrait une aubaine pour renforcer ce Bataillon d'Infanterie Coloniale (B.I.C.), tout en abandonnant la dénomination de Bataillon d'Infanterie de Marine (BIMa) pour le désigner désormais comme étant simplement l'Armée Togolaise.
Le 10 Juillet 1963, soit juste 6 mois (!) après l'assassinat du Président Sylvanus OLYMPIO dans des conditions obscures, le Comité insurrectionnel (sic!) formé à hussarde le 13 Janvier 1963 pour justifier et revendiquer cet assassinat signa les fameux accords secrets de "coopération militaire" avec la France et ouvrit ainsi la voie à l'absorption massive des anciens Militaires togolais démobilisés de l'Armée coloniale française (dont Etienne Eyadéma GNASSINGBÉ, Emmanuel BODJOLLÉ, Robert ADEWUI et James Yaovi ASSILA entre autres) dans cette Armée embryonnaire (Toulabor: 2009).
Cette Armée Togolaise embryonnaire est ainsi replacée dès 1963 dans le rôle néocolonial de Maintien de l'ordre (néocolonial) au profit de l'Armée néocoloniale française en tant que simple horde de Supplétifs.
On peut retenir de tout ce qui précède que l'arrivée de feu Eyadéma GNASSINGBE dans l'Armée Togolaise sur la seule volonté hégémonique de ses maîtres coloniaux français en 1963 ne visait qu'à faire perpétuer un mode séculaire de recrutement établi depuis l'école coloniale.
On peut retenir également que son avènement ne visait qu'à perpétuer l'ordre colonial d'assujettissement et de spoliation établi depuis les années 1920 par l'envahisseur colonial français au détriment des populations togolaises.
On peut retenir par ailleurs que le grand souci des concepteurs de cet ordre colonial et néocolonial n'a jamais été l'épanouissement matériel et social de l'ensemble du Personnel militaire utilisé pour son maintien jusqu'à ce jour.
On peut enfin retenir de tout ce qui précède que la Défense des intérêts supérieurs de la Patrie, la défense de son espace maritime, aérien et terrestre ne se font pas prioritairement dans l'intérêt du Peuple Togolais, mais plutôt de manière extravertie au profit des intérêts géopolitiques et géostratégiques des milieux obscurs néocoloniaux français.
La seule appartenance à l'ethnie Kabiyè pour se faire enrôler dans l'Armée Togolaise n'a donc jamais été un facteur déterminant pour accéder à un épanouissement socio-économique en tant que Militaire togolais durant le long règne de feu Eyadéma GNASSINGBÉ et de son rejeton Faure Essozimna GNASSINGBÉ.
Cet aspect ethnique dans la composition de l'Armée Togolaise remonte à des réalités démographiques et socio-économiques depuis l'époque coloniale (allemande puis française) et a été fallacieusement utilisé tout simplement pendant longtemps par le violent régime de GNASSINGBE-père-et-fils pour faire croire vis-à-vis de l'extérieur à l'existence d'une "solidarité ethnique" sans faille au sein de l'Armée Togolaise constituant le principal pilier du violent régime. Le régime l'a également utilisé très souvent de façon fallacieuse pour faire croire à certains Natifs Kabiyè naïfs qu'ils seraient des "intouchables" dans la galaxie du régime de terreur et de prédation.
Mais les affaires scabreuses de Coup d'État (réel ou imaginaire) ayant concerné le Militaire Kabiyè Boko Bosso dans les années 1970 et ayant concerné le sieur Kpatcha GNASSINGBE (propre demi-frère de Faure GNASSINGBÉ!) en 2009 prouvent à suffisance qu'il n'existe nullement une prétendue "solidarité ethnique" totale et sans faille au sein de l'Armée Togolaise, contrairement aux tentatives récurrentes de manipulation souvent entreprises par le violent régime néocolonial des GNASSINGBÉ pour se maintenir en place contre vents et marrées.
- Une Milice minoritaire mafieuse au coeur des FAT avec des Pratiques occultes dévastatrices au détriment d'un Personnel militaire spirituellement aliéné.
Il a été déjà souligné avec démonstration dans une Publication récente (Folikpo: 2017 [2]) que l'épicentre du violent pouvoir néocolonial exercée par le régime archaïque et décadent de GNASSINGBE-père-et-fils se trouve au sein d'un réseau obscur français de prédation et de spoliation qui ne comprend que le langage de la violence et auquel il faut aussi toujours répondre par le langage de la violence de quelque forme que ce soit, que ce soit au TOGO ou ailleurs.
Il a été également souligné dans cette Publication que l'exécution des actes criminels de prédation et de spoliation au profit de ce réseau obscur français tant au TOGO que dans d'autres pays africains se passe très souvent sous le couvert des Forces Armées Togolaises au sein desquelles un noyau minoritaire d'Officiers médiocres et hautement mafieux regroupés à travers des liens ataviques, familiaux et occultes autour de la personne de feu Eyadéma GNASSINGBE constitue la véritable cheville ouvrière de ce réseau obscur français.
Ce qui est très important de préciser sur ce noyau mafieux d'Officiers très proche à feu Eyadéma GNASSINGBE, est qu'une loi d'omerta scellée par un pacte occulte de Sang constitue le fondement ténébreux de leur solidarité dans toutes sortes de vilenies, de cruauté et de crimes odieux.
Des rituels sanglants, violents et inhumains incluant même l'absorption de breuvages dits de "fortification"(sic!) qui sont préparés à base de Sang humain et d'ingrédients provenant de certains fauves féroces, de certains reptiles et de certaines plantes (dont on tait volontiers les noms ici) constituent le ciment de ce pacte occulte hautement secret qui réunit ces Officiers médiocres dans leurs entreprises ténébreuses.
Il s'agit en réalité d'un grave dévoiement de certaines pratiques occultes guerrières issues de certains Terroirs ancestraux africains que ces piètres Officiers de pacotille hautement gloutons et improductifs dévergondent gravement en les ravalant dans le domaine vulgaire de la Sorcellerie (Àdzé) à travers l'usage du Sang humain et d'autres organes humains ...
Un tel dévoiement conduit naturellement à l'inversion arbitraire et abrupte des Valeurs et des Principes et à l'usage inapproprié de l'Agressivité. C'est ainsi que ces médiocres Officiers de pacotille une fois trempés dans de telles pratiques occultes travesties et galvaudées se croient illusoirement dotés d'une super-puissance illimitée qui les placerait au-dessus de toute Loi militaire, civile, naturelle et même cosmique.
La première conséquence psychique et spirituelle néfaste pour ces individus peu scrupuleux est une inflation démesurée de leur ego qu'ils tentent toujours de placer au-dessus de tout dans leurs relations professionnelles et sociales ainsi que dans leurs activités de groupe.
On peut comprendre alors à présent pourquoi un climat de tension permanente et de méfiance permanente règnent entre ces médiocres Officiers de pacotille qui sont trempés dans ces pratiques obscures issues de graves travestissements et qui n'hésitent pas de se livrer à des guerres fratricides souterraines très meurtrières à travers des intrigues surréalistes, à travers des délations mensongères et à travers de sordides complots meurtriers.
Les cas les plus illustratifs d'un tel climat délétère et mortifère sont la fin tragique et humiliante de Narcisse Yoma DJOUA et celle de Assani TIDJANI qui furent pourtant parmi les Officiers les plus proches et les plus zélés dans le cercle personnel ténébreux et très restreint de feu Eyadéma GNASSINGBE ...
