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Kodjo Epou
Kodjo Epou

Kodjo Epou

 

 La projet de loi sur le découpage des communes est voté. Dans les mois à venir, au Togo, des communes fantômes régentées par des maires falots débarqués du néant, en dehors des urnes transparentes. L’avalanche des lois viciées va se poursuivre, jusqu’à ce que les compteurs soient remis à zéro, en 2020. Est-ce de ce découpage alambiqué que le Togo a besoin? Tout le monde voit, à l’exception des zélateurs et missi dominici du régime RPT/UNIR, que l’état, en chûte libre, a besoin de reconstruire son centre de gravité. Ceci ne peut se faire que par des réformes idoines, débarassées de tout soupcon et qui ne visent que le Togo de demain, au-delà des convenances personnelles et des contingences bassement matérielles. Seulement, dans le méninge de ces arlequins messéants, les réformes politiques ne peuvent se réaliser qu’à condition de faire fi du passé, d’accepter que Gnassingbé et son clan aient le beurre, l’argent du beurre et la culotte de la crémière.

 

Par Kodjo Epou

 

De l’extérieur, le Togo est en marche démocratique. Mais de près, ce pays vit sous le joug d’un système monolitique extravagant, de passe-droits, d’une démocratie plutot ambulatoire qui trompe le profane. A tout considérer, la question reste de savoir si l’opposition doit continuer de siéger dans une assemblée nationale qui fait systématiquement d’elle une béquille du régime? Doit-elle encore participer à une élection organisée par le RPT/UNIR chez qui, de tout temps, la jouissance du pouvoir est plus forte que tout ce qui peut  alléger le fardeau des souffrances qui pèsent sur nos populations? Cette opposition a-t-elle déjà une réponse prête au cas où l’idée d’un prochain référendum venait à faire son chemin? Ou se laissera t-elle encore surprendre?  Déjà une guirlande de guignols zélateurs s’agite dans tous les sens, davantage de Christophe Tchao vont frétiller sans limite, pour vendre de force un projet de référendum constitutionnel taillé sur mesure, parce que “le peuple ne veut personne d’autre que Gnassingbé”.

 

Tous ces individus et porte-parole professionnels ou de circonstance qui se pavanent sur notre terre pour crier au référendum, dans leur for intérieur, n'y croient vraiment pas, sachant que c’est encore un gros lapin, que la vérité des urnes ne sera pas au rendez-vous!  Plus que quiconque, ils savent que les résultats seront ce que le pouvoir voudra qu’ils soient. Ils n’ignorent pas non plus que la misère qui est le fardeau quotidien de toutes les couches sociales au Togo provient d’une seule origine : le système qu'incarne Faure Gnassingbé, un système qui charrie l’immoralité, l’apologie du mal et de la médiocrité.  Notre pays est devenu un coin de terre agitée, bruyante et désordonnée où on ne règle jamais définitivement aucun des problèmes. On se contente, par de grandes manoeuvres obscènes, par des cirques asymétriques de bas étage, de les déplacer. Dans le temps. On ne situe pas l’homme au centre de la politique. On le chasse, tel un intrus ou un témoin gênant, dans le soucis de faire prospérer les pratiques mafieuses. C’est à croire que notre glorieuse majorite(?) présidentielle n’a de réputation que dans l’art de dérouter la franchise, la bonne foi et les bonnes conduites.

 

Une nation fait des choix. Soit, elle penche vers une harmonie avec elle-même en tant que communauté homogène vivant sur le même territoire, soit d’avoir en commun des histoires belliqueuses permanentes à démêler sans jamais y parvenir. Entre les deux, parce que la stabilité politique est antinomique à la nature même du  RPT/UNIR, notre pays semble avoir opté pour les histoires dont certaines, à l’instar de ce nouveau découpage et du fameux “remettre le compteur à zéro”, sont autant incroyables que révoltantes.  Christophe Tchao, tel un âne qui braie plus fort que les autres, est, pour la majorité présidentielle, la nouvelle star des contorsions politiques. La coqueluche des petits d’esprit. C’est ce peu fameux président du groupe parlementaire  RPT/UNIR qui a en charge de vendre la machine du “compteur à zéro”. Un député qui se plaît à fanfaronner dès qu'il trouve un micro ou une caméra à portée de sa lippe, qui joue à la perfection, sans convaincre personne, son rôle de maître d’œuvre de la nouvelle trappe que le régime tente de tendre à une population togolaise qui ne sait plus a quel saint se vouer.