La deuxième conséquence néfaste de telles pratiques occultes galvaudées est le grave travestissement de certaines Traditions militaires hautement sacrées telles que la Présentation du Soldat au Drapeau.
En effet, la cérémonie de Présentation au Drapeau dans la Tradition militaire dans plusieurs pays du monde est une cérémonie solennelle de Prestation de Serment du nouveau Soldat à la Nation qu'il est appelé à défendre et à protéger, en prenant à témoin les Divinités guerrières du Terroir ancestral de cette Nation.
Rome antique par exemple organisait cette cérémonie solennelle dans une vaste plaine dénommée "Champ de Mars" qui était le Sanctuaire sacré de la Divinité guerrière romaine dénommée Mars (en rapport avec les qualités astrologiques de la Planète Mars).
L'Armée française naissante avait hérité cette Tradition militaire de la part des Romains (à travers les Légionnaires romains), l'a intégrée dans son patrimoine vaille que vaille pour finalement la transmettre plus tard aux Armées coloniales et néocoloniales africaines où beaucoup de personnes ignorent même l'origine et la raison d'être de cette cérémonie solennelle.
Un culte bigot de la personnalité autour de feu Eyadéma GNASSINGBE s'est malheureusement instauré dans la cérémonie de Présentation au Drapeau et dans d'autres Rituels militaires dans le contexte militaire togolais depuis des décennies, au point où le Soldat togolais ne prête pas Serment à la Nation Togolaise et encore moins à une quelconque Divinité guerrière du Terroir Ancestral Togolais, mais fait plutôt littéralement une allégeance aveugle et bigote à la personne de feu Eyadéma GNASSINGBE et à son violent régime d'oppression, de spoliation et de prédation (même après sa disparition!).
Voilà le côté occulte dangereux et très subtil dans lequel cette petite minorité mafieuse regroupée autour de feu Eyadéma GNASSINGBE a toujours enfermé les Hommes en Uniforme togolais, souvent à l'insu de ces derniers!
C'est donc à cause de cet embrigadement spirituel et psychique par ce noyau mafieux et ténébreux au sein de l'Armée Togolaise que le Militaire ordinaire togolais n'a jamais pris son courage à deux mains pour recourir à l'Objection de Conscience qui demeure un Droit humanitaire fondamental pour tout Militaire dans toutes les Armées normales du monde, lorsque ce dernier est arbitrairement poussé par son Supérieur hiérarchique à exécuter des ordres contraires à ses propres convictions éthiques.
C'est à cause de cet embrigadement spirituel et psychique par ce noyau mafieux et ténébreux au sein de l'Armée Togolaise que le Militaire ordinaire togolais n'a jamais osé revendiquer légitimement ses Droits les plus élémentaires qui sont toujours grossièrement bafoués!
C'est à cause de cet embrigadement spirituel et psychique par ce noyau mafieux et ténébreux au sein de l'Armée Togolaise que le Militaire ordinaire togolais est devenu la risée parmi tous les Militaires ouest-africains, car il n'en faut pas la moitié des graves brimades et injustices subies par les Militaires togolais pour que les garnisons entrent en ébullition par de violentes mutineries dans des pays ouest-africains comme le Burkina Faso, la Côte d'Ivoire ou le Mali!
Les quelques rares Militaires togolais spirituellement éveillés qui finissent par prendre conscience graduellement des travestissements grossiers et égoïstes de ces Rituels militaires sont soit assassinés dans des conditions obscures ou sont radiés de l'Armée sous des accusations fallacieuses.
On peut donc comprendre de tout ce qui précède que cette "armée secrète" dans l'Armée Togolaise dont les membres sont pourtant bien connus et clairement identifiables, constitue la véritable pègre violente qui commet ou fait commettre de graves forfaits au profit des milieux obscurs français et à leur propre profit personnel, en jetant ainsi de graves discrédits sur l'ensemble de l'Institution militaire togolaise et même sur leurs commanditaires néocoloniaux français!
Le cas d'exemple le plus emblématique cité actuellement dans les milieux militaires de l'ONU est celui du sieur Gnakoude BÉRÉNA de Pya qui appartient à cette "armée secrète" hermétique gratuitement violente au sein des FAT et qui accepta volontiers et bigrement de faire massacrer froidement des centaines de Civils ivoiriens sans défense dans un camp de Réfugiés à Douékoué, dans l'unique but de créer la Terreur et la Psychose généralisée dans tout le pays!
Il est également celui-là qui a fait capturer le Président ivoirien Laurent GBAGBO dans sa résidence présidentielle, sans s'appuyer sur une Procédure judiciaire dûment déclenchée et sans une déclaration de guerre formelle de la part des Forces de l'ONUCI à l'État souverain de la Côte d'Ivoire, puisqu'il n'existait aucun Mandat d'arrêt délivré par la Justice ivoirienne ou par la Justice internationale au moment où il faisait massacrer d'innocentes personnes juste pour faire capturer un Chef d'État contre lequel aucune charge pénale n'était dûment constituée jusque là!
Les Militaires togolais d'hier et d'aujourd'hui qui sont spirituellement éveillés et qui ont souvent aidé discrètement les Porte-voix citoyens externes comme Notre Organisation citoyenne à lever un pan de voile sur ces graves dysfonctionnements institutionnels à travers nos Publications critiques et objectives sur l'Institution militaire, doivent humblement reconnaître que c'est eux qui font silencieusement, efficacement et courageusement la véritable Révolution militaire depuis l'intérieur pour une véritable Refondation des Forces Armées Togolaises au service de la Nation Togolaise.
- Comment le Militaire, le Gendarme et le Policier togolais peuvent éveiller ou aiguiser leur Conscience Citoyenne pour l'émergence d'une Armée Togolaise Républicaine.
La volonté délibérée de maintenir les Forces Armées Togolaises dans le rôle vulgaire d'une armée néocoloniale de Supplétifs au service de l'Armée néocoloniale française pour le "maintien de l'ordre néocolonial" défendant des intérêts obscurs français en Afrique, transparaît à travers l'absence d'une véritable Politique nationale de Défense et de Sécurité clairement définie de manière autonome par les Acteurs politiques, citoyens et militaires togolais dans l'intérêt supérieur de la Nation Togolaise.
Brailler qu'on souhaite vivre dans une paix de cimetières au Togo n'est pas encore la définition d'une véritable Politique cohérente de Défense et de Sécurité.
Réduire cyniquement un Peuple sans défense au silence par la terreur des armes et par la violence militaire gratuite en prétextant offrir ainsi la "paix" à ce Peuple, n'est pas du tout la définition d'une véritable Politique de Défense et de Sécurité.
Faire le trafic de la quincaillerie militaire française en Afrique sous le prétexte fallacieux de "maintien de la paix" (qui n'est rien d'autre que le "maintien de l'ordre néocolonial"!) n'est pas encore la définition d'une véritable Politique cohérente de Défense et de Sécurité.
Amadouer fallacieusement le gros lot des Militaires togolais avec un texte confus pompeusement dénommé "Statuts des Forces Armées Togolaises", sans en appliquer une seule ligne au profit de ces Militaires, n'est pas encore la définition d'une véritable Politique cohérente de Défense et de Sécurité.
Une véritable Politique nationale de Défense et de Sécurité d'une Nation est toujours axée sur la protection des intérêts vitaux de la Nation, sur la protection les Ressources vitales nécessaires pour la Vie harmonieuse et pour l'épanouissement harmonieux de tous les Citoyens, sur la sauvegarde de la Dignité et de la Fierté des Citoyennes et Citoyens en tant que Fils et Filles d'une même Nation.
Sans une véritable Politique de Défense et de Sécurité au profit prioritaire de la Nation, les Forces Armées ne peuvent pas mener leurs activités selon des Doctrines militaires clairement définies et ne peuvent pas mettre leur Personnel militaire dans de bonnes conditions de travail et de vie pour être au service de la Nation toute entière.
Comme cela a été expliqué plus haut, le premier problème fondamental concernant les Corps Habillés togolais en général et concernant les Forces Armées Togolaises en particulier est l'emprise occulte et psychique que cette minorité mafieuse d'Officiers de pacotille a toujours cherché à exercer sur l'ensemble des Corps Habillés pour les endormir spirituellement afin qu'ils ne réclament pas légitimement de bonnes conditions de travail et de vie dans l'exercice de leurs activités qui devraient être toujours placées dans l'intérêt supérieur de la Nation Togolaise.
Cette emprise occulte et aliénatrice sur l'Homme togolais ordinaire en Uniforme le ravale malheureusement au rang d'une vulgaire chair à canon pour l'Armée néocoloniale togolaise et française (Folikpo: 2017 [1]), comme l'Armée coloniale française avait cyniquement utilisé par le passé des centaines de milliers de "Tirailleurs nègres" pour libérer l'Europe de sa barbarie inter-européenne congénitale et pour être cyniquement payés en monnaie de singe en retour.
A ce problème fondamental d'ordre occulte vient s'ajouter le refus délibéré du régime cinquantenaire de GNASSINGBE-père-et-fils de dispenser au Personnel militaire la Formation civique et la Formation militaire adéquates pour faire du Militaire togolais un Citoyen exemplaire.
Mais on note heureusement que sur le plan de la Prise de Conscience Citoyenne, un éveil timide a commencé à se manifester dans les rangs des Corps Habillés togolais, lorsqu'on observe attentivement par exemple l'Engagement citoyen de certains (anciens) Militaires et Gendarmes togolais accusés à tort ou à raison dans des affaires scabreuses d' "atteinte à la sûreté de l'État".
Cet Éveil des consciences nécessite d'être encouragé et intensifié à travers un travail pédagogique et un soutien matériel et moral, car le violent régime néocolonial de GNASSINGBÉ-père-et-fils a fait délibérément main basse sur la Formation civique et la Formation professionnelle des Hommes togolais en Uniforme, dans l'espoir vain de les maintenir dans une dépendance éternelle. En effet, les tenants de ce violent régime cynique pensent vraisemblablement qu'un Corps Habillé bien formé sur le plan civique et professionnel constitue sans doute une menace potentielle pour leur régime archaïque fondé sur la violence gratuite, sur l'oppression, sur la spoliation, sur la manipulation psychologique.
Conclusion.
Les Togolaises et les Togolais ont crucialement besoin de l'émergence d'une Armée républicaine émanant de toutes les composantes de la société togolaise pour protéger leurs immenses Ressources naturelles et énergétiques vis-à-vis des prédateurs extérieurs, pour les faire fructifier pour eux-mêmes et pour en faire profiter à des nations amies qui se respectent et respectent le Peuple Togolais.
Ils ont besoin d'une Armée légaliste, républicaine et performante pour ne pas se laisser détruire par des mouvements idéologiques violents qui nient la Dignité humaine et les Droits humains fondamentaux.
Ils en ont besoin pour protéger jalousement leur Patrimoine culturel ancestral cyniquement tourné en dérision dans leur propre pays, mais marchandé à prix d'or à l'extérieur.
Mais la question centrale concernant la nécessité de l'émergence d'une telle Armée légaliste, républicaine et performante est de savoir de quel type d'Armée le TOGO a-t-il besoin.
A-t-il besoin d'une Armée de conscription demandant le service militaire obligatoire pour tous les Citoyens masculins ayant atteint l'âge majeur?
A-t-il d'une Armée de milice demandant que les civils reçoivent des formations militaires à côté de leurs formations professionnelles personnelles pour participer à des missions militaires en cas de besoin?
A-t-il besoin d'une Armée de métier composée essentiellement de Militaires professionnels qui peuvent être appuyés par des Réservistes en cas de besoin?
Ces questions fondamentales ne peuvent trouver les réponses adéquates qu'à travers la définition d'une véritable Politique nationale de Défense et de Sécurité qui n'a rien à voir avec la protection rapprochée accordée aux membres d'un violent régime héréditaire et archaïque, et encore moins avec les basses besognes exécutées de manière extravertie en qualité de vulgaire Supplétifs pour l'Armée néocoloniale française.
Bibliographie.
- ANTHONY, Clayton: Histoire de l'Armée française en Afrique:1830 - 1962. Paris: Albin Michel, 1994. (Paru initialement en 1988 à Londres aux éditions Brassey's sous le titre "France, Soldiers and Africa").
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- FOLIKPO, Kofi K.: La "Refondation" des FAT selon Faure Essozimna Kodzo GNASSINGBÉ: Renforcement de la terreur militaro-clanique, campagne électoraliste biaisée ou navigation à vue? Décryptage. (Publié le 11 Juillet 2014 sur icibenin.com sous le lien http://www.icibenin.com/nouvelles/viewarticle.asp?idnews=786071).
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- FOLIKPO, Kofi K.: Comprendre la nature, les structures, les objectifs et le fonctionnement du régime militaro-mafieux de Faure GNASSINGBÉ pour mieux en venir à bout. (Publié le 02 Octobre 2017 sur academia.edu sous le lien https://www.academia.edu/34741389/Bien_comprendre_la_nature_les_structures_les_objectifs_et_le_fonctionnement_du_syst%C3%A8me_militaro-mafieux_incarn%C3%A9_par_Faure_GNASSINGBE_pour_mieux_en_venir_%C3%A0_bout).
- GAYIBOR, Nicoué L.: L'Histoire des Togolais. Tome 3: des origines aux années 1960. Le Togo sous administration coloniale. Paris/Lomé: Éditions Karthala/Presses de l'UL, 2011.
- GLASMAN, Joël: Les corps habillés. Genèse des métiers de Police au Togo (1885-1963). Doctorat d'histoire et civilisations. Université de Paris VII-Dénis-Didérot et Université de Leipzig, 2011.
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- MORENCY-LAFLAMME, Julien: Une Armée démocratique: Étude de l'évolution des relations civilo-militaires au Bénin. (Publié academia.edu ).
- MORENCY-LAFLAMME, Julien: Weathering the Storm: Ethnic stacking in the security sector and regime maintenance in Togo. (Présentation faite à la Conférence annuelle du European Consortium of Political Research, 2015).
- MORENCY-LAFLAMME, Julien: A question of trust: Military defection during regime crises in Benin and Togo. In: Democratization, volume 24, 21 september 2017.
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- TOULABOR, Comi: Les Forces Armées Togolaises et le dispositif sécuritaire de contrôle. (Publié le 6 Mars 2017 sur icilome.com sous le lien http://news.icilome.com/?idnews=833904&t=les-forces-armees-togolaises-et-le-dispositif-securitaire-de-controle)
« Point n’est besoin d’espérer pour
entreprendre ni de réussir pour persévérer »
Guillaume d’Orange
La lutte du peuple togolais contre la dictature la plus longue du monde, commencée dès 1990 a connu une brusque accélération à compter du 19 août 2017 sous les coups de boutoir du jeune parti national panafricain (PNP) et de son leader charismatique Tikpi Atchadam. Depuis bientôt deux mois, le peuple togolais s’est à nouveau dressé par sa lutte pacifique, déterminé à recouvrer sa liberté et sa dignité. En réclamant la mise à bas du régime oppresseur et la démission de son tyran, il ne fait que réclamer son dû, sa souveraineté qu’il délègue à qui il veut selon les procédures qu’il aura lui-même arrêtées. Aussi veut-il le retour de la constitution de 92, celle dont il s’est doté et dont les forfaitures de la dictature l’ont frustrée.