 

Toutes ces manœuvres ont rang de crime. Ce qu’on oublie, c’est que le passé a ceci d’inaltérable qu’il ne sombre jamais dans la perte totale ni ne s’efface définitivement. Ce passé ressurgit toujours et le temps, dans toute sa complexité souveraine, demande des comptes, sanctionne et rend justice. Ce temps arrivera un jour et certains Togolais devront répondre de leurs abominations qu’aucune nation au monde ne peut, du revers de la main, glisser sous le tapis. Fambaré Natchaba, soit dit en passant, est au rang de ces Togolais-là. C’est ce brumeux personnange, alors président de l’Assemblée Nationale, qui avait commis l’inénarrable forfaiture en faisant de la constitution que notre peuple s’est souverainement dotée en 1992 une loi personnalisée en faveur de son mentor, Eyadéma. Cet acte d’une ignominie inqualifiable fait toujours courir au Togo des risques d’explosion. Aujourd’hui, voici ce que DOIT ETRE le “deal” selon la bande à Tchao: En 2020 les Togolais devront gober de faire fi des quinze ans précédents, des cinq cents morts (et plus) de 2005, de tous les scandales dont l’incendie criminel de l’emblématique marché d’Adawlato, de tous les autres crimes économiques et de sang qui ont ruiné et endeuillé la nation. Oui! Remettre tous les compteurs à zéro et recommencer l’affligeante routine: la politique des pires.

 

Non: le RPT/UNIR doit avoir sa puissance modeste et finir de remettre ses compteurs à zéro comme si des événements douloureux n’ont jamais pris place dans notre pays. “Please”, trêve de statu quo, fin des manœuvres dilatoires, pour que finissent par s’installer au centre de la politique, au Togo, les règles de bienséance , d’éthique et de la décence. Ces règles font cruellement défaut. Remettre les compteurs à zéro en est une preuve. Mais il y a que parfois, des décennies passent et rien ne se passe mais il suffit, parfois aussi, de quelques jours pour que des décennies trépassent.

 

Kodjo Epou

Washington DC

USA

 

 
Pris dans n'importe quelle dimension, Edem Kodjo ne configure pas un prototype d'homme de la masse. Pas en tout cas dans son pays le Togo ou, le régime Rpt dont il a été l'un des pivots dans les années 70 n'a pas favorise l'éclosion d'une intelligentsia a la fois
abondante et de qualité à l'image de l'homme de Noepe.
 
Par Kodjo Epou 
 
Ce phenomene est l'une des raisons sinon la principale pour lesquelles Edem Kodjo a cette difficulté visible de s'accommoder, a n'importe quel prix, d'une “insertion dans la masse populaire” en vue de paraitre le genre qu'adulent ses compatriotes. Il faut reconnaitre que bien avant qu'elles ne se soient totalement détériorées, les relations entre Kodjo et les Togolais ont été, entre 1990 et 2000, aigres-douces. 
 
En même temps que les gens voyaient en lui l'unique leader dans le lot qui soit capable de déboulonner le régime en place en utilisant ses relations internationales, ils le haïssent, disent-ils, pour le type trop occidentalisé qu'il est et pour “son arrogance congénitale”. Kodjo y a perdu énormément de son étoffe. Le peuple aussi de sa force de frappe : le premier s'était vu priver du soutien populaire dont il avait besoin pour être pleinement utile au second qui, tantôt manipule, tantot faiseur de petite bouche, et trop souvent calomniateur sans raisons évidentes, peine toujours, depuis plus de 20 ans a trouver son sacro-saint libérateur qu'il a refuse de voir en Kodjo. 
 
Des gens sont allés jusqu'a affirmer préférer Eyadema si ce doit être Kodjo. Un certain Homawoo, de l’UFC, ne peut pas nier d'avoir tenu un tel propos. Grave erreur! Les Togolais ne savent pas souvent ce qu'il leur faut pour leur situation”, m'avait une fois confié Kodjo. Comme s'il se savait méprisé sans raison. Pure vérité. 
 
Aujourd'hui, ce bout de phrase m'emplit encore les oreilles. On l'a perdu comme on a perdu bien d'autres. Pour nous qui l'avions côtoyé de plus près et aime, il reste un politique haut de gamme, un diplomate chevronne, un homme bien. 
 
Joyeux anniversaire, le meilleur de tous, de tous les temps, le Maitre Edouard qui n'a pas pu se faire comprendre.
 
Kodjo Epou 
Washington DC
USA
 
 

On les connaît égocentriques, peu innovatifs, aptes à de lourdes erreurs, méfiants les uns des autres, réfractaires aux compromis, pas très friands de « success stories », parfois chasseurs de perdiem. Ils sont aujourd’hui, les opposants au régime du RPT/UNIR, dos au mur. Très affaiblis. Et vont devoir, pour montrer qu’ils peuvent encore être dignes d’intérêt, reprendre du poil de la bête. C’est le seul moyen, pour eux, de se refaire une image, de recouvrer la confiance perdue.