Il convient néanmoins de porter un regard attentif sur la nature de la révolution en cours au Togo, d’en dégager les lignes de force et les menaces qu’elle recèle.
Une révolution originale : entre Ouagadougou et Place Tahrir
La révolution togolaise n’a rien de conventionnel. C’est la nature du régime à combattre qui détermine la couleur des révolutions. Cette spécificité est assurément sa force et sa marque de fabrique propre. La victoire finale nous l’indiquera. C’est peut-être aussi le signe de tergiversations et de manque de cap clairs qu’il faudra corriger.
L’appel du PNP des 19 et 20 août postule très clairement une révolution de type burkinabé du type prise de la bastille nourrie de longue date par des affluents réguliers dont l’explosion se produit et se concrétise au plus sur trois jours. Le Togo aurait pu connaître pareil épilogue tant la lame de fond était soudaine et profonde et à la condition expresse que les autres partis de la coalition actuelle perçoive l’opportunité de l’action et s’y joignent derechef. Peut-être qu’aujourd’hui la junte militaire togolaise fera partie des sombres souvenirs de la nation. Las ! Le PNP seul n’a pas pu achever la « blitzkrieg » de la révolution togolaise.
La main tendue à Jean-pierre Fabre a changé profondément la nature de la révolution togolaise, la plaçant sur le temps long du fabrisme avec une densité plus grande du peuple décidé et disponible pour arracher sa souveraineté en recouvrant symboliquement sa constitution de 92. Ce schéma nous rapproche plus de la place Tahrir en Égypte lors du printemps arabe. Immédiatement deux questions surgissent par rapport ces deux types de révolutions. Où sont au Togo les édifices pris d’assaut au Burkina Faso et qui constituent autant de prises de guerre. Où est l’équivalent de place Tahrir à Lomé. Au bout de deux mois de « marches », quelle est la localisation exacte de la révolution togolaise, ses places fortes, ses symboles et sa cicatrice sur le visage de la nation. Lisse, plate, sans scarifications ni reliefs, elle risque de s’enliser en mangeant ses petits avant leur éclosion.
Des dangers majeurs à éviter
Je ne reviendrai pas ici sur le risque majeur d’un échec qui consisterait en un recul plus sévère encore des libertés et le renforcement de la main-mise de la dictature sur le peuple avec sa cohorte de meurtres, de brimades, d’oppression de mauvaise gouvernance et de mise en coupe réglée de toute nation au profit d’une minorité de pilleurs au détriment de la nation. Reculer c’est donner un blanc seing à la satrapie en la légitimant par-dessus le marché. Un vrai permis de tuer et d’affamer le peuple devenu durablement les sujets du monarque sanguinaire et sans conscience de Lomé II. Il convient pour chaque acteur politique togolais d’avoir cette épée de Damoclès en claire vision dans ses choix d’action dans le cadre de la lutte. Le pire ne saurait être plus sûr. Mais plus encore, les risques sous-jacents à toutes les attitudes et options en présence convergent vers un seul dessein : la guerre civile.
Discerner le jeu des acteurs
D’abord et s’agissant de l’attitude du régime en place, l’enjeu de la conservation du pouvoir par tous les moyens n’est plus à démontrer. Faure Gnassingbé est prêt aujourd’hui comme en 2005 lors de sa prise de pouvoir, à faire couler par flots entiers le sang de ses concitoyens pour se maintenir au pouvoir. Faure est entré en scène en sacrifiant près de 1000 togolais. Beaucoup sont tués, égorgés, embastillés, mutilés, torturés pour sauvegarder le « trône familial ». Rien n’est plus élevé que cet idéal. Le Togo est une chasse gardée et doit le rester. Les attributs et moyens de l’État et toutes les forces vives de la nation doivent tendre vers la réalisation de cet unique dessein. La énième forfaiture en cours par l’organisation d’un référendum dont les dés sont largement pipés, au seul bénéfice du prince sanguinaire, traduit à suffisance la détermination de ce régime à rester coûte que coûte aux commandes. Le spectre de la guerre ne leur fait pas peur. Le sacrifice du peuple n’est rien à côté de l’attrait de « ce bien personnel» qu’est devenu le Togo. Faure, de son propre aveu, ne fait que suivre le père qui lui aurait interdit de « ne jamais abandonner le pourvoir ». Pour lui les choses sont très claires selon La lettre du continent, il préférerait « mourir » plutôt que de céder le pourvoir. Cette vision maladive, paranoïaque et obsessionnelle du pouvoir présage des lendemains funestes pour le Togo. Rappelez-vous la question du père à ceux qui jadis lui contesteraient le pouvoir : « vous voulez prendre le pouvoir ? Vous avez des armes ? ». Il semble que le fils pose la même question au peuple en révolte pacifique sous l’ombre tutélaire de son armée clanique et prétorienne.
Les armes non conventionnelles d’une guerre indigne
Le fond du problème est bien là. Le régime RPT / UNIR est intrinsèquement contre le peuple togolais et n’est pas disposé à permettre l’alternance dans le jeu démocratique. L’alternative est simple et ressemble à l’issue qu’ils ambitionnent de donner au référendum scélérat qu’ils projettent de soumettre au peuple : Quels que soient les cas de figure nous devons rester au pouvoir. « Nous ne partirons que parce que vous nous aurez battu les armes à la main. C’est clair et net ».
Si l’illusion d’une sortie de crise autrement que par des conclusions meurtrières nous avait effleuré, nous sommes désormais fixés. « La rwandisation du pays ne nous fait pas peur » semblent dire en chœur Messieurs Tchao et Trimua notamment. Cette issue funeste leur est de loin désirable au respect de la transparence qui rythme la vie démocratique normale d’une nation. La détermination guerrière s’accompagne de l’arrogance et de la morgue méprisantes d’un chef d’État arrivé par effraction à la tête d’un État qu’il considère depuis 12 ans comme le « jouet » à lui offert par son père. Mépris, arrogance, pillage, haine, violence, fraude et meurtres, autant de maux que distille la classe dirigeante à commencer par son chef et qui sapent la paix en corrodant le vivre ensemble. La paix est prise en otage par ceux-là mêmes qui la proclament et les Togolais sont sommés de se plier ou de mourir sous les balles assassines de l’armée prétorienne.
La part d’intimidation orchestrée par la bête touchée et agonisante ne doit pas être négligée. Il s’agit de tenir en respect le peuple pacifique réputé « peureux ». Les assassinats « inutiles » de manifestants aux mains nues participent de ce processus d’intimidation. Ils indiquent en creux la profondeur du délitement et de la panique réelle qui s’est emparée de ce pouvoir.
La partie sera rude. Il convient de se ceindre solidement les reins pour venir à bout de la soldatesque et de la détermination de ce régime jusqu’au-boutiste.
Le rôle trouble et séculier de la France
Ensuite et s’agissant de la France comme acteur de la crise togolaise qu’elle a créée et entretenue depuis un demi siècle en apportant un soutien intéressé à la pire dictature au Togo. Au nom de ses intérêts supérieurs, Paris ne daigne « parler » et, à l’instar du tyranneau, les autorités françaises semblent jeter un œil méprisant à cette « populace » conduite par des gueux d’opposants qui osent réclamer la fin du système mafieux qui a déferlé sur le Togo et ses richesses depuis 1963 au profit exclusif de la France et de ses gardes chiourmes locaux.
La France ne parle pas. Certes oui. La France ne fait pas de déclarations officielles. La France parle pourtant et elle parle beaucoup. Elle parle fort. Elle parle par son profond silence. Elle sait que le peuple est désarmé et connaît, pour l’avoir armé et instruit, la puissance de ce feu de régime. Se taire c’est choisir le plus fort en termes de destruction massive de vies et de biens. Elle choisit délibérément le droit de la force contre la force du droit. Elle choisit, comme toujours au Togo dans son pré-carré, la négation du droit et des principes démocratiques et universelles des droits de l’homme au nom d’obscurs intérêts mafieux tout en s’en faisant l’ardent défenseur et propagandiste dans toutes les instances internationales.
La France parle. Elle parle clairement. Elle a parlé à travers les chevaux de Troie que sont les ambassades accréditées au Togo. Elle parle par les émissaires de l’UA, de la CEDEAO et de l’OIF qui sont les porte-voix de la position française. La France a choisi le statu quo. Ses intérêts sont confondus avec ceux de la famille Gnassingbé et elle préfère les conserver même si elle connaît les souffrances du peuple togolais. Elle mise sur le pourrissement de la situation et même sur la guerre civile que l’entêtement du régime cinquantenaire pourrait provoquer. Cette occurrence néfaste ne la rebute aucunement. Que vaut la vie sous ces latitudes a pu dire un de ses célèbres serviteurs. La guerre civile la ramènerait dans le jeu comme arbitre et redistributeur de cartes toujours à son seul profit dans une visée géostratégique et géopolitique non éloignée du projet de recolonisation de toute l’Afrique francophone.
Durcir le ton et accélérer le processus
Il convient de passer à une phase plus affirmée de la revendication pacifique et renforcer la pression sur le régime par les armes de la lutte non violente. Il est temps d’arrêter la révolution des « bas fonds » et de passer à la vitesse supérieure. Prévoir des plans alternatifs et des voies de contournement des obstacles que la « bête » atteinte ne manquera pas de dresser sur le passage du peuple. Mais prudence ! L’observateur que je suis a regardé perplexe la manifestation de la diaspora européenne à...Paris. Je me pose encore aujourd’hui la question de l’intérêt d’aller crier à l’oreille d’un sourd volontaire. Choisir Berlin, la porte de Brandebourg, le mur de Berlin ou mieux Bruxelles et la commission européenne me semble plus productif que cette démonstration de force de la Bastille à la République qui fait rire l’hôte de l’Élysée. Les nœuds gordiens de la crise togolaise se sont certes noués au bord de la Seine. Je ne suis pas sûr qu’ils se trancheront forcément là.
Le succès réside plus que jamais dans l’unité de l’opposition coalisée. Les mouvements centrifuges qui se font déjà jour doivent être combattus avec la dernière fermeté. Les mous et les tièdes doivent être débarqués sans ménagement. Le tribunal de l’histoire se chargera en son temps de faire la lumière sur les responsabilités de chacun. La coalition a l’approbation unanime du peuple. Elle doit savoir capitaliser ces acquis et tirer parti de la dynamique et du nouveau rapport de force établi pour finaliser la lutte. Le peuple est souverain et sa lutte est invincible. S’en convaincre en oubliant les bas calculs politiciens, c’est entrer en négociation en position de force et arracher les avancées démocratiques dont le Togo a grand besoin.
Plus la lutte dure, plus l’adversaire reprend confiance et plus la victoire s’éloigne. Ce schéma, prôné depuis toujours par l’ANC de Fabre, postule une opposition libérale qui ne vise qu’à remplacer le pouvoir en place dans la continuité, en préservant les intérêts des acteurs. Le peuple trouve très rarement son compte dans ce schéma.
Il faut trancher vite et accélérer le processus de la lutte ou l’abandonner pour ne pas épuiser les réserves. Quitte à la reprendre quand la nature de la structure de lutte sera déterminée. Il paraît très clairement que le PNP soit sur la ligne de l’opposition systémique, avec une remise en cause et à plat du fonctionnement de l’État et de la nation en vue d’une refondation qui semble avoir l’assentiment du peuple. Là réside le sens du combat actuel, ses modes opératoires et les clés de la réussite de la révolution au Togo.
Il convient pour les leaders de l’opposition de capter ce désir tellurique, de le transformer en modes opératoires, de proposer rapidement un plan de sortie de crise après avoir obtenu, selon les vœux du peuple, la chute du tyran. Toute visée sous optimale déboucherait nécessairement en son temps sur la casse sociale et économique et ne nous épargnerait pas forcément la guerre civile.
Jean-Baptiste K.
MES LEADERS DE PARTIS POLITIQUE DU TOGO; NOUS NE POUVONS PLUS CONTINUE...
Written by RAOUL K DAGBA.POURQUOI ne pas utiliser la FORCE d’une vraie revolution mature pour faire partir cette DICTATURE, alors que le COUP de FORCE est la marque de fabrique du dictateur FAURE GNASSINGBE EYADEMA 2 ?
PEUPLE TOGOLAIS, TOGOLAISE , TOGOLAIS
La fin du dictateur FAURE EYADEMA 2 est proche si et seulement si nous nous organisons pour aller au bout de notre détermination. Sa dictature ne perdure qu’à cause de notre CUPIDITE, de notre LACHETE, et de TRAHISONS de certains.
Toute la turpitude et la gabegie du système FAURE GNASSINGBE et de ses soutiens (faux opposants y compris) sont sur la place publique, je ne veux citer aucun nom, vous les connaissez . Recensons-les pour faire arrêter tous ces voyous le moment venu pour qu’ils répondent de leurs méfaits devant la Justice. Non pas celle des vainqueurs, mais plutôt celle qui dira le Droit; qui respectera les droits de la POPULATION TOGOLAISE, et qui instruira à charge et à décharge.
FAURE GNASSINGBE EYADEMA 2, qui n’a jamais gagné d’élections libres et transparentes, ne partira du pouvoir que par la force je vous le dit aujourd’hui peuple TOGOLAIS. Affirmer le contraire est une vue de l’esprit. C’est une VERITE et il faut le dire car Nous somme sur le chemin de la MONACHIE pour ce referendum MORT NEE qu’on nous propose.
Aucun dialogue, même inclusif, aucune négociation, quelle qu’elle soit, ne pourra le persuader de quitter pacifiquement le pouvoir.
Persuadé de maîtriser les arcanes de la CEDEAO, L’UA, L’OIF, comptant sur ses réseaux mafieux qui le soutiennent grâce à l’argent de la corruption, la REVOLUTION DE FORCE MATURE apparaît comme la solution ultime de chasser ce gouvernement qui, depuis bientôt près de 50 ans apparaît comme le véritable cancer Togolais. 80% de la population vit en dessous du seuil de pauvreté; les libertés publiques et privées sont bafouées; les élections sont truquées; les contre-pouvoirs inexistants; les opposants embastillés; l’école sabordée; bref, tous les pans entiers du pays sont dans le ROUGE TOTAL.
La lutte politique par des marches par semaine est une bêtise et non EFFICACE A l’heure actuelle pour ce gouvernement SANGUINAIRE. Seule la FORCE du mouvement protestataire doit etre le plan maintenant.
Comment allez vous faire? ..... reprendre par les élections et par des dialogues ce que le dictateur contrôle par les armes et la force mon FRERE TOGOLAIS, MA SOEUR TOGOLAISE ????????