 
 
L’opposition togolaise semble avoir fait son temps. Les intempéries ayant été trop rudes, les errements trop longs. Elle a plus que besoin d’un renfort, d’une jeunesse engagée avec sa fougue, son impatience, ses envies, son audace. Avec aussi sa rage de vaincre l’hydre et son obsession de réinventer la société togolaise. L’inventaire des choses à (re)faire, (re)construire et/ou refonder est herculéen. L’opposition cherchera-t-elle, partout où elle peut les trouver, ces hommes de notoriété capables de lui donner du souffle, d’aider à élever un rempart aux pratiques claniques du pouvoir? Dans l’opinion, elle n’est créditée ni d’une réelle volonté de compromis sur les principes ni d’une réputation d’intégrité nécessaire à l’avènement d’une Renaissance au Togo.
 
Cette opposition ne peut plus picorer de-ci de-là des quarts de victoires illusoires. Elle doit cesser d’être ce courant d’air saisonnier qu’elle est depuis un temps, pour se donner du contenu ou, a défaut, disparaître. Ceci d’autant plus que nos opposants ne sont plus, au vu de leurs performances, ceux que le peuple attend. Les Togolais veulent, avec eux ou à leur place, des hommes et des femmes capables d’assener au régime failli un message clair, net et précis, un message d’ouverture, d’espoir, d’espérance aussi et surtout d’audace.
 
Le temps presse, les urgences s’accumulent. Et la colère du public est très palpable. Partout. Cette colère doit être écoutée. Le pouvoir, rompu dans l’arnaque, reste sourd. Et, pour la dépasser, la contenir avant qu’elle ne dégénère, un dialogue vrai et un débat citoyen s’imposent. Au lieu de forcer cette voie en exploitant à son profit, par des démarches politiques sophistiquées, la déconfiture sociale, ces opposants restent tapis dans les généralités, dans les « starting blocks » d’hypothétiques élections législatives et locales perdues d’avance. Aurait-on affaire à des hypocrites au mental tordu, à la conscience vide qui veulent eux aussi leur panse toujours bien remplie? Pour redorer son blason et survivre, cette opposition doit finir ses palabres de novices et conciliabules émaillés d’apartés conspirateurs. Elle doit déballer une feuille de route commune à mener à bout en choisissant des voies claires, portées à la connaissance de tous, même si la tâche parait autant compliquée que les douze travaux d’Hercule réunis. Les élections ne peuvent pas être en tête de liste des priorités, sauf si elles sont assorties de conditions coercitives qui les ramènent au standard International.
 
Quel scrutin l’opposition peut-elle gagner quand la fraude l’attend dans les urnes, quand les règles du vote lui sont hostiles faisant d’elle une marionnette, et quand elle n’a même plus la garantie du soutien populaire indéfectible qui lui était accordé aux lendemains de la mort d’Eyadema? Entre elle et le peuple a pris place, petit à petit, un divorce mou, un doute certain sur ses réelles capacités à exorciser la domination du RPT. Trop éclatée, trop figée dans l’immobilisme. Difficile pour elle, dans ces conditions, de pouvoir tenir la tête d’affiche. Une position arrière-garde semble mieux seoir à son état de sclérose avancée? Elle aurait dû, si l’intérêt général était sa première préoccupation, se trouver un palliatif, pourquoi pas, se faire substituer par une nouvelle vague plus vigoureuse, plus créative. Il n’est plus possible de nous faire avaler des entourloupes comme celle qui insinue que « lorsqu’on crée un parti politique c’est pour aller à la conquête du pouvoir ».
 
Une pure théorie. De surcroît hors contexte, qui explique la multiplicité effarante des candidats de l’opposition à chaque élection. Soutenir une personnalité indépendante ou d’un autre parti mieux placée, mieux outillée pour le job n’a jamais été leur chose. À en croire les tuyaux crevés lancés souvent par des médias en mission, aussitôt relayés par les sots qui les répandent, tout cela est signe de bonne santé démocratique. Quelle créativité dans l’arnaque! Au Togo, on a fait tourner en bourrique le concept même d’opposition; on l’a sapé; on l’a miné. Tellement et si longtemps que l’ascension fulgurante, ces derniers temps, du leader du PNP, TIKPI ATCHADAM, est reçue avec une moue de réserve dans l’opinion, signe d’un scepticisme généralisé, inapaisable.
 
Le marasme de l’opposition togolaise n’est plus à démontrer. Alors que la RENAISSANCE du Togo ne peut plus attendre. Advient alors la question: quelle solution de remplacement faut-il trouver à cette opposition? Les regards se tournent vers la société civile. Y en a-t-il, à tout le moins, une d’ambitieuse dans notre pays? Certainement! Sous d’autres cieux, les organisations de la Société civile et de la Diaspora, toutes divergences rangées, tous différends tus, ont pris le devant de la scène, en parfaite symbiose, pour relever leur pays. Au nom de ce qui compte le plus: LA PATRIE.
 