LA MARCHE DOIT PRENDRE UNE NOUVELLE STRATEGIE. NOUS NE POUVONS PLUS CONTINUER A MARCHER SANS UN MOT D'ORDRE.
PEUPLE TOGOLAIS REVEILLE TOI ET PREND TON DESTIN EN MAIN.
VIVE LE PEUPLE TOGOLAIS
VIVE LA DEMOCRATIE
VIVE L’AFRIQUE.
Par: RAOUL K DAGBA.
Guinée: La femme qui soigne plusieurs maladies à Conakry a travers l...
Written by Saidou DIALLO - FMLiberte Conakry, Freetown, MonroviaHadja Mariama ciré diaby reçoit plus de 4 mille patients tous les jeudis à son domicile, elle utilise les versets coraniques pour traiter les malades que l’hôpital n’a pas pu guérir. Elle nous a parlé de la source de son pouvoir dans un entretien qu’elle nous a accordée.
fmliberte : Madame vous traitez plusieurs maladies. Actuellement vous êtes convoité par tout le monde, où aviez- vous appris tout cela ?
Mariama cire diaby : Merci beaucoup, j’ai appris cela à côté de mon père qui a formé beaucoup de personnes. Il est très connu. Mon père a appris cela en Arabie saoudite avant même notre indépendance en 1958, c’est pour quoi j’ai suivi ses traces et plusieurs personnes viennent ici pour se soigner.
fmliberte : Vous traitez beaucoup des maladies. Donnez nous un exemple de ces maladies ?
Mariama cire diaby : Moi je ne traite pas les malades, mais c’est Dieu qui les traite. Aujourd’hui, il ya des gens qui empêchent les autres d’évoluer, quand on te cherche en vain, on te donne au Satan, au diable pour qu’il te barre la route. On traite les malades mentaux, les drogués chroniques, les ivrognes. Nous arrêtons les sorciers, les diables méchants, nous traitons plusieurs maladies en s’inspirant du coran. Car ce n’est pas moi qui traite, mais c’est Dieu, Dieu dit ‘’Demande moi, je te donnerais. Appelle-moi, je te répondrais.‘’ Nous avons des talismans, le beure de karité, des savons, du pain, de la bouillie à l’aide de quoi nous traitons ces malades qu’on appelle bombe dans les quartiers.
fmliberte : Vous avez combien de travailleurs ici avec vous ?
Mariama cire diaby : j’ai plus de 500 personnes qui travaillent avec moi. La sécurité, nous avons plus de 40 jeunes, beaucoup des imams et de femmes sont là avec nous, chacun joue un rôle. Les jeudis et dimanches, nous recevons plus de 4 mille patients venant de partout certains se déplacent même de l’Europe, des Etats unis, un peu partout dans le monde par la grâce divine.
fmliberte: D’aucuns disent que ni le Diable, ni le Sorcier n’existe qu’avez-vous à leur dire ?
Mariama cire diaby : (rire), ceux qui disent cela, ne connaissent pas le livre coranique, Dieu a crée d’abord les diables et les anges avant l’être humain. Donc le nom du diable se trouve dans le coran, les sorciers aussi ont un pouvoir venant de Dieu, parce que c’est lui qui donne le savoir à l’être humain, mais certains s’ils ont le pouvoir ou le savoir, ils l’utilisent dans le mauvais sens en faisant pleurer ses proches. Donc qui conque dit que le Diable et les mauvais esprits n’existent pas, dit lui d’ouvrir le Coran.
fmliberte : y a t-il une déférence entre vous et les marabouts ?
Mariama cire diaby : Je ne suis pas un marabout, je ne fabrique pas des grigris pour les gens. Je demande Dieu à travers les versets du Coran et il me répond. Parfois, quand je lui demande, il peut faire de mystères en envoyant des gros vents ou la pluie qui permettent aux malades de guérir sur place. J’ai toutes les vidéos avec moi. C’est pourquoi je répète que ce n’est pas moi qui soigne, mais plutôt le tout puissant. Il y a des personnes qui prenaient de la drogue, de l’alcool. Ils viennent me demander de les aider pour qu’ils abandonnent ces vices qui nuisent à leur corps. On demande Dieu, il nous répond. Il ya des femmes qui viennent nous demander de les aider pour que leurs enfants arrêtent de faire le banditisme, les braquages, vol en main armée, des injures publiques, des pratiques de ce genre, tout ceux-ci là une fois qu’ils prennent mon talismans, ils renoncent sans se rendre compte. Voilà ce qui nous différencie de ces marabouts.
fmliberte: Vos difficulté dans votre travaille ?
Mariama cire diaby : Nous n’en avons beaucoup : il ya des gens qui utilisent ma photo pour arnaquer les gens en les proposants des faux projets à mon nom; Il y a des journalistes qui me sabotaient sur leur antennes juste pour me décourager, mais je suis toujours là et les patients se multiplient chaque jour, parce que ce que je fais du vrai, les gens ont compris que le coran peut soigner.
Guinée : A Kankan un médecin viole sa patiente sous anesthésie.
Written by Saidou DIALLO - FMLiberte Conakry, Freetown, MonroviaN’faly Condé c’est le nom du médecin accusé d’avoir violé une de ses patientes dans sa clinique, au quartier Moriwoulen dans la commune urbaine de Kankan, alors que cette dernière était sous anesthésie.
Selon nos sources d’information, c’est le mari de la victime qui a alerté le voisinage lorsqu’il a su que leur médecin de famille entrain d’abuser de sa femme inconsciente. Les deux hommes ont commencé à se bagarrer et il a fallu l’intervention du président des jeunes du dit quartier pour éviter le pire.
Informé de la situation, la brigade de recherche de la gendarmerie départementale s’est aussitôt saisie du dossier. Le médecin âgé d’une soixantaine d’année serait actuellement à la disposition du service de sécurité. Pour l’instant, les enquêtes ont révélé que l’homme mis en cause est un récidiviste qui avait été chassé de Nzérékoré où il vivait pour des faits similaires.
La Dame qui avait été transportée d’urgence à l’hôpital préfectoral a aussi révélé qu’elle soupçonnait déjà le médecin, mais malheureusement elle manquait de preuves.
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Togo:Le violent régime archaïque militaro-mafieux de Faure GNASSINGB...
Written by Komdedzi Kofi FOLIKPO , Computational LinguisticsLe Général Charles de Gaulle avait traité l'ONU de "machin" lors d'une conférence de presse en Septembre 1960 à Nantes. C'était au sujet des tentatives de certains milieux obscurs (occidentaux) qui voulaient passer par l'intervention militaire des Casques Bleus (en violation flagrante de la Charte de l'ONU relative à leur déploiement!), pour influencer gravement les affaires intérieures du Congo (aujourd'hui la RDC) durant la guerre civile qui y sévissait à cette époque.
Cet illustre homme politique français défunt trouverait sûrement des expressions encore plus dures et plus percutantes, s'il devrait s'exprimer aujourd'hui sur la Tragédie surréaliste servie à l'Humanité entière par certains piètres bureaucrates alimentaires cachés derrière le vocable vaseux et galvaudé de "communauté internationale".
Lorsque de vulgaires nègres-maison alimentaires et hyper-corrompus se présentent volontiers comme étant la "communauté internationale" (sic!) au service du violent régime archaïque incarné par le minable tyran schizophrène Faure GNASSINGBÉ, on peut affirmer que bon nombre de nègres de l'Afrique néocoloniale travaillant aujourd'hui dans les Organisations régionales et internationales n'ont aucun grain d'Amour-propre, de Respect de soi et des autres, d'Honneur et encore moins de Conscience.
Le piètre Ghanéen incompétent Mohamed Ibn CHAMBAS, la salope Nigérienne aux moeurs légères Aïchatou MINDAOUDOU SOULEYMANE, le Béninois goujat et falot Marcel de SOUZA et le piètre Tchadien Moussa FAKI MAHAMAT appartiennent malheureusement à cette catégorie de sales nègres-maison.
Le comportement goujat, irresponsable, stupide, anti-démocratique et anti-républicain de cette brochette de nègres-maison demi-lettrés cités ci-dessus dans la grave Crise togolaise donne parfaitement raison au Président américain Donald Trump qui déclarait récemment que les nègres (en réalité de tels nègres-maison) méritent d'être asservis de nouveau en esclavage, en raison de leur manque criard de Respect de soi, d'Amour-propre, de Bon Sens minimal et d'Éthique minimale.
Pour ces sales nègres-maison amnésiques de la pire espèce, le Peuple Togolais se résume au violent régime archaïque et assassin de Faure Essozimna GNASSINGBÉ qui leur verse sans doute en catimini des prébendes mirobolantes pour qu'ils étalent sans gêne leur nègrerie dégoûtante à la face du monde entier sans crier gare. Pour eux, les souhaits et desiderata du sale pantin sanguinaire et inculte Faure GNASSINGBÉ sont des ordres impératifs pour l'ensemble des 7 Millions de Togolaises et de Togolais qui doivent s'exécuter sans coup férir.
Pire, ces piètres nègres-maison ronflant encore mentalement dans les caniveaux crasseux du néocolonialisme bureaucratique rétrograde croient très dur qu'il suffit aujourd'hui de brandir en bons nègres écervelés des sigles de l'ONU, de la CEDEAO, de l'UA et de l'OIF à des Millions de Togolaises et de Togolais désabusés par 50 ans de tyrannie, de spoliation, d'oppression et de déshumanisation pour qu'ils soient terrifiés, pour qu'ils ne descendent plus dans les rues et pour qu'ils ne marchent plus vaillamment sur les places fortes de la Nation Togolaise afin d'exiger leurs Droits légitimes à une Vie décente, leur Droit légitime à un véritable État de Droit, leur Droit inaliénable d'avoir des élections transparentes et équitables, leur Droit inaliénable de choisir librement leurs dirigeants sans simulacre!
Ces piètres nègres-maison croient naïvement que leurs sigles donneraient magiquement l'injonction aux 7 Millions de Togolaises et de Togolais tant au TOGO qu'au sein de la Diaspora Togolaise à travers le monde de se plier subitement en deux devant le minable usurpateur sanguinaire et inconscient Faure Essozimna GNASSINGBÉ que cette pègre internationale leur a violemment imposé dans le Sang depuis 12 ans à travers un sordide complot.
Ces médiocres nègres-maison feignent sans doute de voir que le Vrai TOGO Profond parle déjà régulièrement et de façon très audible dans les rues du Nord au Sud par centaines de milliers depuis le 19 Août 2017 et n'a pas besoin d'un simulacre de référendum qu'un violent régime archaïque veut exhiber frauduleusement et grossièrement au nom des 7 Millions de Togolaises et de Togolais.
Ces médiocres nègres-maison feraient mieux de rappeler à leur médiocre bienfaiteur Faure Essozimna GNASSINGBÉ que la creuse coquille constitutionnelle fabriquée nuitamment en 2002 pour servir de tremplin pseudo-légaliste à son violent géniteur défunt et à lui-même ad vitam aeternam ne reflète nullement la Volonté suprême du Peuple Togolais Souverain telle qu'elle est clairement exprimée dans la Constitution massivement plébiscitée par 97% des Togolaises et des Togolais en 1992!
Ces médiocres nègres-maison feraient mieux d'exhorter leur piètre bienfaiteur à remettre intégralement en place cette Constitution massivement plébiscitée en 1992 pour permettre la mise en place d'un cadre électoral sain, transparent et adéquat avant de vouloir parler d'un hypothétique référendum!
Ces médiocres nègres-maison feraient mieux de soutenir les Forces Vives et Citoyennes de la Nation Togolaise à oeuvrer pour la confection d'un Fichier électoral propre, fiable et transparent avant de venir recommander un référendum hypothétique au Peuple Togolais!
Hier en 2005, les mêmes sales nègres-maison arborant les mêmes sigles alimentaires étaient venus dire aux Togolaises et aux Togolais que ces derniers doivent passer les effroyables massacres génocidaires des milliers de victimes innocentes de Février à Avril 2005 en pertes et profits, afin de donner une chance au "petit" (sic!) de "faire ses preuves" (sic!).
Après 12 ans de règne sanglant, mafieux et chaotique, le "petit" (sic!) n'a toujours pas encore trouvé ses "preuves" à faire face au Peuple Togolais et au monde entier, comme l'ancien Président nigérian Olusegun OBASANJO l'avait honnêtement souligné tout récemment devant un parterre de Journalistes internationaux.
Hier toujours en 2007, les mêmes sales nègres-maison arborant les mêmes sigles alimentaires étaient venus dire aux Togolaises et aux Togolais que le "petit" (sic!) serait capable d'organiser des élections transparentes et crédibles grâce au système très robuste de transmission des résultats en temps réel dénommé VSAT pour le départager avec le Peuple Togolais Souverain qui lui conteste toujours toute bribe de Légitimité. Mais ces nègres-maison avaient trouvé normal que le système très robuste VSAT ayant toujours bien fonctionné sous d'autres cieux tombe exceptionnellement et miraculeusement en panne au TOGO lors du simulacre de scrutin organisé par leur "petit" (sic!).
Hier encore en 2010, les mêmes sales nègres-maison sans conscience ni Amour-propre qui arboraient toujours les mêmes sigles alimentaires avaient trouvé normal que des Militaires et Gendarmes aillent sur ordre du "petit"(sic!) confisquer et détruire brutalement les Procès-verbaux en cours de compilation légitime et légale au Quartier Général de son principal Adversaire durant une élection présidentielle qu'il savait avoir perdue d'avance!
Hier toujours en 2015, les mêmes nègres-maison pourris arborant les mêmes sigles alimentaires étaient revenus à charge pour pousser les Togolaises et les Togolais à accepter la mort dans l'âme un simulacre d'élection présidentielle orchestré sur la base d'un fichier électoral frauduleusement taillé sur mesure par le minable et ignoble pseudo-expert franco-béninois Clément AGANAHI.
Aujourd'hui en 2017, on revoit les mêmes sales nègres-maison arrivant avec les mêmes sigles alimentaires pour ordonner à leur "petit" (sic!) d'organiser rapidement sans le consentement du Peuple Togolais Souverain un simulacre de référendum dont les résultats sont déjà prêts dans les laboratoires nauséabonds du pseudo-expert alimentaire franco-béninois Clément AGANAHI afin qu'il puisse se maintenir en place contre la Volonté Suprême du Peuple Togolais Souverain qui réclame massivement et légitimement depuis le 19 Août 2017 dans les rues des villes togolaises et sur les places fortes des campagnes togolaises son DÉPART IMMÉDIAT ET SANS CONDITIONS pour avoir systématiquement ruiné le TOGO pendant 12 ans sur tous les plans!
De tels sales nègres-maison pourris et sans Amour-propre qui aiment afficher allègrement tant de manque de scrupules, tant de manque de probité, tant de déshonneur et tant d'auto-flagellation politico-médiatique humiliante aux yeux du monde entier, sont pourtant très souvent les premiers à se plaindre qu'ils sont traités avec mépris par leurs collègues asiatiques, latino-américains et européens comme de vulgaires gobe-merdes et de vulgaires serpillières au sein de ces Organisations régionales et internationales dont ils arborent les sigles pour des raisons alimentaires.