Kodjo Epou
Washington DC
USA

 

 
Les fanfares de indépendance se sont tues. Place maintenant au plus important : la question de notre souveraineté nationale. Il est advenu, au Togo, un refus du pouvoir de prendre des initiatives qui dotent definitivement le pays d’une loi fondamentale éminemment consensuelle à laquelle la majorite des Togolais s’identifient. Alors qu’il est un devoir absolu de Président de la République de construire ce lien suprême fort et rassembleur qui ne vise que le pays et l'avenir de tous ses enfants, Faure Gnassingbé joue à se faire peur et, par de petits calculs partisans, noie le sujet dans une misérable commission composée d'individus obsequieux inféodés a son systeme. C’est de l’incivisme et, dans son cas, une haute trahison.

Il est impensable et même inadmissible qu’un chef de l’État s’amuse, en fonction de son bon plaisir, de ses rêves surdimensionnés, à revêtir son costume de chef de parti et de clan pour entretenir un statu quo politique dangereux qui plombe l’avenir de toute une nation. On n’applaudit pas un chef simplement parce qu’il a prononcé un discours dans lequel il aligne de gros mots tels: « paix sociale », « unité nationale », « prospérité », « patriotisme », « civisme ». Ces concepts-bateau n’embarquent plus grand monde. On le juge sur les actions qu’il accomplit ou n'accomplit pas, entre le nouveau discours et le précédent, en prenant soin de questionner avec intelligence, rigueur et discernement les termes qu’il utilise.
 
Le Jeudi 27 Avril, à l’occasion de la commémoration de l’accession du Togo à la souveraineté internationale, le président à balance pêle-mêle des mots-clichés qui n’ont aucun rapport avec les préoccupations de son peuple. C’était un monologue d’une rare platitude. Mais des mots choisis avec malice, comme si le Togo était dans une démocratie inclusive en marche. A part les bourreaux et quelques serviteurs loyaux qu’il a décorés, combien étaient-ils ses compatriotes qui se sont sentis concernés par les propos jonglés dans son allocution? Seul un petit groupe de jouisseurs, directs ou indirects, des prébendes du bradage économique qui bat son plein. Ce n’est pas parce que toutes les institutions togolaises – en apparence – sont pourvues que l’équilibre entre les différentes composantes de notre société est réel, qu’il faut se réjouir benoîtement et se taire, qu’il faut continuer, tels des sots rassasiés, de faire comme si tout allait bien.
 
Le problème du Togo, aujourd’hui, c’est d’abord et avant tout la personne même du chef de l’État. Ç’aurait été une autre personalite du même parti (UNIR) que cela se comprendrait. Cinquante ans de pouvoir ininterrompu pour une seule famille sur les millions que compte le pays, c’est vraiment TROP. On s'étonne que certains Togolais refusent de voir en face cette anomalie? Le dire n’est nullement haïr la personne du president. Mais au contraire tenter de l’élever à la raison afin qu’il commence à ressentir un peu de gêne. 
 
Et puis … Et puis, le refus obstiné du RPT/UNIR de se laisser guider par des pratiques humanisantes dans le traitement des autres citoyens est aussi un des motifs principaux de la crispation generale qui n’a jamais été, dans aucune société, un stimilus pour le développement nationale. Attention! Pour une fois sur ce petit rectangle de terre dont on vient de fêter avec faste l’indépendance (?), soyons honnêtes pour reconnaître qu’il y a du feu sous la cendre, que le parti dominateur commet d’inénarrables erreurs du genre qui embrase souvent un pays lorsque le parti gouvernant s’éternise, usant de subterfuges pour écarter du pouvoir d’État tous ses opposants.
 
N’en déplaise aux laudateurs, aux joyeux prébendiers du système lucratif qui n'engraisse que les militants et les moins méritants, le Togo ne pourra, par aucune autre voie détournée, se stabiliser tant que ne seront pas operées les reformes politiques qui conviennent exactement à la situation du pays. Seules ces reformes idoines vont éclaircir les horizons encore trop pesantes. Car, le systeme actuel est source de graves frustrations, ne laissant aucune chance à la compétition et au mérite.
 
Malheureusement, trop occupés à faire la politique politicienne, le régime cinquantenaire et ses pendentifs, de l’intérieur comme de la Diaspora, oublient de voir que le Togo, pendant ces 25 dernières années, est allé à vau-l’eau et fait désormais figure d’enfant malade de la sous région.
 
Kodjo Epou
Washington DC
USA

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