Comment peut-il d'ailleurs en être autrement, si ces sales nègres-maison hyper-corrompus et sans une bribe d'Éthique n'affichent pas un seul grain d'Amour-propre et de Respect de soi dans leurs actions et déclarations envers les Peuples Souverains, comme ils le démontrent encore une fois au TOGO?
Comment peut-il en être autrement, lorsque tout le monde sait au sein de ces Organisations régionales et internationales que ces sales nègres-maison falots y postulent souvent, non pas pour y faire honnêtement carrière au service du bien-être des Peuples et Nations, mais plutôt juste pour des pots-de-vin et pour le sexe?
Comment peut-il en être autrement, lorsque ces piètres et sales nègres-maison ne savent pas comment rendre le tablier ou comment présenter des excuses publiques, lorsqu'ils ont commis de graves offenses envers un Peuple tout entier dont ils insultent l'intelligence à travers leurs minables injonctions condescendantes?
En tout état de cause, cette brochette de minables sales nègres-maison qui se prend arrogamment pour le nombril du monde et pour le compas de l'Univers tout entier, doit comprendre très clairement qu'ils ne sont pas les bienvenus sur le Sol Ancestral Togolais, que ce soit aujourd'hui, demain ou plus tard.
Tout ce que le Peuple Togolais Souverain dans toutes ses Profondeurs et dans toutes ses composantes ethniques, religieuses, socio-professionnelles et corporatives exige de ces piteux nègres-maison en ce moment crucial de la Renaissance de la Nation Togolaise et des Peuples Africains dans leur ensemble, c'est de tout mettre en oeuvre pour reprendre assez rapidement vers une destination inconnue le colis encombrant que constitue Faure Essozimna GNASSINGBÉ qu'ils avaient violemment imposé aux Togolaises et aux Togolais depuis 2005.
Si Faure Essozimna GNASSINGBE est pour eux le pourvoyeur "magnanime" par excellence de pots-de-vin pourris et de prébendes mirobolantes tachées du Sang précieux des milliers de victimes togolaises innocentes, il constitue malheureusement pour des Millions de Togolaises et de Togolais tant sur le Sol Ancestral Togolais qu'au sein de la Diaspora Togolaise Consciente et Constructive à travers le monde une grave Calamité Nationale, une Honte Nationale indicible et une Catastrophe sociale et éthique à l'échelle planétaire à travers sa nature atypique.
Baden (SUISSE), le 05 Octobre 2017.
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En réponse claire au communiqué conjoint de la CEDEAO, l’UNION AFRICAINE et l’ONU par son bureau en Afrique sud sahélienne en cette date du 4 Octobre 2017, le peuple togolais doit dire « NON !». Et en cela, le « non » catégorique face à la supercherie internationale, est un droit naturel qui devient un devoir politique d’exercer le principe de souveraineté du peuple pris dans son identité intrinsèque et vitale.
ONU, UA, CEDEAO ne tuez pas notre dignité de Togolais, ne bafouez pas notre honneur de peuple promis à la gloire, l’or de l’humanité. Fonctionnaires internationales, épousez la vertu universelle de l’intérêt général des peuples, éloignez-vous des vices sectaires qui concèdent des privilèges clandestins aux minorités voraces et égoïstes qui sèment la désolation arbitraire et cruelle dans l’humanité entière.
Respecter le Primat de la Souveraineté !
Sachez-le, nul ne peut mettre la légalité versatile, malléable, douteuse et changeante au grée des circonstances économiques et stratégiques au dessus de la souveraineté substantielle qui est permanente et identitaire à un peuple. Notre socle social et notre culture locale multimillénaire dépassent le droit circonstanciel et arrangé.
En démocratie élémentaire, le droit par la loi républicaine est une commande que le peuple passe auprès de ses représentants. Et cette demande de service n’est rien de plus qu’une délégation de compétence. C’est de cela qu’il s’agit. Ce n’est pas en aucune manière une substitution de statut souveraine que de confier à des députés de faire des lois.
Ainsi conclu, lorsque le député, missionnaire, devient un scélérat, un félon ami du tyran, le peuple peut et doit le dessaisir de cette compétence déléguée. Le peuple reste toujours souverain et peut retirer par la voie la plus naturelle et la moins couteuse en temps et ressources qu’il trouve, c’est-à-dire la descente dans le forum, l’agitation de l’agora, la manifestation radicale sur la place publique, la rue.
Fondée sur ce principe acquis, la souveraineté de fait prime sur la légalité artificielle. Sachez-le encore. Vous feignez de ne pas le savoir déjà - le débat politique au Togo est, depuis le 19 Septembre 2017, sorti des salles de négociation, des loges d’arrangement, des temples de légiférassions et des cours d’assise pour se porter et se camper dans la rue.
Une fois encore, au Togo, le débat politique est désormais dessaisi des politiciens. Il a quitté le champ de la légalité pour se loger dans le creuset de la légitimité naturelle, il est dans la masse populaire et tient à y rester jusqu'à résorption totale de la volonté du peuple.
Les circonstances qui ont forcé le peuple à retirer et sortir le débat de tous les lieux commodes de dialogues pour le camper dans les rues ne sont plus à démontrer. Vous en êtes conscients. Le régime de dictature du Togo a échoué sur 11 années de tolérance à satisfaire la demande du peuple pour mériter son minimum de confiance. Le régime a refusé par ruses et subterfuges de faire les reformes démocratiques adéquates.
Le peuple en a tiré la conclusion logique et y applique toutes les conséquentes : le régime doit rendre le tablier dans l’immédiat. Ceci est un acte de souveraineté élémentaire par le moyen primaire, la voix populaire exprimée à nue et à cru par la rue.
ONU, UA, CEDEAO, Sortez de Votre Contradiction, S’il Vous Plait
Dans le paragraphe 5 de votre communiqué conjoint, CEDEAO, UNION AFRICAINE, ONU vous demandez aux acteurs politiques togolais de continuer les discussions en respectant la volonté du peuple. Oui, ‘’RESPECTER LA VOLONTE DU PEUPLE’’. Que dit donc le peuple ? Le peuple demande le retour à la CONSTITUTION DEMOCRATIQUE ORIGINALE DE 1992.
Si ce principe de demande souveraine est compris et doit être respecté, alors pourquoi conseillez-vous un referendum sur un texte de loi fondamentale qui ne respecte pas la volonté du peuple ? Un texte unilatéral voté en solo par le parti du tyran désavoué par le peuple ? Vous êtes en contradiction interne dans votre communiqué.
Ce n’est pas vertueux de votre part. Vous entretenez la confusion par le double langage. Dans ce sens le peuple togolais a le sentiment que vous vous mettez avec malice du côté de l’oppresseur. Nous en sommes venus à croire que vous donnez la chance à la minorité tyrannique de faire avancer son agenda, son dessein de rester et durer encore au pouvoir. Nous disons « NON !»
Nous réclamons la constitution de 1992 dans son esprit et dans sa lettre, sans délai, par voix souveraine simplifiée, la masse populaire. Nous resterons dans la rue et dans la fronde permanente jusqu'à satisfaction !
Souvenez-vous de ce qui a fabriqué Napoléon. Ce ne fut pas bon pour l’Europe.
New York, le 04 Octobre 2017
Michel KINVI
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Sociologue Consultant, Essayiste Engagé